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Faire le facteur chez les Felinae est un métier dangereux [feat Yenaa, Pandemie, Thaiko, Nokota et Kira]
Felinae :: Bien commencer :: Archives :: Felinae V1.0 :: Autre V1.0Aller à la page : 1, 2  Suivant

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   Jeu 22 Oct - 13:01


Rob se réveilla en sursaut dès que les rayons du soleil commencèrent à percer l'abri de feuille qu'était le dortoir. Il ne se releva pas tout de suite : il roula de côté sur le dos avant de s'étirer les quatre pattes. Puis, le félin se dit qu'il était temps. Rob remonta péniblement la montée menant jusqu'à une ouverture dans le tas de branches : la sortie. Dès qu'il fut dehors, Rob ne se retint plus de bailler, tandis que ses paupières restaient lourdes, à peine ouvertes. Il entreprit de faire les cents pas dans le camp, afin de se réveiller complètement. Une voix l'interpella : il se retourna lentement et vit un de ses camarade. Celui-ci lui fit signe d'approcher, ce que Rob fit. Son collègue lui murmura alors dans l'oreille. Ecoutant à moitié, encore endormi, Rob Guts se contenta d'hocher la tête, retenant un autre baillement. Lorsque l'autre félin eut fini de lui transmettre sa mission, Rob Guts marmonna d'une voix presque inaudible qu'il allait le faire.

Une mission … tôt le matin comme ça... Bah autant positiver ! Rob Guts se donna du courage en se disant qu'au moins, il sortirait enfin de ce trou ou on devait constamment se cacher. Même si c'était pour la cause de la guilde entière, Rob Guts ne pouvait s'empêcher de lever les yeux au ciel de devoir toujours, toujours, toujours rester cacher, comme des lapins de garennes. Au moins, à titre exceptionnel, il pouvait sortir. Pas une tâche extrordinaire, cependant : juste un message à transmettre aux Félinae, mais c'était mieux que de rester au camp sans rien faire de spécialement exaltant. Cependant Rob Guts se rendit compte qu'il n'était pas tranquille : il ne se sentait pas aller seul en territoire ennemi ; ça peux paraître puéril et lâche mais même quelqu'un stoique comme Rob n'avait pas envie de se faire déchiqueté par une bande de Félinae enragés, ce qui se comprenait. Que faire alors?Le félin caméléon le sut de suite  : trouver un compagnon de route, tout simplement. Pensif, il balaya le camp du regard : tout ses camarades semblaient dormir ou déjà occupés à la tâche. Cependant, il en repèra une, seule, -assez mignonne d'ailleurs : blanche sur le ventre, rayée de jaune orangé sur du jaune pâle sur le dos, avec des yeux jaunes pétillants de vie, Rob Guts devina qu'il avait affaire à une petite joyeuse de vivre- au milieu du camp. Rob Guts s'approcha donc d'elle, et sans signaler sa présence, il alla droit au but, sans tourner autour du pot :

-Bonjour, il marqua tout de même une pause pour ne pas avoir l'air de passer du coq à l'âne, J'aurai un service à te demander : tu veux bien m'accompagner jusqu'aux terres de Félinae, j'ai un message à leur transmettre. Si tu n'as rien à faire d'autre, bien sûr !
Il se demanda s'il l'avait abordé de la bonne façon, il n'en était pas sûr. Après tout, il n'avait pas vraiment la capacité ni l'envie d'avoir un lien plus profond avec un membre de sa guilde. Mais il gardait espoir : qui sait? Tout pouvait arriver! Et malgré le fait que le félin niait en bloc que ses collègues l'ignorait ou l'évitait, peut être pouvait-il au moins trouvé quelqu'un de sympathique? C'était bien possible. Mais en attendant, il fallait se concentrer sur la mission, il attendit donc la réponse de la jeune chatte.

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   Jeu 22 Oct - 13:52


Quand Yenäa se réveilla, il faisait encore nuit. Mais elle devina aux odeurs et aux pépiements des oiseaux que l'aube n'était pas loin. Elle se leva en bâillant. Elle savait qu'elle ne pourrait pas se rendormir. Elle parcourut son petit abri des yeux. Comme elle était la nourrice de la Guilde, elle avait droit à un petit dortoir privé, pour elle et les chatons. Mais il n'y avait aucun chaton en ce moment, et Yenäa était seule dans l'abri.
Elle sortit, faisant bien attention de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller ses camarades endormis. Lorsqu'elle fut dehors, ses yeux furent irrésistiblement attirés par la voûte nocturne. Les étoiles brillaient d'une lueur chaleureuse. Elle avait toujours adoré les étoiles. Elle s'allongea sur le dos pour mieux les voir et resta ainsi, seule au beau milieu du camp, à regarder les étoiles jusqu'à l'aube. Lorsque celle-ci pointa, Yenäa se releva et regarda autour d'elle. Elle aperçut, au loin, un chat au pelage orangé. Elle ne se rappelait pas de son nom, mais elle vit un chat qu'elle savait messager s'approcher de lui. Ah. Donc le chat roux était probablement messager ?
Yenäa détourna les yeux et son regard se perdit dans la forêt. Elle allait sûrement partir chasser, aujourd'hui. Mais où ? Peut-être près du sentier... Ou près de l'étang ?
Soudain, elle fut sortie de ses rêveries par une voix. Le chat orangé de toute à l'heure s'était approché d'elle sans faire un bruit.

- Bonjour, dit-il.

Interloquée, Yenäa dressa les oreilles.

- J'aurais un service à te demander : tu veux bien m'accompagner jusqu'aux terres de Felinae ? J'ai un message à leur transmettre. Si tu n'as rien à faire d'autre, bien sûr !

Yenäa sourit au messager. Il semblait un peu timide et renfermé, mais il avait une lueur douce dans les yeux. Porter un message aux Felinae ? Voilà qui la sortirait de sa routine quotidienne de chasse ! Elle répondit d'une voix douce et enjouée :

- Avec plaisir ! Quand partons-nous ? Au fait, je m'appelle Yenäa. Et toi ?

Elle lança un grand sourire au chat roux.

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   Jeu 22 Oct - 14:54


Cet endroit-là était des plus plaisants, et fort intéressant. Des espèces de champignons qui grattaient les horizons, dansant de cents couleurs vives ou ternes, pastelles ou claires, calmes ou témérairement sombre. Et leur forme, on aurait du un long et énorme serpent qui aurait rampé dans le vide, et qui se serait figé dans une position étrange. Tu savais bien que ce n'était que des plantes comme les autres, mais elles n'en restaient tout de même pas moins captivantes; elles avaient également des propriétés intéressantes, mais tu savais aussi d’expérience qu'il n'était pas bon d'essayer de manger toutes sortes de champignons. Aucune triste envie d'être écrasée par la maladie juste parce qu'une curiosité malsaine t'aurait poussé à exécuter des actes dénués de sens; comme manger des champignons sans réfléchir par exemple. Balançant doucement ta queue tandis que tu trottinais entre eux, rien à cet instant n'aurait pu briser ta sérénité, car dans le calme qui pesait doucement, tu te sentais bien.

Le matin-même tu avais pris peine à te lever, et nombre d'endroits te restaient à approfondir; tu savais toi-même que la survie dépendait de la connaissance; et quoi de mieux qu'une exploration aussi soudaine que ça pour t'aider? Une envie impulsive de comprendre, sûrement; rien de bien inquiétant. Et puis, tu avais déjà pour coutume de t'aventurer un peu partout dans les terres; y compris à des endroits où tu ne devrais pas te trouver. Mais celui-là aspirait un doux calme, aspirait à un endroit serein. Tu avais des chances de tomber sur un chat; tu en avais bien conscience, mais ça ne t'empêchait pas de t'y rendre. Et puis, le monde a beau être petit; ce n'était pas comme si tu considérait l'idée d'être en contact avec des chats à chaque coin d'arbre; ça serait stupide. Quasiment personne ne pouvait troubler cet endroit; quand bien même tu croiserais un chat. Ce n'était pas non plus comme si tu devais lui adresser la parole; tout de même ! Le monde est peuplé, et beaucoup ont le don de la parole, mais ça ne signifiait nullement qu'une quelconque obligation te commandait de communiquer, après tout.

Tu stoppas ton trottinement, alertée par tes sens. Quelque chose n'était pas bien. Le silence faisait toujours légion, galvanisant la brise qui seule parvenait à murmurer sans le courroucer. Quelque chose n'allait pas. Tes oreilles se dressèrent, tes pupilles se dilatèrent. Accélération cardiaque, mais toujours rien en approche. Tu te calmes, et détend les muscles de tes épaules; qui avaient commencé à enfoncer tes pattes dans le sol, prévoyant un assaut particulièrement lâche de derrière. Aucun chat n'oserait. Un soldat, bien entendu, car tous les cous étaient permis pour votre noble cause qui consistait principalement à détruire ces affreuses souillures de Felinae, mais ce n'était pas ça. Tu voulais dire par-là que tu ne ressentais pas cette espèce d'aura à moitié amicale qui te rassurait avec l'odeur d'un soldat; non, là, c'était plus farouche, plus indiscret. Différent, sans nul doute. Simplement, tu savais que quelque chose allait arriver. Faisant mine de feinter avec ton propre esprit, tu te remis en route, mais tu ne parvint plus à toucher la quiétude qui t'avait enserré il y a quelques secondes, troublée par cette chose; qui se rapprochait, doucement, furtivement.

Stoppant ta course, tu te posas au sol. Qui que ce fut, tu n'avais pas à lui montrer quoi que ce soit comme sentiment; excepté la lassitude qui t'engourdissait les pattes. Qu'il se montre; où qu'il se rapproche encore plus s'il était trop loin; ce n'était pas toi qui allait le fuir, ou encore moins te donner la peine de lui accorder quelque son que ce fut de tes cordes vocales pour l'intimer de venir; que disais-tu, l'ordonner de se montrer.

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   Ven 23 Oct - 14:02


J'étais au pied d'un champignon dans la Sylve car l'air froid de l'hiver m'avais poussé à me blottir dans un creux. Le champignon avait une jolie couleur bleu, vert pastel et le bruit de l'eau qui coulait dans son pied me bercé, j'étais sur le point de m'endormir. Pourtant je devais rester sur mes garde, le but de mon rôle de défenseur. J'avais justement sentis une odeur de soldat, à contre coeur je me leva et partis à la recherche du soldat. Les yeux mi-clos par le réveille et la fourrure gonflait pour mieux résister au froid je zigzagua entre les champignons pour retrouver ce soldat.Il était discret car dans cet endroit le silence est maître et il ne faisait pas un bruit juste son odeur flottait dans l'air.

Un filet d'eau sortait du pied du champignon mais je n'avais pas soif, les yeux rivés sur la source je ne vis pas un bout de racine dépasser du sol, je trébucha et tomba dans la poussière. Je pris le temps de bien faire ma toilette et de bien lisser mon pelage. C'est vrai quoi!? Il faut toujours faire bonne impression non!? Le soldat était tout près je vérifia une dernière fois qu'on voyais bien mes muscle sous mon pelage et marcha d'un pat loure au cas où le soldat me voyait.

Je mis un peu de temps à l'apercevoir car sa fourrure rouge se camouflée bien dans les couleurs de la Sylve rouge sang, le sang que je vais lui faire giclé de son cor..... C'était une femelle avec des cornes de bélier retourné derrière ses oreille elle avait aussi une patte dans un bandage. Je me prépara à l'attaque, je sortis les griffes la glace qui les constituée brillait au soleil, banda les muscles et sauta. J'atterris devant elle et lui cracha au museau:

-"Sale soldat! Je vais te réduire en bouilli toi et tes conjoint inutile!" Je recula d'un pat, non par peur mais pour voir ça réaction. Je me prépara à faire une tornade de glace en cas de besoin: Et elle quel est son pouvoir. C'est la première question que je me pose lorsque je rencontre un nouveau chat, même si savoir son rang et son nom m'intèrese aussi, car parfois on peux faire des jeux de mots avec les prénoms: Niark! Alors je lui dit peu amicalement pour qu'elle le fasse aussi:

-"Je suis Thaiko défenseur de la guilde Félinae.... Et tu as intterrée à courir vite et à ne pas t'approcher de mes camarade ou je vais te faire regrettée d'avoir croisée mon chemin!" Je lui cracha au museau et frappa le sol avec ma queue de glace et je me prépara à toute instant où elle me sauterait dessus.


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   Ven 23 Oct - 17:25


Faire le facteur chez les Felinaes est un métier dangereux

Featuring Rob Guts-Yenäa-Pandémie-Thaïko-Kira
Nokota discutait gaiement aver sa nouvelle amie Kira, sur le chemin du Q.G. Elles revenaient des égouts, qui leur en avait fait voir de toute les couleurs ! La Combattante s'était promis de ne jamais remettre les pattes là-bas, sauf en cas exeptionnel. Kira était d'une compagnie agréable, si bien qu'elle ne faillit par remarquer l'odeur d'un Soldat dans l'air. La femelle se figea, et entrouvrit la gueule pour mieux sentir les odeurs. Au début, elle pensa qu'être resté trop longtemps en territoire Soldat lui avait imprégné l'odeur, et maintenant elle la sentait partout, mais non. Cette fois-ci, ses sens ne se trompaient pas. De plus, une forme féline rouge pétant louvoyait les hautes silhouettes familière des grand champignons. Non loin, il semblait y avoir un autre félin, avec un pelage semblable à celui d'un panthère. La chatte à la fourrure blanche et bleue s'approcha doucement, et entendit la "panthère", qui s'avérait avoir la patte avant noire et la queue de glace, dire :

- Sale soldat! Je vais te réduire en bouillie toi et tes conjoint inutile!
Elle le vit faire une pause, puis reprendre, en commençant sa phrase d'une voie plus amicale, comme si il voulait amadouer la Soldate, puis la finir en crachant :
- Je suis Thaiko défenseur de la guilde Felinae.... Et tu as intérêt à courir vite et à ne pas t'approcher de mes camarades ou je vais te faire regretter d'avoir croisé mon chemin!

Doucement, et sans savoir si Kira la suivait, Nokota s'avança derrière Thaïko, à qui elle fit signe d'un balancement de queue pour lui dire qu'elle était de son côté, en attendant la réponse de l'intruse.


© codé par Michy/Answer/Kuma

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   Ven 23 Oct - 18:33


Ma nouvelle amie et moi discutions sur le chemin du QG. Nous revenions des égouts et comment vous expliquer que ce ça n'a pas était tout rose là bas ! La prochaine fois que je remets les pattes là bas ça sera vraiment exceptionnel ! Nokota était vraiment une amie agréable, je pourrais lui confier mes soucis sans aucun problème ! Mais à force de jacasser comme une pie je n'avais pas remarqué l'odeur d'un Soldat. Il ne serait pas venue sur notre territoire quand même ? J'en ai marre de ces boules de poils qui serve les humains comme des robots ! Au début je pensais me tromper, Nokota et moi ont revenaient des égouts, plus précisément le territoire des Soldats et l'odeur c'était "collé" à ma fourrure. Mais cette fois mon odorat ne me trompais pas, il y avait bien un Soldat sur notre territoire ! Nokota qui avait du aussi le sentis s'approcha un peu, ce que je fis également. Avec le Soldat il y avait en autre félin son pelage ressemblait fortement à celui d'une panthère mais il avait une patte noire et une queue de glace. Il dit au Soldat :

[- Sale soldat ! Je vais te réduire en bouillie toi et tes conjoint inutile !

Je le vis faire une pause, puis reprit d'une voix un peu plus amicale, pour finir en crachant :

- Je suis Thaiko défenseur de la guilde Felinae.... Et tu as intérêt à courir vite et à ne pas t'approcher de mes camarades ou je vais te faire regretter d'avoir croisé mon chemin !

Je vis Nokota qui s'avançait derrière Thaiko et lui faire signe de la queue. Reste pas planté là, va l'aider ! Je rejoignis Nokota et lui murmura à l'oreille :

- Nokota si ont n'attaquent pas bientôt ce Soldat je vais le faire moi même !

Je sortis mes griffes et du feu commença à apparaître autour de moi, signe de mon impatiente.


Dernière édition par Kira le Sam 24 Oct - 14:13, édité 3 fois

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   Ven 23 Oct - 22:06


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Dernière édition par Nokota le Dim 25 Oct - 10:41, édité 1 fois

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   Sam 24 Oct - 12:57


Comme il s'y attendait, sa collègue répondit par le positif :

Avec plaisir ! Quand partons-nous ? Au fait, je m'appelle Yenäa. Et toi ?

Et comme il l'avait deviné, c'était bien une petite joyeuse … mais ça n'était pas dérangeant, au contraire. Bien que Rob Guts soit un peu solitaire, contrairement à ce qu'on pourrait pensé, il ne déteste pas son opposé caractériel. Bien au contraire, la bonne humeur de cette féline rendrait le trajet un peu moins triste. Il ne regrettait pas de lui avoir demander de l'accompagner. Aussi, pour le montrer, il répondit à la femelle tigrée, un sourire commençant à se dessiner sur ses lèvres :

Enchanté, Yenaa ! Moi je m'appelle Rob Guts, et nous pouvons partir quand tu le souhaites.

Rob enroula ensuite sa queue autour de ses pattes, avant de commencer une toilette minutieuse. Il jeta un coup d'oeil vers ses autres camarades, qui semblaient s'être tous levés pour s'attaquer à leur tâches quotidiennes. Pensif, Rob se demanda si ses autres camarades prennaient plaisir à avoir toujours le même travail chaque jour. Pour sa part, le félin caméléon était bien tombé : Messager impliquait simplement d'entretenir des relations avec l'autre Guilde. La plupart du temps -lorsque des chats génétiquement modifiés n'étaient pas ramenés ou qu'il n'y avait pas de problème de tension entre guildes- Rob était tranquille, on ne lui demandait plus rien. En contrepartie, bien sûr, lors de grands évenements, sa mission devenait un point crucial et il se sentait comme s'il devait porter le poids du monde sur ses épaules, durant ces moments, il avait difficilement droit à l'erreur. Mais le point positif était qu'il pouvait rencontrer un certain nombre de membres Félinae sans que l'on vienne remettre en cause sa loyauté envers sa propre Guilde, et ça, s'était plutôt pas mal, pour lui. Rob se posa alors diverses questions sur sa camarade : quel rang occupait-elle ? En était-elle satisfaite ? Il décida de lui poser directement la question :

Au fait, fit-il entre deux coups de langues, tu occupes quel rang dans la guilde ? Moi je suis Messager.

Il prit le temps de reprendre sa toilette, craignant d'enchainer trop vite les questions et de la perturber.

C'est pas mal comme rang, Messager, commenta-t-il, au moins tu peux apprendre à connaître les Félinae sans qu'on te pose de questions. J'aime bien.

Il cessa ensuite de se lècher le poil, regardant Yenaa droit dans les yeux, penchant légèrement la tête, interloqué  :

- Et toi, ? Tu aimes bien la place que tu occupes ?

C'était un peu brusque non ? Est-ce que c'est le genre de questions qu'on pose lors d'une première rencontre?  Rob se senti un peu gêné craignant de l'avoir ennuyée. Malgré tout, il attendit la réponse de sa collègue avant de vraiment se faire du souci.

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   Sam 24 Oct - 14:43


- Enchanté, Yenäa ! Moi je m'appelle Rob Guts, et nous pouvons partir quand tu le souhaites.

Rob Guts, donc, s'assit et commença à faire sa toilette. Yenäa remarqua à ce moment-là, lorsqu'elle jeta un coup d’œil autour d'elle, que les autres Caméléons s'étaient enfin tous levés.
Elle ramena son attention sur le messager lorsqu'il lui demanda :

- Au fait, tu occupes quel rang dans la guilde ? Moi je suis Messager.

Yenäa s'apprêtait à lui répondre quand Rob Guts continua, autant à parler qu'à faire sa toilette :

- C'est pas mal comme rang, Messager, au moins tu peux apprendre à connaître les Felinae sans qu'on te pose de questions. J'aime bien.


On dirait qu'il est très solitaire... et très curieux ! pensa Yenäa.
Le messager releva brusquement la tête pour planter son regard dans celui de la nourrice.

- Et toi ? Tu aimes bien la place que tu occupes ?

Cette fois-ci, Yenäa prit la parole :

- Je suis la nourrice de la Guilde. Et j'aime énormément mon rang. J'adore m'occuper de mes petites boules de poils !

Elle ronronna en repensant aux chatons dont elle s'était déjà occupée. Puis se retourna vers Rob Guts.

- Bon, tu as un message à délivrer, non ? Allons-y !

Yenäa se leva et piétina le sol, impatiente d'aller courir dans la forêt. Elle adorait courir. Elle laissa au messager le temps de se lever et de passer devant. N'étant jamais allée chez les Felinae, elle ne connaissait pas vraiment le chemin. Elle jeta un regard vers son partenaire de mission :

- Après toi, Rob !

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   Sam 24 Oct - 16:03



Très vite, tu te rendis compte que tu n'étais pas dans l'exactitude de ce qu'on pourrait appeler "seule". Tu t'attendais, comme à l’accoutumée, à tomber sur un chat. Un seul, c'est-à-dire pas que trois abrutis surgissent comme ça, à supposer qu'être caché puisse signifier surgir à tes yeux. Il fallait dire que c'était sûrement mieux protégé que ce que tu aurait pu penser, ceci dit tu distingua l'hétérogénité des chats: c'était deux groupes nettement constitués, et non trois défenseurs. Sûrement réunis par un heureux hasard, te disais-tu. Tu tiqua, passablement énervée qu'ils osent se montrer à toi. Toujours assise, tu ne daignais bouger. Oh, tu ne t'empêchait pas de laisser passer cette expression hautaine de supériorité à travers tes traits, et tu ne te gênais pas dans ta gestuelle; simplement tu n'esquissait rien qui leur laissait paraître un acte de violence prévu. Au fond, tu n'en avait absolument pas l'envie; de leur sauter dessus, mais d'un autre côté, tu ne te sentais pas spécialement menacée. Bien entendu, tu avais conscience de l'énorme danger que représentait ce petit groupe, et de la danse folle que tu te plaisait à faire face aux flammes; tu savais bien que jouer avec le feu n'était pas une bonne chose, mais rien ne pouvait plus t'empêcher de te brûler à ton gré.

Un chat léopard, tacheté sur tout le corps de marques sombres, avec une patte entièrement brune, s'approcha plus que les autres. Dans ses yeux bleus hurlait une colère étrange, et tu savais que c'était le plus violent des trois. Ou du moins, c'était ce qu'il laissa transparaître. Un tempérament farouche, n'est-il pas? Oh, tu ne lui en voulait pas. Qu'il s'énerve, qu'il bande les muscles et bombe son torse, qu'il sorte ses griffes et te montre les crocs. Tu étais habituée aux crises des colériques, après tout, tu vivais dans un monde ou personne n'était satisfait de sa position, et tu ne saurais dire le nombre de fois ou des soldats forcés de l'être ont tenté de se rebeller. Ce n'était plus un signe pour te signifier qu'ils allaient te sauter dessus, juste un moyen peu esthétique de signifier sa fureur; et ça ne t’intéressais pas. Dans ta tête, tu fis vite de dessiner un schéma, et tu distingua que le plus courageux des trois méritait le plus ton regard; c'est donc pour cela que tu posa tes yeux jaunes sur les siens, affrontant sans retenue son visage; et bien que le tien restait impassible, tu savais bien que cette neutralité n'allait pas rester peinte jusqu'à la fin de votre rencontre.

«Sale soldat ! Je vais te réduire en bouillie, toi et tes conjoints inutiles !»

Tu esquissa un petit sourire, tes joues légèrement gonflées par ta retenue. C'était mignon; un joli petit discours sans aucun sacré argument. Au moins, ça avait la qualité d'être efficace et assez rapide, faisant certes passer un message des plus agressifs et bestiaux, mais ça avait tout de même le mérite de faire transparaître son intelligence. Aussi simplet qu'il puisse te paraître, ton cher ami léopard n'avait pas finit son discours. Il recula de quelques pas, jugeant à juste titre qu'il s'était déjà trop approché de toi. Oh, tu n'allait pas lui mettre un coup de patte sur le museau, tout de même, pas après si peu de discutions. Ce n'était pas vraiment assez pour décider de son sort; et même si tu savais qu'il te serait impossible de tenter de le manipuler à cause du nombre, tu lui permettrait d'assister à tes monologues ennuyants, au moins pour le calmer un peu. Ou peut-être que ça aurait l'effet inverse, tu ne savais jamais si tu jetais de l'essence ou de l'eau sur le feu en faisant cela.

Tu distingua mieux les deux chattes, qui se rapprochèrent, et qui, sans aucune gêne, se mirent à parler à voix basse. Tu ne distinguais pas vraiment leurs paroles, mais tu savais qu'elles portaient sur toi; en toute logique, là n'était pas le moment de se confier les dernières nouvelles. A considérer bien entendu que tu n'en faisait pas partie. L'une abordait un visage fin, avec de jolis yeux vairons, au corps blanc et bleuté, que tu jugea immédiatement et aussi peu objectivement que tu en était capable comme étant la plus faible. L'autre était blanche rayée, plutôt simplette. Tu cru distinguer que quelques flammes se formèrent. Tu regarda le léopard; sa queue semblait faite de glace. Et l'autre semblait plutôt concentrée sur quelque chose. Ok, ok, ok. Niveau pouvoir, t'avais quand même l'air d'être plutôt dans le bourbier. Et c'était très certainement pas fini, pour ton grand malheur. Au moins, toi, tu pouvais... Briser des nuques? Ouais, c'était utile, mais monsieur glace et madame feu, là, ça allait pas le faire du tout.

«Je suis Thaiko, défenseur de la guilde Félinae.... Et tu as intérêt à courir vite et à ne pas t'approcher de mes camarade ou je vais te faire regretter d'avoir croiser mon chemin !»

Ton sourire se fit plus grand, lorsqu'il te cracha au museau et tapa au sol. Alors ça... Alors ça. Dieu, ce que c'était d'une dérision, ses petites crises ! Tu ne pus t'empêcher, la situation tournant trop au ridicule à ton goût, et laissa échapper un rire, assez court, mais très certainement assez pour leur signifier ton manque flagrant de prudence, ou ton courage extrême, où alors peut-être un soupçon d'inconscience naissante. Tu te leva enfin, sentant tes pattes s'engourdirent de ta position assise, et fixa le dénommé Thaiko quelques secondes. Le silence serait brisé, si jamais tu ne parlait pas. Et l'occasion était trop parfaite, trop rêvée pour qu'on puisse te tenir au silence ainsi. Ouvrant la bouche, tu leur colla un bon petit monologue des familles, pour bien commencer la journée :

« Aaaaah, le courage des Felinae ! Aussi défaillant que leur intelligence, à ce que je vois.» Tu fis une courte pause, de quelques secondes tout au plus. « Nul besoin de vous donner la source de mes interrogations quand à vos capacités de défense; car que vois-je ! Trois chats en pleine forme, crocs sortis et impolitesse de mise. Hypocrites, et petites souillures que vous êtes, vous vous fâchez de me voir sur vos terres, sans même prendre conscience que le monde n'est pas votre.» Nouvelle pause. « M'enfin, puisque vous avez besoin d'un tel nombre pour m'attaquer, moi, seule chatte sans défense, pourquoi ne serais-ce qu’effleurer l'idée de se débrouiller sans les terres humaines; enfin, ce serait trop compliqué ! »

Tu t'approchas de quelques pas, d'une démarche sûre et tout aussi hautaine, pas lents et grands mouvements. Tu te décida à te présenter, pour leur signifier qui tu pouvais représenter pour eux :

«Thaiko, Thaiko. Puisque tu es le seul à avoir eu la décence de te présenter, j'imagines que vient mon tour. » tu lanças un petit regard aux deux femelles. «Je suis Pandémie, soldate de première ligne. »

Cette fois, tu décidas de ne pas feinter. Pourquoi mentir? Te croiraient-ils? Non. Tu observas les alentours; au départ, tu étais venue ici comme tel était ton habitude, éternelle voyageuse. C'était quelque chose qu'ils étaient incapables de t'enlever, ça, il en était bien entendu.

«Allons, ne me regardez pas ainsi. Je ne représente pas-le-moindre danger pour vous. Sauf si vous vous approchez de trop près; disons que je sais bien défendre ma couenne. J'ignore si je suis en mesure de considérer que nous nous battons à armes égales, ceci dit. »

Tu lanças un petit regard à Thaiko, puis à la chatte des flammes, en portant un plus grand intérêt à la femelle. Ah, ce que tu aurais aimé avoir un pouvoir comme cela, dompter les flammes, soumettre les bois à la volonté incendiaire dont tu sait faire preuve. Mais quoique, si jamais on retournait ton pouvoir contre le tien, on n'aurait pas grand chose comme possibilité. Et puis, bien utilisé, ça peut être utile. Relativiser, et ne pas s’apitoyer, si tes gênes ont décidé ce pouvoir en particulier, alors c'est le meilleur pour toi, n'est-ce pas?

«Ah, je suis venue ici pour me reposer. Il y a de si belles terres, mutées et agréablement corrompues par les armes humaines, ne trouvez-vous pas? »

Clairement à l'aise, tu savais bien que l'un des trois saurait te baigner à nouveau dans la situation de danger à laquelle tu t'exposais.

Je parles trop hein D:

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   Dim 25 Oct - 12:06


Cette femelle se moquer de moi? Après avoir prononcé mes première paroles et montrée sur son visage des petits sourires amusé puis elle dit quelque parole pour ce moquer et dis qu'il fallait être trois pour la battre:

-"Non chère soldate je les protège simplement....." Je m'approcha un peu juste pour l'énervé, les soldats se croyaient fort et intelligent mais ils n'étaient rien de tout cela, peut-être fort pour certain mais cette femelle serait morte après quelques jours si son humain ne se serait pas occupé d'elle. Je resta là sans bouger d'une moustache, je sentais son allène puante, et le vent chaud crée par chaque juste pour que je la remette en place et qu'elle ne se moque plus des Felinae. Mais le temps parut interminable. Je pouvais sentir chaque battement de cœur dans mes veines, cette femelle m'avais mis en rogne.

Je me rapprocha plus puis je donna un coup dans l'oreille de la femelle et je recula. Je fit demi-tour et dis au deux femelles restée derrière. Je ne me mis pas en position de défense mais j'étais prêt à l'attaque.

-"Hé bé ma pauvre tu vas m'attaquer pour ce petit coup?" Je regarda la femelle, puis les champignon comment pouvait-elle aimé les humains et surtout se qu'ils ont fais avec leurs mutations? Je me rapprocha et je lui donna un coup dans l'épaule pour lui faire perdre l'équilibre et au passage lui mordis l'oreille. Je n'allais pas dévoiler mon pouvoir tout de suite je voulais voir sa réaction. Avant quelle ne se relève je me mis derrière le champignon qui étais à quelque centimètres et je me prépara à sauter. Elle se releva et je sauta sur son dos pour lui mordre la nuque.

Elle vas voir le quel de nous deux est le plus fort....

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   Dim 25 Oct - 16:51


Titre du RP et si il est long voilà ce que ça va donner !

Avec machin truc
Nokota observais la Soldate d'un oeil perçant. C'était une femelle rouge, qui était, de toute évidence, aussi arrogant et prétentieuse que les autres partisans des humains. La combattante sortie les griffes et sentit Kira se mettre à côté d'elle. Peu après elle murmura à son amie :

- Nokota, si ont n'attaque pas bientôt ce Soldat je vais le faire moi même !

La tension était palpable. Une grande bataille de regard c'était lancée entre l'intruse et les Felinaes. La femelle se pencha pour répondre à son amie.

- Attend, Kira. Écoutons au moins ce qu'elle a à dire, même si je pense comme toi. Se ne serait pas correct de l'attaquer sans en savoir un minimum sur elle.
Elle marqua une pause, puis reprit, baissant encore plus la voie, de manière à ce que seule Kira, et éventuellement Thaïko, si il avait l'ouïe fine, puisse l'entendre.
- Qui sait, nous pourrions peut-être en tirer des informations importante au sujet de ces robots et de leurs maître les humains.


La chatte au pelage blanc et bleu avait prononcé le mot "humains" en crachant. Ignorant le vent froid qui lui faisait gonfler les poils, elle se concentra, pour être sûr que son pouvoir lui obéirait si le besoin de s'en servir se manifesterais. Pendant un instant, Nokota se demanda quel était le pouvoir de chat au pelage de panthère. Elle chassa cette idée pour mieux encore se concentrer sur son pouvoir. Cela était plus difficile les yeux ouvert que fermé, mais elle ne devait montrer aucun signe à l'ennemie qu'elle se préparait à utiliser son pouvoir. La combattante le sentit répondre à son appel, elle le sentit bouillonner dans ses veines, près à faire des ravages. Cette sensation de puissance en elle la réchauffa, aussi bien physiquement que mentalement. Tout le décor autour d'elle disparu : les champignons aussi haut que l'Arbre des Pendus si familier à présent, les contour du Q.G au loin, qui se fondait tellement dans la masse que seul un Felinae pouvait savoir qu'il se situait là-bas d'aussi loin. Plus rien n'existait à part elle, Kira, Thaïko, la Soldate et, évidemment, son pouvoir qui la brulait presque de l'intérieur. Peu après cela, la chatte à la fourrure blanche fulmina intérieurement envers cette femelle rouge qui s'amusait de la situation. Elle savait qu'elle aurait pu lui sauter dessus et la réduire en bouillie, mais elle se retint, car l'ennemie avait prit la parole :

- Aaaaah, le courage des Felinae ! Aussi défaillant que leur intelligence, à ce que je vois.
Elle fit une courte pause, comme si elle guettait la moindre réaction envers les Felinaes, puis reprit :
- Nul besoin de vous donner la source de mes interrogations quand à vos capacités de défense; car que vois-je ! Trois chats en pleine forme, crocs sortis et impolitesse de mise. Hypocrites, et petites souillures que vous êtes, vous vous fâchez de me voir sur vos terres, sans même prendre conscience que le monde n'est pas votre.  M'enfin, puisque vous avez besoin d'un tel nombre pour m'attaquer, moi, seule chatte sans défense, pourquoi ne serais-ce qu’effleurer l'idée de se débrouiller sans les terres humaines; enfin, ce serait trop compliqué !

D'un démarche royale, cette "Pandémie" s'approcha de quelque pas, avec de grand mouvements lents. Nokota lui montra les crocs.

- Thaiko, Thaiko. Puisque tu es le seul à avoir eu la décence de te présenter, j'imagines que vient mon tour.
L'intruse regarda les deux autre femelle, puis reprit :
- Je suis Pandémie, soldate de première ligne.
La combattante savait que l'ennemie n'attendait qu'une chose en disant ça : qu'elle et Kira se présente. Peu lui importait de paraître impolie, elle ne le fit pas. La Soldate reprit, après avoir observé les alentours :
- Allons, ne me regardez pas ainsi. Je ne représente pas le moindre danger pour vous. Sauf si vous vous approchez de trop près; disons que je sais bien défendre ma couenne. J'ignore si je suis en mesure de considérer que nous nous battons à armes égales, ceci dit.

Cette femelle rouge jeta un regard à Thaïko, puis regarda plus attentivement Kira. Elle dit ensuite :

- Ah, je suis venue ici pour me reposer. Il y a de si belles terres, mutées et agréablement corrompues par les armes humaines, ne trouvez-vous pas ?

Avant que la combattante puisse réagir, le chat au pelage de panthère rétorqua :

- Non chère soldate je les protège simplement.....
Thaïko s'approcha de quelque pas, en fixant Pandémie. C'était une véritable joute verbale qui étaient lancée à présent, et la femelle s'en donna à coeur joie. Elle s'avança d'un pas et ajouta :

- Ma chère Pandémie… Je suis ravie de voir que les Soldats souhaitent prendre d repos mais… en tout cas… Ce ne sera pas sur NOS terres ! Et, pour ce qui est des présentations, je ne voit pas pourquoi je devrais communiquer des informations à un animal que ne mérite pas le nom de chat.

Elle comptait s'approcher un peu plus, mais le défenseur Felinae venait de donner un bon coup de patte dans l'oreille de la Soldate. Il fit demi-tour et recula, faisant signe aux deux amies de rester en arrière. Il dit :

- Hé bé, ma pauvre tu vas m'attaquer pour ce petit coup ?

Thaïko donna un coup dans l'épaule de Pandémie, ce qui lui fit faire perdre l'équilibre. Lorsque l'intruse se releva, la chatte à la fourrure blanche remarqua que son oreille saignait.
Ça y est, le combat est officiellement commencé…
A peine la Soldate relevée, le chat au pelage de panthère se je ta sur son dos et lui mordit la nuque. Nokota souffla à Kira :

- Tu crois que tu peux faire chauffer de l'eau ?


© codé par Michy/Answer/Kuma

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   Dim 25 Oct - 19:53


Nokota se pencha près de moi et me répondit :

- Attend, Kira. Ecoutons au moins ce quelle a à dire, même si je pense comme toi. Se ne serait pas correct de l'attaquer sans en savoir un minimum sur elle.


Je me contentais de hocher la tête mais si j'aurais été seule je lui aurais déjà sauté dessus, croyais-moi ! Je veux bien attendre Nokota mais trop longtemps, je ne vais pas pouvoir résister bien longtemps ! Nokota reprit sa phrase, en baissant encore plus la voix, pour que moi seule entende et peut être même Thaiko si il avait l'ouïe fine.

-Qui sait, nous pourrions peut-être en tirer des informations importante au sujet de ces robots et de leurs maître les humains.

Elle avait raison, il fallait attendre pour tirer des informations sur ces robots chats et les humains. Nokota avait prononcé le mot "humains" en crachant, je l'as comprenais, je détestais les humains pour ce qu'ils avaient fait à mes parents. Mais je n'arrivais pas à rester calme, pourquoi ? Quand je chasse je peut attendre longtemps, très longtemps mais pendant le combat je n'y arrivais pas. Peut-être à cause de ma soif de vengeance envers les hommes ? Certes les Soldats n'étaient pas des hommes mais ils les servaient, pour moi c'était la même chose. Mes griffes s'enflammèrent, je les sortis pour éviter quelle me brûle. Je vis Nokota qui se concentrait, elle devait se préparer à utiliser son pouvoir.
Nokota comment fais-tu pour tenir ? Je transpirais mes griffes brulèrent les quelques brins d'herbe et le feu qui dansait autour de moi devint de plus en plus chaud. Mes nerfs allaient lâcher je le savais. Je suffoquais, mon cœur battait de plus en plus vite.

- Nokota....j..je n....ne peut....plus tenir.

Je repris une bouffé d'air et une petite larme tomba sur l'herbe.

- Je ne vais plus tenir, c'est trop pour moi.


J'allais bondir quand la chatte rouge prit la parole :


- Aaaaah, le courage des Felinae ! Aussi défaillant que leur intelligence, à ce que je vois.


La chatte rouge fit une pause, guettant la réaction des Felinaes puis reprit :

- Nul besoin de vous donner la source de mes interrogations quand à vos capacités de défense; car que vois-je ! Trois chats en pleine forme, crocs sortis et impolitesse de mise. Hypocrites, et petites souillures que vous êtes, vous vous fâchez de me voir sur vos terres, sans même prendre conscience que le monde n'est pas votre.  M'enfin, puisque vous avez besoin d'un tel nombre pour m'attaquer, moi, seule chatte sans défense, pourquoi ne serais-ce qu’effleurer l'idée de se débrouiller sans les terres humaines; enfin, ce serait trop compliqué !

Cette chatte rouge s'approcha et Nokota montra les crocs, quand à moi je labourais le sol avec mes griffes enflammés. Ensuite elle reprit son discours :

- Thaiko, Thaiko. Puisque tu es le seul à avoir eu la décence de te présenter, j'imagines que vient mon tour.

Elle nous regarda puis poursuivit :

- Je suis Pandémie, soldate de première ligne.

Je savais que cette "Pandémie" voulait qu'ont se présente moi et Nokota mais elle peut toujours rêver !
Le jour où je me présenterais à un Soldat c'est que je serais malade ! Après avoir observé les alentours la chatte reprit :

- Allons, ne me regardez pas ainsi. Je ne représente pas le moindre danger pour vous. Sauf si vous vous approchez de trop près; disons que je sais bien défendre ma couenne. J'ignore si je suis en mesure de considérer que nous nous battons à armes égales, ceci dit.

La femelle regarda Thaiko puis elle me fixa avec plus d'insistance. Etait-elle impressionnée ? Je ne pouvais pas répondre à cette question.
Arrête de me regarder comme ça ! La chatte rouge dit ensuite :

- Ah, je suis venue ici pour me reposer. Il y a de si belles terres, mutées et agréablement corrompues par les armes humaines, ne trouvez-vous pas ?

Avant que Pandémie puisse répondre Thaiko rétorqua :


- Non chère soldate je les protège simplement.....

Thaiko fit quelques pas en fixant la guerrière. C'était un combat verbales qui opposait Thaiko et Pandémie, et visiblement la femelle s'en donnait à cœur joie. Thaiko s'avança et ajouta :


- Ma chère Pandémie… Je suis ravie de voir que les Soldats souhaitent prendre d repos mais… en tout cas… Ce ne sera pas sur NOS terres ! Et, pour ce qui est des présentations, je ne voit pas pourquoi je devrais communiquer des informations à un animal que ne mérite pas le nom de chat.


Je voulais m'approcher un peu plus mais Thaiko donna un coup de patte dans l'oreille de la chatte rouge. Il fit demi-tour et nous fient signe de rester en arrière.
C'est parce que je suis une chasseuse que je ne sais pas me battre ! Thaiko dit :

- Hé bé, ma pauvre tu vas m'attaquer pour ce petit coup ?

Puis il donna un coup dans l'épaule de la Soldate, et elle perdit l'équilibre. Quand elle se releva je vis que son oreille saignait. Pandémie fut à peine relevé que Thaiko se jeta sur son dos et lui mordit le cou. Alors que j'étais concentrée sur le combat Nokota me souffla :


- Tu crois que tu peux faire chauffer de l'eau ?

Je répondis en agitant la queue :

- Je n'ais jamais essayé, mais je pense pouvoir y arriver.

Sauf que chauffer de l'eau demande une grosse dépense d'énergie et si la Soldate me sautait dessus je ne veux pas imaginer ce qui pourrait m'arriver. Mais je ne lui dis pas, il fallait aider Thaiko et je vais lui montrer que je sais me battre !

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   Lun 26 Oct - 10:03


( sorry pour le retard >.>)



Reperés ?
« Citation de ton choix. »



  • Je suis la nourrice de la Guilde. Et j'aime énormément mon rang. J'adore m'occuper de mes petites boules de poils ! 


C'est vrai que nourrice ça ne doit pas être trop pénible. Quoique moi je ne pourrais pas, je perds patience avec les chatons.
Le félin décida d'arrêter là les questions. Ca devenait lourd, à force, de se faire interroger. De plus, ils ne pouvaient pas rester papoter toute la journée : ils leur restaient une mission, en territoire ennemi, sur une route -il faut l'avouer- dangereuse, du fait de sa faune et sa flore non naturelle, imprévisible sans oublier ses chats inamicaux. Et ils pouvaient tomber sur un congénère agressif n'importe ou, n'importe quand, dès qu'ils auraient franchis la sortie du camp. L'adrénaline, l'intérêt mélangées à une angoisse montante fit hérisser les poils dorsaux de Rob, tandis qu'il fixait avec appréhension le trou béant : l'entrée du camp, qui menait vers les bois et le danger. Malgré tout, Rob ne se laissa pas emporté, il ouvrit la bouche pour parler, mais sa collègue, toujours d'humeur aussi joyeuse, fut plus rapide :


  • Bon, tu as un message à délivrer, non ? Allons-y ! 


Elle se mit à piétiner le sol, impatiente et assez excitée par l'aventure. Et Rob chassa ses peur de sa tête une fraction de minutes, ne pas faire attendre Yenaa devenant la priorité de ses soucis.


  • Oui, j'arrive, dit Rob, essayant de donner à sa voix le même ton plein d'entrain pour cacher sa peur grandissante.

Elle ne bougea pas. D'abord il se demanda pourquoi, puis elle lui fit signe de passer le premier. Soucieux de faire attendre la chatte tigrée, le félin se leva si brusquement qu'il le fit en un bond. Rob Guts sourit nerveusement de nouveau à Yenaa, s'excusant silencieusement d'avoir été aussi peu réactif, puis sans plus attendre, le chat caméléon avança jusqu'à la fameuse sortie, le cœur commencant à gagner en pulsions, l'angoisse grandissant tellement qu'il en avait des nausées. Pourtant, il se força à avancer d'un pas assurant jusqu'à l'entrée du camp.
Il eut un dernier instant d'hésitation. Rob ouvrit la bouche pour respirer, tant la peur lui donnait la sensation de manquer d'air. Mais le courage de Rob resurgit lorsque Yenaa miaula, s'avança juste à côté de lui :


  • Après toi, Rob !


Le félin retint un soupir de soulagement : il ne fallait pas oublier qu'il n'était pas seul à s'aventurer en territoire ennemi. Il hocha la tête et fit, enfin, un grand bon qui le propulsa au dehors. Rob jeta un coup d'oeil en arrière : Yenaa semblait le suivre. Ravigoté, le chat caméléon fit comprendre à la chatte tigrée qu'ils devraient courir, le trajet jusqu'aux terres des Félinaes étant assez éloignés, ils devaient se hâter. Rob commença à trottiner, vérifiant que Yenaa suivait le rythme, puis lorsqu'il fut à peu près sûr qu'il ne la distancerait pas, il força l'allure.

Rob sentit les rayons du soleil et les ombres des arbres toucher son poil, et les feuilles mortes se soulever sur son passage et lui effleurer le poitrail, il se sentait plus confiant envers cette nature bien qu'elle ne fut pas normale. De temps à autre, il s'assurait que Yenaa parvenait à le suivre, puis il continuait, tentant de ne pas accélèrer, de ne pas essayer de ressentir plus d'air frais dans ses moustaches. Rob dut sortir de sa rêverie lorsqu'il distingua les bien connus arbres aux troncs blancs, d'ou dégoulinait une source rare d'eau potable. Enfin, ses arbres s'appelaient communément des champignons ! Mais ils étaient si grands, et leur pied semblaient si rugeux et semblables à une écorce que Rob trouvaient qu'ils étaient semblables à des arbres.

Le chat caméléon freina des quatre fers, puis lorsqu'il fut arrêté il avança sur la pointe des pattes, vérifiant préalablement que sa collègue était à ses côtés. L'oreille aux aguets, Rob n'en était plus à la rêverie : ils étaient chez les Félinae et même un messager pouvait se faire attaquer s'ils avaient le malheur de croiser la grosse brute de la guilde. Le félin se tourna doucement vers Yenaa et lui murmura à l'oreille :


  • Je propose que l'on se fasse tout petits jusqu'à ce que l'on soit tombés sur plusieurs chats de la Guilde. Même en venant en paix, certains sont assez idiots ou brutals pour nous sauter à la gorge. Il faut essayer de rester discrets et prudents.


Rob n'eut jamais le temps de voir la réaction de la chatte tigrée car, au même moment, des feulements et des grognements s'élevèrent, faisant fuir une bande d'oiseaux effrayés, au dessus des champignons. Entendant ces cris bestiaux de félins, Rob sursauta et d'instinct, se plaqua au sol, craignant d'être vu. Lorsqu'il fut convaincu que les guerriers s'entretuaient bien plus loin, la première envie de Rob fut de faire un détour, pour éviter de se faire prendre dans la bagarre. Mais cette émotion vicieuse, appelée curiosité fut plus forte, de plus Rob voulait s'assurer qu'un congénère Caméléon ne se trouvait pas au cœur de la bataille.


  • Allons voir ce qu'il se passe là-bas, en évitant de nous faire repérer, chuchota Rob presque naturellement et sans justification.


Rob s'avança à pas de loup, guidé par les feulements des chats enragés, tentant de rester dissimulé dans l'ombre des champignons, ventre à demi au sol, attentif aux moindre bruit. Arrivé plus proche encore de la zizanie, le chat caméléon sursauta de nouveau lorsqu'il entendit distinctement, maintenant, les voix des chats. Et au milieu des feulements, il entendait les combattants parler entre eux. Des Félinae qui parlent à leur ennemi ? C'était déjà étonnant de leur part : les membres de sa guilde étaient plutôt du genre à foncer dans une bataille sans réfléchir jusqu'à ce qu'un des adversaires faiblissent. Mais bien sûr, les combattants ne tapaient pas la causette, les voix que Rob entendaient distinctement étaient méprisantes, moqueuses, enragées et guerrières. Le chat caméléon s'avançait progressivement, discrètement, jusqu'à ce qu'il puisse entendre ce que disaient les voix :

...ue ici pour me reposer. Il y a de si belles terres, mutées et agréablement corrompues par les armes humaines, ne trouvez-vous pas? », fit la plus moqueuse des voix.


  • "Non chère soldate je les protège simplement.....", Rob entendit un autre, un mâle, miauler.


Ils attaquent un soldat ? Rob s'approcha d'avantage, la curiosité lui faisant perdre patience. Mal lui en pris : il était tellement concentré qu'il ne remarqua même pas les deux femelle Félinae face à lui, lui tournant le dos. Mais elles devaient avoir entendu le bruit qu'il faisaient dans leur dos. Rob paniqua : Ils allaient se faire repérer par les Félinae, et ils n'étaient pas dans leur meilleures humeurs...

Dans un dernier recours, le chat caméléon recula précipitamment, tentant de se cacher derrière le tronc d'un champignon, espérant que l'ombre les feraient passés inaperçus, lui et Yenaa, bien qu'il y ai peu de chance. 

© Katuro





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   Lun 26 Oct - 16:16


Rob Guts se leva d'un bond et lança un sourire nerveux à Yenäa, avant de prendre la direction de la sortie. La chatte tigrée se demandait s'il se sentait bien, car il semblait terriblement tendu. Mais il sembla parvenir à se calmer, car, après une respiration profonde, il bondit dans les bois et partit au trot. Yenäa le suivit sans difficulté, même lorsqu'il pressa le pas. Les sens aux aguets, mais malgré tout détendue, Yenäa courait derrière lui, le pas léger.
Le temps semblait être au beau fixe, et la température pour une mission en forêt était idéale. La nourrice soupira d'aise. Elle adorait sentir le soleil réchauffer sa fourrure, et les feuilles mortes sous ses pas crisser doucement. Le vent soulevait légèrement ses poils, transformant l'espace d'un instant cette mission potentiellement dangereuse en agréable balade.
Le pas rapide, ils atteignirent bien vite la Sylve et ses immenses champignons gorgés d'eau. Leur forme longiligne et claire rappelait un peu les bouleaux à Yenäa, malgré que les champignons soient bien plus imposants que les petits arbres.
Soudain, sortant Yenäa de ses pensées, Rob Guts s'arrêta d'un coup. Yenäa s'avança de quelques pas pour se mettre à sa hauteur. Il semblait nerveux. La chatte dressa l'oreille, consciente du danger potentiel. Rob se pencha vers elle et murmura :

- Je propose que l'on se fasse tout petits jusqu'à ce que l'on soit tombés sur plusieurs chats de la Guilde. Même en venant en paix, certains sont assez idiots ou brutaux pour nous sauter à la gorge. Il faut essayer de rester discrets et prudents.

Yenäa hocha la tête. Rob Guts avait tout à fait raison. Bien qu'elle ait des amis parmi les Felinae, il valait mieux rester sur ses gardes.
Soudain, Yenäa dressa l'oreille et son estomac se noua. Des feulements s'élevaient en contrebas. Les cris semblaient venir d'une bataille. La chatte se recroquevilla ; elle avait horreur de la violence. Près d'elle, Rob Guts s'était plaqué au sol, mais après s'être assuré que le danger était plus loin, se releva, et Yenäa lut dans ses yeux une forte curiosité. Elle se força à respirer. Après tout, il n'était peut-être pas trop tard pour empêcher un malheur d'arriver.

- Allons voir ce qu'il se passe là-bas, en évitant de nous faire repérer, chuchota le messager.

Yenäa ne put pas s'empêcher de frissonner, mais elle suivit son partenaire. Elle marchait à son côté, le plus silencieusement possible, entendant les feulements furieux se rapprocher de plus en plus.
Ils étaient proches de la querelle, à présent, et les voix des chats présents leur sautaient aux oreilles. Leur odeur leur parvenait aussi. Yenäa reconnut les senteurs des Felinae. Ils étaient plusieurs, et avec une Soldate, apparemment. Ils parlaient. La chatte se rapprocha un peu du conflit, après Rob Guts, jusqu'à entendre parfaitement la discussion.

- Non chère soldate je les protège simplement..., entendit-elle d'une voix masculine.

Lui, c'est un Felinae, devina Yenäa sans mal.
Elle vit Rob Guts s'avancer un peu, et hésita à lui murmurer d'être prudent. Deux chattes Felinae se tenaient devant eux. Mais ils les vit et recula d'un bond pour se cacher derrière un champignon. Yenäa ne bougea pas, écoutant le Felinae, qui possédait un pelage fauve tacheté, cracher violemment sur la Soldate, qui ne semblait pas pressée d'en découdre, au plus grand soulagement de la Caméléon. Elle avait beau haïr les hommes, les Soldats ne lui semblaient que des chats perdus dans les pièges humains, qu'il fallait aider et non combattre.
Soudain, le Felinae agressif bondit en avant sur la Soldate au pelage rouge, et donna un coup dans son oreille. Il lui lança d'un ton moqueur :

- Hé bé, ma pauvre tu vas m'attaquer pour ce petit coup ?

La fourrure de Yenäa se hérissa lorsqu'elle vit une goutte de sang, tache écarlate à peine visible sur l'oreille rouge de la femelle. Ils allaient se battre, ça devenait évident. Et elle n'allait pas supporter de les voir s'entre-déchirer. Lorsque le Felinae donna un autre coup à la Soldate, sur l'épaule cette fois, elle n'y tint plus, et oubliant tout bon sens, s'élança pour aller se placer entre le chat au pelage fauve et la Soldate.
Elle ignora leurs regards étonnés et pensa :
Excuse-moi, Rob.
Heureusement, personne ne semblait l'avoir vu. Ils étaient tous focalisés sur la chatte Caméléon qui venait de bondir entre eux.
Yenäa planta ses yeux dans ceux, bleu glacé, du mâle Felinae et miaula d'un ton impérieux :

- Arrêtez !

Elle se tourna également vers la Soldate. Le pelage tigré de Yenäa ne se souleva même pas : elle s'efforçait de rester calme pour éviter une autre effusion de sang.

- Se battre ne mène à rien !

Elle respira profondément et resta là, griffes rentrées, oreilles dressées, attendant de voir les réactions des uns et des autres. Mais elle savait une chose : pas question de s'écarter tant que les deux chats n'auraient pas rentré leurs griffes.

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   Lun 26 Oct - 18:17




Il t'était tout bonnement impossible d’espérer quelque calme venant d'eux, quelque rédemption. Le dialogue était peu commun face à deux partis appelant tant à la violence, et tu le savais bien. Tu ne devais tout de même pas être assez préparée, peut-être pensais-tu qu'au fond, ils aimeraient te contredire plutôt que d'attaquer. Oh, les personnes sont intenables, elles détestent informer les gens, mais adorent les contredire; surtout lorsqu'elles sont en mauvais terme, réciproquement. Alors, ça t'étonna un peu qu'il n'attende pas plus de temps pour te toucher, intenable petit Felinae qu'il était, susceptible et réfléchissant seulement par le prisme de la violence. Toi, tu aimais l'art des mots, le doux rampement des engrenages de la manipulation, mais tu n'étais pas faible, non. Tu savais comment réagir, instinctivement ou réfléchissant, c'était du pareil au même. De très bonnes actions en vue, sans stratégie ceci dit. Il se rapproche, les muscles de tes épaules se tendent, tu sais que ça ne va pas tarder à faire des étincelles, tu le voyais dans ses traits : il ne supportait pas une position neutre, il lui fallait dominer sans aucune foutue gêne.

« Non, chère soldate je les protège simplement... »

Protéger? C'est alors tout? Il n'avait que cela comme réponse; peut-être avait-il décroché? En soit, c'était une réaction logique, mais tu aimais à te demander pourquoi il parlait de cela, alors que tu venais juste de leur demander leur avis sur les terres mutées. Ceci dit, tu n'allais pas non plus leur reprocher leur manque d'admiration face au paysage dans une telle situation, car quelque soit le décor installé, peu s'en soucieraient. Mais bon, ils étaient trois, et tu leur avait nettement souligné ton peu d’intérêt face à une bataille, alors ils auraient au moins pu considérer le fait de ne pas user de la violence. Et ces deux femelles, discutant dans leur coin, te regardant d'une façon ahurie tandis que l'autre maintenait fermement une position appelant au sang. Pas si pacifistes que ça, c'était sûr. Ils étaient semblable à toi, et à tes pairs. Ils aimaient la violence, qu'ils l'admettent ou non, c'était comme gravé dans leur instinct. Marquer leur territoire au fer rouge, faire que le sang soit maître.

Il est désormais bien trop près, et ose te griffer à l'oreille. Il venait, en ouvrant ton corps, de déclarer si simplement la putain de guerre que tu allais le massacrer. S'il se battait, dieu, qu'il te saute dessus, sorte ses griffes, pas qu'il se pavane avec ce sourire narquois, et qu'il croit pouvoir espérer te vexer. Plus besoin d'excuse, n'était-il pas? Une jolie déclaration de guerre, en bonne et due forme, qui méritait tout autant de considération que si elle avait été une blessure plus grave. Non, là, c'était désastreux, peu esthétique, juste provocateur. Il le cherchait, clairement, et s'il pensait avoir affaire à un chat incapable de se battre, en reculant ainsi, comme un foutu soumis, et qu'il pouvait faire l'abruti, te griffer, te mordre, te blesser, qu'il y croit. Oh, qu'il y croit. Tu n'as pas failli, tu restes autant immobile. Ce n'était rien, tu n'allais pas te courber, pas te crisper de douleur, et tu n'échapperais sûrement pas un gémissement de surprise ou de douleur. Simplement, ta nuque se hérissa légèrement, et tu le fixa d'un regard absolument noir.

« Hé bé ma pauvre, tu vas m'attaquer pour ce petit coup? »

Tu l'observas, sans te mettre plus en garde. Oh, tu n'allais pas l'attaquer. Tu allais le massacrer. Tu savais bien qu'un pas en amenait un autre, et qu'il allait réitérer; et là, tu l'attraperais comme un poulet qu'on égorge, et tu lui ferais regretter toute son insolence envers l'aînée que tu représentais. La perfection de ta position, ça, il ne l'aura jamais. Et qu'il ose s'approcher, tiens donc, ce serait s'exposer à de plus grands dangers. Tu guettais peut-être une fébrile occasion de lui briser la nuque, mais apparemment, tu ne devais vraiment pas être sur tes gardes. Son regard te traversa, et tu tiquas, légèrement énervée par sa lenteur. Pouvait-il ne pas faire attendre l’audience, se bouger un peu le derrière et t'attaquer? Il bondit, et te tapa dans l'épaule. Ah, tu n'étais pas vraiment préparée à ce qu'il frappe ton côté bandé, rendu légèrement faible de la fracture de tes os. Tu t'inclina à cause de cela, en perdant l'équilibre, c'est alors il te mordit à l'oreille, et recula à nouveau.

Tu n'en croyais pas un mot; l'oreille ! Il avait tes yeux juste là, ta truffe exposée, ton museau devant lui, et c'est l'oreille qu'il frappe? Stupidité ambiante. Il aurait pu t'avoir d'un coup, te crever les deux yeux, te ficher un coup au menton et choper ton cou. Oh, tu ne lui en voulais pas d'avoir raté son coup, mais tu compris l'instant d'après que c'était un débutant fini. Très sérieusement, tu étais chanceuse d'avoir affaire à un chat si peu expérimenté. D'un autre côté, tu réfléchis très sérieusement aux dangers, et te décida de moins sous-estimer les autres, au cas ou la prochaine fois, pour peu qu'elle arrive, tu ai affaire à quelqu'un de nettement moins incompétent, ç'aurait pu t'être tellement fatal. Il recula donc à nouveau, sûrement une technique de faiblard avertit, et alors tu eut le choix d'agir.

Réfléchissant avec rapidité, tu regardas les deux chattes avoir une courte discussion, puis le léopard te sauta dessus. Tu aurais pu reculer, sincèrement, tu aurais pu lui ficher un coup avant qu'il ne t'attérisse dessus. Mais tu le laissas faire, souriant cruellement face à ça. Exposant ta nuque, il le mordit avec une certaine poigne. Diantre, ces jeunes avaient définitivement des meilleures mâchoires qu'on pouvait en avoir à ton époque. Tu courbas les épaules, souffrante. Ton pouvoir se mit en marche, et bientôt, ces crocs féroces enserrant ta nuque devinrent enfoncés dans une plaque de métal. Avant qu'il ne lâche par réflexe prise, tu te devais de jouer encore avec sa mâchoire. Réfléchissant vite, tu savais que tu ne pouvais rouler, ou te déplacer sur le dos d'une manière naturelle, et tu pensais qu'en te cabrant, soit il lâcherait la prise, soit tu manquerais tout simplement de force. Soulevant avec rapidité ta patte arrière droite et la durcissant, tu te fis toi même un croche-patte, glissa sur le dos, et t'écrasa sur le léopard.

Tu n'aurais pas aimé être à la place de l’impertinent qui venait de se recevoir quatre kilos de fer en ajoutant la force de l'impact sur les dents. Utilisant à nouveau tes pattes arrières, tu te redressas d'un seul coup, profitant que ton adversaire ait, par réflexe, évidemment lâché prise, et glissa pour faire un demi-tour, pour enfin le frapper sur le museau, et durcissant à nouveau ta patte. Tu grimaças, sentant les effets indésirables de picotement dans ton corps : les os de ta patte avaient du en prendre un sacré coup. Incapable de dire si ton adversaire saignait ou avait mal, tu te dis que reculer, un temps, pour souffler était la meilleure des idées. Puis, un chat étrange bondit de nulle part, ordonnant :

« Arrêtez ! »

Un peu sonnée, tu la regardas : elle était plutôt jolie, et semblait éternelle pacifiste. Tu détecta immédiatement qu'elle était une caméléon, et en sentant l'air, tu compris qu'elle n'était définitivement pas seule.

« Se battre ne mène à rien ! »

Elle à l'air impassible, clairement calme, sûre de ses mouvements. Complètement remise, tu secouas légèrement tes pattes, engourdies. La regardant d'un air légèrement courroucé, tu t'adressas à Thaiko :

« Je crains que le produit de la violence ne revient pas à ma présence. Je n’admettrais pas mon tort de me trouver ici, car tant que vous vous pavanerez dans vos soit-disantes terres avec les dons que les humains vont ont offerts, jamais je n'accepterais votre hypocrisie et le fait que vous profitiez sans retenue et sans gêne de tout ce qu'on vous donne. Si encore vous n'en faisiez pas usage, ce serait... Différent. »

Secouant tes pattes, tu avais le regard ailleurs, d'un air rêveur.

« Enfin, j'imagines que vous avez à vous dire, n'est-il pas, Caméléons? Vous arrivez à un bien triste moment; mais ne vous gênez surtout pas pour moi. Je ne suis pas aussi farouche que mes amis ici présents. »

T'asseyant, tu attendais d'eux qu'ils discutent avec les Felinae. Soulevant les yeux vers Thaiko, et ignorant le souhait de la chatte, tu lui dit avec calme :

« Viens. Vas-y, touches moi encore, et je te massacre sans autre forme de procès. »

Tu avais conscience que tu était trop intrusive, et que s'ils avaient quelque chose à faire ici, c'était certainement pas avec un soldat, mais ça ne te concernait vraiment pas, alors tu te fichais bien de leur avis.


Hrp:

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   Mer 28 Oct - 21:09


J'ignora la femelle qui nous disait d'arrêter,j'eu soudain très mal au dents la soldate c'était durcit la peau et me provoqua. Mais elle ne savait pas que je serais gagnant à coup sûr.
La douleur au dents m'empêcha de bien parler au début mais je m'habitua après.

-"T.. Ai!tu, tu fe-ferais mieux de partir... avant qu'il ne sois trop ta-tard..... Ton pouvoir ne te servira à.. à rien face au mien. Mais c'est toi qui viens de me provoquer alors par politesse je me dois de répondre. Non?"

Je recula et siffla au autre "reculés" mais sans qu'ils posent des questions je leur donna des coup pour qu'ils reculent. Je me mis devant eux pour pas qu'ils bougent et je créa une tornade de glace mais mon mal de dents m'empêcha de bien me concentrer, je réussi à en faire une quand même, elle était haute comme trois chat car c'était largement suffisant pour que la soldate choisisse de partir. Elle n'avait pas un gros diamètre mais justement c'était mieux pour la diriger. Je la cacha au début derrière un champignon pour pas que la soldate la voie. Je la fit surgir et frappa la soldate avec. Mais j'en eu vite mare alors je fis tourner ma tornade sur elle même et pour m'amuser un peu je la fit tourner autour de la soldat, se tour devint vit le diamètre de ma tornade. Je piégea la soldate à l'intérieur, mais je ne voulais pas terminer le combat maintenant alors je stoppa ma tornade. Je regarda ce qui nous entouré, juste des grands champignons. Bon ce n'est pas grand chose, mais je vais devoir faire avec....; Je me concentra faire un gros diamètre m'avais un peu fais mal à la tête et un peu fatiguais. Je refis une tornade haute comme trois chat au petit diamètre et la dirigea vers la soldate mais juste au moment où elle allait la percuter le fis disparaître ma tornade. Je fixa sous la soldate puis je fis une tornade et la fis grossir, la soldate était perchée sur ma tornade qui gagnait de la auteur mais cela me faisait mal au dents. Je ne voulais pas la faire très très haute pour ne pas la tuer car je n'aime pas la mort et j'avais appris au cour de mon existence que la violence ne servait pas pour les minis querelles. (pensée à Olive.) J'avais élevé la tornade plus haut que les champignons et d'un coup je la fis disparaître, la soldate tomba dans le vide, mais je suis gentil je n'aime pas la violence alors je refis une tornade pour la poser au sol. Je la regarda satisfais:

-"Alors convaincue?" Je réprima un petit rire et fis demi-tour. J'étais fatiguer et j'avais mal au dents alors je partis m'allongeai sous un champignon, je ramena ma queue de glace devant mes yeux et ouvris grand la gueule, mes dent n'avait pas trop était endommageait à par une qui était cassé au bout, mais elle me faisais souffrir...

Tu payera mes dents sale soldate!

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   Ven 30 Oct - 16:55


Faire le factor chez les Felinaes est un métier dangereux

Featuring Rob Guts - Yenäa - Pandémie - Thaïko - Kira
Thaïko mordait toujours la nuque de Pandémie lorsque quelque chose d'étrange se produisit. L'ennemie courba d'abords les épaules, puis, elle se fit un croche-patte. À elle-même. Bizarre. L'intruse glissa donc sur le dos, et le félin au pelage de léopard se retrouva écrasé. Étrangement, il semblait énormément souffrir, bien plus que quand on se fait écraser. Je sais, c'est stupide comme phrase, car, quand on se fait écraser, on a forcément mal. Peu importe. Et aussi, une de ses dents semblait cassée. Comment avait-il pu se casser une dent en mordant quelqu'un ? Ça sent l'utilisation de pouvoir, tout ça… Pendant toute ces réflexions, Pandémie s'était relevée avec l'aide de ses pattes arrière, fit demi-tour et donna en énorme coup sur le museau du défenseur. Ensuite, elle recula. Nokota émit un grondement sourd. Soudain, un cri sortit de nulle part.

- Arrêtez !

La combattante regarda de tout les côtés pour trouver d'où venait le cri, puis repéra une jolie chatte blanche tacheté de marron clair. Elle lui disait quelque chose. La femelle devait l'avoir rencontré quelque part, une fois. La chatte blanche huma l'air. Une Caméléon, à ne pas en douter. Ça y est ! Cette femelle était Yenäa ! Mais que faisait une nourrice ici ? Ensuite, elle continua :

- Se battre ne mène à rien !


Du Yenäa tout craché. Une pacifiste dans l'âme. Le silence s'était abattu dans la Sylve. Se fut, à son grand étonnement, Pandémie qui reprit la parole la première, en faisant tout un discours, comme à son habitude depuis que Nokota l'avait rencontrée.

- Je crains que le produit de la violence ne revient pas à ma présence. Je n’admettrais pas mon tort de me trouver ici, car tant que vous vous pavanerez dans vos soit-disantes terres avec les dons que les humains vont ont offerts, jamais je n'accepterais votre hypocrisie et le fait que vous profitiez sans retenue et sans gêne de tout ce qu'on vous donne. Si encore vous n'en faisiez pas usage, ce serait... Différent.

Elle se secoua les pattes, et reprit d'un air rêveur :

- Enfin, j'imagines que vous avez à vous dire, n'est-il pas, Caméléons? Vous arrivez à un bien triste moment; mais ne vous gênez surtout pas pour moi. Je ne suis pas aussi farouche que mes amis ici présents.

La combattante grondait toujours. La Soldate commençait à lui taper sur le système.

Quelle lance encore une pique de ce genre, et je la réduit en charpie...

L'ennemie s'assit, comme si tout était normal, et posa son regard jaune-ambré sur Thaïko, et lui dit avec un calme qui ne collait pas du tout avec ses paroles  :

- Viens. Vas-y, touches moi encore, et je te massacre sans autre forme de procès.

La queue de la Felinae se balançait lentement au dessus du sol. Elle sentait que, près d'elle, Kira ne résisterai pas longtemps avant que son pouvoir déferle sur eux. Peu après, Thaïko prit la parole. Enfin, essaya, car il avait beaucoup de difficultés a prononcer la plupart des mots qui sortaient de sa gueule :

- T.. Aie! Tu, tu fe-ferais mieux de partir... avant qu'il ne sois trop ta-tard..... Ton pouvoir ne te servira à.. à rien face au mien. Mais c'est toi qui viens de me provoquer alors par politesse je me dois de répondre. Non ?

Aie ! Ça sentait pas bon, ça. Sans qu'elle et son amie aie le temps de dire ou de faire quelque chose, "la panthère" recula et siffla :

- Reculez !

Alors qu'elle allait protester, il lui donna plusieurs bon coup de patte. Nokota plissa les yeux, puis ce décida à faire quelque pas en arrière. Un instant après, elle se dit qu'elle avait bien fait. Une tornade de glace s'était mise à danser. Grand et majestueuse, il lui semblait que même si un chat très haut sur patte se dressait sur ses pattes arrière, il ne réussirait pas à être aussi grand. La combattante compris aussitôt que c'était le défenseur qui la dirigeais. Il la cacha derrière un champignon. Cela ne sembla pas très astucieux à la femelle, car elle savait que Pandémie l'avait déjà vue, mais elle choisi la voie du silence. Peu après, le démon de glace surgit et frappa la Soldate. Thaïko la fit ensuite tourner autour de la chatte au pelage de feu puis, au fur et à mesure, la tornade s'élargis pour entourer totalement l'ennemie, qui se retrouva piégée dedans. Puis, d'un coup, la tornade disparu. La chatte à la fourrure enneigée jeta un regard vers le chat léopard, qui semblait plutôt mal-en-point, mais elle devina qu'il avait stoppé cette furie de son plein gré. Il en fit apparaître un autre peu après, de la même hauteur, mais avec un bien plus large diamètre. La tempête de glace se dirigeais dangereusement vers l'intruse, et, au moment fatidique, elle disparu. Nokota compris enfin : le défenseur s'amusait ! Cela la fit frissonner : comment on pouvait jouer avec la vie des gens ? Puis, il fixa le sol sous les pattes de Pandémie.

Nan… il va vraiment le faire ? Et…… oui. Évidemment. Comment était-ce possible autrement ?

Le sol sus la Soldate se mit légèrement à trembler et, petit à petit, de la glace forma une nouvelle tornade en furie. L'intruse se retrouva bientôt au sommet d'un tornade aussi impressionnante qu'élégante, qui ne cessait de gagner en hauteur.

Bon sang, mais il va finir par la tuer !

La géante de glace s'élevais maintenant plus haute que les champignons. La combattante espérait que la chatte au corne de bouc n'avait pas le vertige. D'un coup, la glace tournoyante disparu, et un corps couleur sang se tortillait dans l'air, essayant de s'attraper, en vain, à quelque chose. Les yeux de la femelle blanche se glacèrent -c'est le cas de le dire- d'effroi. Qu'elle horrible mort : tomber d'un cinquantaine de mètre et de se briser les os. La Felinae fit un bons en arrière à la dernière minute : le défenseur avait invoqué une autre tornade pour rattraper Pandémie, pour que son arrivée sur le sol soit moins brutale. Avec regard satisfait, il dit à la Soldate :

- Alors, convaincue ?

Le contrôleur de glace fit demi-tour et s'allongea sous un champignon, sa queue glacée ramenée vers l'avant et la gueule ouverte. Soudain: plic - ploc - plic - ploc. La pluie. Une grosse goutte s'écrasa sur la truffe de Nokota. Peu après, tes trombes d'eau tombaient, malgré l'endroit couvert par les chapeaux des champignons.

Je ne préfère pas être à la place qui c'est retrouvé sous cette pluie sur un terrain découvert !

Néanmoins, cette pluie était une très bonne occasion pour la combattante. Elle fit appel à son pouvoir et, petit à petit, de plus en plus de goutte étaient attirées vers elle. La femelle sourit. On aurait dit des petits êtres qui quittaient leurs postes pour venir l'écouter. Les gouttes rejoignirent la grosse goutte qui s'était formée devant sa tête. Elle lui ordonna de ne pas bouger et souffla à Kira :

- Tu es prête ? Bien que les tornades de Thaïko ont du flanquer la peur de sa vie à cette Soldate, je doute qu'elle ravale son orgueil pour s'enfuir.


© codé par Michy/Answer/Kuma

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   Sam 31 Oct - 11:56


Thaiko mordait toujours la nuque de Pandémie mais quelque chose de bizarre se produisit. La Soldate courba les épaules, puis elle se fit une croche-patte, mais à elle-même ! C'était étrange. La femelle glissa sur le dos, et Thaiko se retrouva écrasé. Et il semblait énormément souffrir, plus que quand on se fait écrasé. C'était stupide comme phrase mais comment vous dire que ce n'était pas ma plus grande préoccupation. Thaiko semblait avoir une dent cassé. On ne se casse pas une dent en mordant dans la nuque d'un chat ! Cette chatte avait dû utiliser son pouvoir, qui devait lui rendre la peau plus dure, comme de la pierre. Pandémie se releva grâce à ses pattes arrières, puis fit demi-tour et donna un gros coup sur le museau  du défenseur. J'allais craquer, je me concentrais un peu plus pour que le feu qui était en moi brûle encore plus. Soudain un cri se fit entendre.

- Arrêtez !

Une chatte blanche tachetés de marron clair sortit des buissons, c'était une Caméléons. Je n'étais pas franchement enchanté de la voir, je ne lui veux aucun mal mais les Caméléons sont pacifiques, ils n'aiment se battre. La pauvre femelle allait se faire réduire en bouillie si elle restait ici.

- Se battre ne mène à rien !

Puis un silence s’abattit dans la Sylve. J'avais un peu peur pour la jeune Caméléons, et si la Soldate l'attaquait ?  Puis Pandémie cassa le silence en faisant un grand discours, comme à son habitude.

- Je crains que le produit de la violence ne revient pas à ma présence. Je n'admettrais pas mon tort de me trouver ici, car tant que vous vous pavanerez dans vos soi-disant terres avec les dons que les humains vous ont offerts, jamais je n'accepterais votre hypocrisie et le faite que vous profitiez sans retenue et sans gène de tout ce qu'on vous donne. Si encore vous n'en faisiez pas usage, ce serait.... Diffèrent.  

Elle se secoua les pattes puis reprit :

- Enfin, j'imagine que vous avez à vous dire, n'est-il pas, Caméléons? Vous arrivez à un bien triste moment; mais ne vous gênez surtout pas pour moi. Je ne suis pas aussi farouche que mes amis ici présents.

Un grondement monta dans ma gorge, la combatte commençait sérieusement à m'énerver !Mais tu peux pas te taire ! L'ennemi s'assit, comme si il ne c'était rien passé et elle posa son regard ambré sur le défenseur, et elle lui dit calmement :

- Viens. Vas-y, touches moi encore, et je te massacre sans autre forme de procès.

Si ça c'était calme alors qu'est-ce que c'est quand elle s'énerve ! Mon pouvoir commençait à devenir brûlant et les gouttes de sueur était de plus en plus nombreuse. Un instant plus tard Thaiko reprit la parole, enfin il essaya, il avait du mal à prononcer la moitié des mots qui sortaient de sa bouche.

- T.. Aie! Tu, tu fe-ferais mieux de partir... avant qu'il ne sois trop ta-tard..... Ton pouvoir ne te servira à.. à rien face au mien. Mais c'est toi qui viens de me provoquer alors par politesse je me dois de répondre. Non ?

Les deux chattes n'eurent pas le temps de faire la moindre chose quand Thaiko recula et siffla :

- Reculez !

Je voulais protester mais Thaiko donna de bon coup de patte, je décidais de faire quelques pas en arrière mais à contre cœur, mais j'avais bien fait, quelques minutes plus tard une tornade de glace c'était formée, elle était grande et même si un chat se dressait sur ses pattes arrières il ne pourrait pas la dépasser. Je compris vite que c'était Thaiko qui l'a dirigeait. Il cacha la tornade derrière un champignon, ce n'était pas très astucieux car Pandémie l'avait déjà vu mais il valait mieux ne rien dire. Juste après la tornade surgit et frappa Pandémie. Thaiko la fit tourner autour de la Soldate et au fur et à mesure elle entoura complètement Pandémie qui se retrouva piégé dedans. Soudain la tornade disparut. Le chat panthère l'avait stoppé de son plein gré ! Puis il en fit apparaître une autre, de la même hauteur mais elle était beaucoup plus large. Elle se dirigeait vers l'ennemi et au dernier moment elle disparue. Thaiko s'amusait ! Puis il fixa le sol sous les pattes de la Soldate. Il va vraiment le faire ? Le sol sous Pandémie se mit à trembler et, petit à petit la glace forma une nouvelle tornade, toujours plus large que les anciennes. Mais il va la tuer ! La tornade de glace disparut soudainement, et la Soldate se tortillait en l'air, essayant en vain d'attraper quelque chose. Si la tornade disparaissait la Soldate allait s'écraser à cinquante mètres du sol ! Quelle mort horrible. Si je le pouvais j'aurais fait quelque chose, croyez-moi mais que pouvais-je faire ? A la dernière minute Thaiko invoqua une autre tornade de glace pour rattraper la Soldate. Et avec un regard satisfait il dit à Pandémie :

- Alors, convaincue ?

Le chat panthère fit demi-tour et alla s'allonger sous un champignon, avec sa queue ramené vers lui et la gueule ouverte. Soudain de la pluie commença à tomber, et peu après des pluies torrentielles tombèrent, enfin ce n'était pas aussi fort mais il pleuvait tout de même, malgré l'endroit couvert pas les champignons. Nokota fit appelle à son pouvoir  et de plus en plus de gouttes vinrent vers elle. Nokota sourit. Puis elle me souffla :

- Tu es prête ? Bien que les tornades de Thaïko ont du flanquer la peur de sa vie à cette Soldate, je doute qu'elle ravale son orgueil pour s'enfuir.

Enfin ! C'était à mon tour de jouer, je me concentrais et ordonna au feu de faire chauffer l'eau de Nokota, une boule de feu entoura son eau et commença à la chauffer. Puis je lui dit :

- Voilà ton eau est brûlante maintenant, quand à moi je vais lui cramer les poils !

Mes yeux était en feu quand je posais mon regard sur Nokota, puis je lançais une flamme gigantesque sur Pandémie. Elle fut projetée contre un arbre. Je sortit mes griffes et prépara une autre flamme. Je jetais un coup d’œil à Nokota, elle semblait impressionné pourtant je n'avais lancé qu'une flamme.

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   Sam 31 Oct - 13:53


Colère de Caméléon
«Yenaa, Pandémie, Thaiko, Nokota, Kira »

Rob tentait péniblement de garder son calme. Mais c'était peine perdue... Les évenements qui venaient de se dérouler devant ses yeux tournaient dans sa tête et faisaient monter la sueur à son front : Le chat léopard guerroyant -que dis-je ? La brute épaisse- ignorant Yenaa et sans se soucier s'il pourrait la blesser par accident ou non, sa tentative d'effrayer la Soldate à la fourrure rouge d'une façon... extrème. Le chat caméléon eu un frisson, -malgré qu'il ne la connaisse pas et qu'elle semblait aussi chercher un peu la bagarre avec les Félinaés- d'empathie pour cette féline soldate qui s'était fait attaquée pour s'être un peu baladée dans la Sylve. Heureusement la brute épaisse ne semblait pas assez stupide pour ne pas se rendre compte qu'il risquait de la tuer : apparemment c'était une … tentative de lui faire peur ? Rob n'en trouva pas moins que c'était exagéré. Et bien sûr, l'idiotie c'est contagieux : les deux femelles Félinaés s'étaient dit que c'était une briiiillante idée de traumatiser d'avantage la Soldate, et accessoirement sa camarade Caméléon en utilisant leurs pouvoirs à mauvais escient.

Les images défilèrent en une fraction de secondes dans la tête de Rob, et lorsqu'il eut à nouveau les idées en place, le chat caméléon n'hésita plus une seconde : il se dévoila au grand jour, sa colère grandissante lui donnant le sentiment de ne plus avoir peur des trois enragés. Le félin fondit en un bond sur la Félinaé bicolore l'empêchant de lancer une autre boule de feu. Les poils dressés Rob profita du moment de surprise de la féline pour lui cracher au visage, il s'adressa également à la Soldate et au chat léopard qui combattaient toujours l'un contre l'autre :

«  Arrêtez ! »

Ceci dit, Rob tourna un instant le dos aux batailleurs pour se poster à côté de Yenaa. Son regard plus que lourd de reproche s'adoucit lorsqu'il se croisa le regard de sa camarade caméléon. Il ouvrit la gueule pour lui parler, mais se ravisa : dans cette situation il ne servait à rien de parler, les gestes et les regards suffisaient à dire Je suis avec toi ! Rob fit alors volte-face, s'avança de quelque pas puis s'assit lentement tentant de prendre un ton calme, mailgré son poil en bataille trahissant sa fureur

«  On en a déjà vu des brutes chez Félinaé, mais là, sincèrement, vous touchez le fond ! ».

Le chat caméléon marqua une pause pour bien laisser aux combattants le temps d'enregistrer ses paroles dans leur petites têtes de moineaux.

«  D'après ce que je sais de vos principes, vous êtes censés contre-attaquer quand on tente de vous sauter à la gorge... et non pas quand un chat se balade dans la Sylve et que ça ne vous plait pas !En plus...., le félin roux serra les dents pour ne pas cracher à nouveau au visage de ces chats déjà bien hostiles, Je suppose, et espère grandement, qu'on ne vous a pas appris à ignorer un chat qui s'interpose pour calmer les esprits et continuer à vous battre avec des pouvoirs dangereux, sans prendre en compte que vous pourriez blesser gravement ce chat !  »
Il choisit ce moment pour s'approcher de Yenaa et lui chuchoter à l'oreille :

«  Voilà, c'est ce genre de sales matous enragés dont je te mettais en garde tout à l'heure ! »

Rob Guts aurait dût s'arrêter là, mais la rage et la frustration -surtout lorsqu'on savait que tout les Félinaé n'étaient pas tous aussi brutaux- le fit continuer, le chat caméléon tenta de rester calme mais sa voix pris une ton moqueur, condescendant :

«  Ah et pour votre gouverne, amis Félinaé, il se tourna vers ce fameux chat léopard, le plus agressif, Quand on utilise à mauvais escient son pouvoir, et avec trop de puissance on risque de tuer le chat qui reçoit le coup. Comme par exemple... je sais pas moi, il feigna de réfléchir, Envoyer un chat à plus de cinq mètres de hauteur en prenant le risque qu'il fasse une chute... ou encore... lui lancer une boule d'eau brûlante dessus sachant qu'il est possible qu'il se la reçoive en pleine face...Ce genre de chose, qu'on appelle communément « agir comme des crétins irresponsables» !  »

Rob les toisa intensément de son œil gauche ensanglanté avant de conclure d'une voix beaucoup plus sérieuse :

«  Quand on sait que la plupart de vos camarades auraient été plus raisonnables, plus responsables et enclins à discuter... vous faîtes honte à tout les guerriers Félinaés un temps soi peu plus intelligents que j'ai pu rencontrer! »

Le chat caméléon poussa un soupir pour essayer de calmer sa colère, toujours au côté de Yenaa, fier de sa déclaration mais surveillant de très près et prudemment les moindres réactions hostiles des trois guerriers, il tentait également de ne pas perdre la Soldate des yeux : malgré tout, elle pouvait à tout moment leur préparer un mauvais coup.


Il regretta tout de même d'avoir été trop hargneux, il espérait qu'ils ne finiraient pas en charpie, Yenaa et lui, à cause de ses maladresses.


"Désolé j'ai pas pu m'empêcher... quelle bande de crétins!" marmonna-t-il vaguement à Yenaa, sans trop articuler, trop occupé à surveiller les baguarreurs.

© Katuro





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   Sam 31 Oct - 18:12


La Soldate au pelage rouge prit la parole. Je ne savais si elle s'adressait à moi ou au Felinae qui l'avait attaquée, mais elle parlait d'une voix froide et posée.

- Je crains que le produit de la violence ne revient pas à ma présence. Je n’admettrais pas mon tort de me trouver ici, car tant que vous vous pavanerez dans vos soit-disantes terres avec les dons que les humains vont ont offerts, jamais je n'accepterais votre hypocrisie et le fait que vous profitiez sans retenue et sans gêne de tout ce qu'on vous donne. Si encore vous n'en faisiez pas usage, ce serait... Différent.

Alors, elle ne faisait que se promener. Et c'étaient les Felinae qui avaient attaqué en premier. Je jetai un regard au chat-léopard pour le réprimander, mais la Soldate continua :

- Enfin, j'imagine que vous avez à vous dire, n'est-il pas, Caméléons? Vous arrivez à un bien triste moment; mais ne vous gênez surtout pas pour moi. Je ne suis pas aussi farouche que mes amis ici présents.

Elle s'assit. Je me relâchai un instant, pensant qu'elle avait abandonné l'idée de se battre. Mais je me trompais, car elle lança au mâle tacheté d'un ton sifflant :

- Viens. Vas-y, touches moi encore, et je te massacre sans autre forme de procès.

Le Felinae voulut lui répondre, mais sa blessure à la mâchoire le fit bégayer. Voilà précisément pourquoi se battre est stupide : on risque d'être irrémédiablement blessé !

- T.. Aie! Tu, tu fe-ferais mieux de partir... avant qu'il ne sois trop ta-tard..... Ton pouvoir ne te servira à.. à rien face au mien. Mais c'est toi qui viens de me provoquer alors par politesse je me dois de répondre. Non ?

Je n'eus même pas le temps de comprendre qu'il cria, probablement à l'adresse de ses deux partenaires de Guilde :

- Reculez !

Et une tornade de glace surgit violemment de nulle part. Je fis un bond en arrière, craignant d'être touchée par le puissant pouvoir du mâle Felinae. Mais la tornade visait la Soldate. Elle l'envoya haut dans les airs et mon estomac se noua. Le mâle se montrait imprudent. Je serrai les crocs, furieuse envers cet écervelé. Était-il fou de risquer ainsi la vie d'autrui ?
Soudain, la tornade qui entourait la Soldate disparut et elle commença à chuter. Une autre tornade fit mine de la rattraper, mais disparut à son tour.
Quel imbécile ! Il allait finir par la tuer !
D'un coup, surgissant du sol, une dernière tornade la réceptionna à la dernière minute.
Mon pelage se hérissa. Le chat-léopard lança d'un ton railleur et arrogant :

- Alors, convaincue ?

Puis, en gardant sur le visage ce petit air supérieur, alla s'allonger. Des fines gouttes de pluie trempèrent mon pelage. Soudain, une énorme flamme alla frapper la Soldate et l'envoya valser contre un champignon géant. Je sentis la chaleur des flammes qui me frôlèrent, mais je ne fus pas blessée : j'avais eu de la chance de ne pas être touchée. Je me retournai sur les deux chattes. L'une, blanche et tigrée, semblait entourée de feu. Elle avait probablement lancé ces flammes. Quant à la chatte qui l'accompagnait, je la reconnus aussitôt : Nokota. Elle semblait concentrer de l'eau fumante autour d'elle. Ainsi elles comptaient se battre aussi !
Je feulai furieusement dans leur direction.
Soudain, une voix résonna dans la Sylve et je me poussai un soupir de soulagement.

- Arrêtez !

Rob Guts vint se placer près de moi. Je me sentais moins seule et je lui étais reconnaissante d'être resté. Ses yeux croisèrent les miens. Il ouvrit la gueule, mais se ravisa, préférant me montrer son soutien sans parler. C'était mieux, dans ce genre de situation critique. Il se tourna vers la Soldate et le Felinae, la fourrure en bataille, et leur lança d'une voix maîtrisée :

- On en a déjà vu des brutes chez Félinae, mais là, sincèrement, vous touchez le fond !

Il fit une légère pause, comme pour leur laisser le temps de digérer ses paroles.

- D'après ce que je sais de vos principes, vous êtes censés contre-attaquer quand on tente de vous sauter à la gorge... et non pas quand un chat se balade dans la Sylve et que ça ne vous plait pas ! En plus....

Il s'interrompit un instant ; il semblait ravaler sa fureur.

- Je suppose, et espère grandement, qu'on ne vous a pas appris à ignorer un chat qui s'interpose pour calmer les esprits et continuer à vous battre avec des pouvoirs dangereux, sans prendre en compte que vous pourriez blesser gravement ce chat !

J'aplatis mes oreilles. Je n'aimais pas trop être le centre du dialogue. Rob Guts se pencha vers moi et murmura :

- Voilà, c'est contre ce genre de sales matous enragés que je te mettais en garde tout à l'heure !

Je pris un air penaud. J'avais été bien imprudente. Je lui soufflai un petit "désolé", mais il ne dut pas l'entendre car il poursuivit son discours. Son ton était devenu plus moqueur, et il était bien plus assuré que moi.

- Ah et pour votre gouverne, amis Felinae, quand on utilise à mauvais escient son pouvoir, et avec trop de puissance on risque de tuer le chat qui reçoit le coup. Comme par exemple... je sais pas moi, envoyer un chat à plus de cinq mètres de hauteur en prenant le risque qu'il fasse une chute... ou encore... lui lancer une boule d'eau brûlante dessus sachant qu'il est possible qu'il se la reçoive en pleine face... Ce genre de chose, qu'on appelle communément "agir comme des crétins irresponsables".

Wow. Là, il y allait fort. Il risquait de les provoquer encore plus, mais je n'osais pas l'interrompre.

- Quand on sait que la plupart de vos camarades auraient été plus raisonnables, plus responsables et enclins à discuter... Vous faites honte à tous les guerriers Felinaes un temps soi peu plus intelligents que j'ai pu rencontrer !

J'observais attentivement le chat-léopard et la Soldate. J'espérais qu'elle, au moins, serait plus raisonnable, car elle était en danger de mort avec cet abruti dans les parages.
Rob Guts me murmura de nouveau à l'oreille :

- Désolé j'ai pas pu m'empêcher... quelle bande de crétins !

Je lui répondis sur le même ton :

- Ne te sens pas coupable. C'est entièrement de ma faute.

Je grimaçai légèrement et rajoutai :

- Espérons que ton beau discours suffise à les calmer. Je n'ai pas particulièrement envie de foncer dans le tas pour les séparer, surtout après avoir vu de quoi était capable ce petit écervelé.

Puis je me tournai vers Nokota en lui jetant un regard furieux. Et je lançai à son attention :

- Je suis déçue. Je pensais que tu valais mieux que ça.

Je détournai ensuite mes yeux d'elle, car pour le moment, elle n'était pas ma préoccupation première. Je pris une grande inspiration, tendue, et attendit de voir les réactions de la Soldate et du Felinae.


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   Mer 4 Nov - 15:51




Tu fixa Thaiko un instant, savourant doucement la douleur qui l'atteignait au visage, sans aucune connaissance de la réplique qu'il s'apprêtait à te donner:


«T.. Ai!tu, tu fe-ferais mieux de partir... avant qu'il ne sois trop ta-tard..... Ton pouvoir ne te servira à.. à rien face au mien. Mais c'est toi qui viens de me provoquer alors par politesse je me dois de répondre. Non?"»


Il avait l'air plus sûr de lui, et tu savais qu'indéniablement, il allait faire quelque chose. Tu n'étais pas d'accord avec ses affirmations; tu avais simplement répliqué à une attaque et par conséquent aucunement tu ne l'avait provoqué, ceci dit tu envisageais qu'il parlait de ta petite menace, et tu compris que tu avais affaire à un chat très susceptible, perfectionniste face à l'ennemi. Ce n'était pas un mal en soit, tu étais sûrement très proche de sa conception des choses, mais néanmoins, quelque chose te perturbais. Peut-être que tu savais quelque part que tu n'avais nullement connaissance de ses capacités, et que par extension, il jouissait peut-être d'un pouvoir nettement plus intéressant que le tien. Tu n'en doutais absolument pas, à dire vrai. Si ça avait été une faribole, il ne t'aurais jamais adressé la parole de cette manière; et s'il disait explicitement qu'il allait te répondre, ce ne serait pas avec un assaut, du moins pas physique, tu étais trop préparée pour cela. Une fraction de seconde s'écoula, avant que tu ne comprenne que tu ferais mieux de sérieusement envisager l'option qu'il puisse te faire mal, alors tu te levas, sur tes gardes, impassible.

Il recula de quelques bonds, et tu baissais lentement les oreilles lorsque tu remarquais qu'il avait tant de considération pour l'éloignement de ses amis, dans la zone de sécurité imaginaire qui semblait se tracer, qu'il les forçait à s'écarter avec violence. Tu envisageas un instant de reculer, mais une peur étrange commençait à te prendre au tripes, et tu ne voulais pas non plus lui dévoiler quoi que ce fut de faiblesse, ce serait trop simple. Un soldat ne doit jamais montrer ses faiblesses; parce qu'il en n'a absolument aucune. Tu restais tout de même sur tes gardes, nettement plus intéressée par la situation qu'auparavant. Tu avais l'impression que ce regard plein de rage et haineux ne t'était pas adressé, comme si tu étais spectatrice de la scène étrange. Et c'est peut-être ça qui t'empêcha d'avoir plus de réaction, plus de rapidité pour réagir, lorsque tu distingua le monstre de glace qui dansait devant toi. Tes pupilles se dilatèrent, tu le regarda avec d'énormes doutes dans ton esprit : une véritable tempête de glace, là, haute comme trois chats, qui te menaçait dangereusement.

Tu faillis rire lorsqu'il la "cacha" derrière un champignon. Tu n'étais pas idiote, tu l'avais bien vu; c'était quand même trois fois plus grand que toi, il fallait pas qu'il te prenne pour une conne non plus. Mais il la fit vite ressortir, plutôt réaliste le bonhomme. Il te frappa avec, et tu eut une sensation déchirante : tu poussas un cri. Ta chair s'était douloureusement tordue, tandis que des touffes de poils rouges voletèrent dans l'air. Tu grimaça, reculant automatiquement, décidée à réagir du mieux que tu pouvais face à cette étrange agression. Tu n'avais jamais été frappée par une tornade, et tu devais avouer que la sensation était des moins agréables. Il la fit tourner autour de toi, te paralysant. Tu durcit ta peau entièrement, tremblante, peu certaine des prochains assauts. Soudainement, tu te retrouva dans la tornade, sans que tu ne sache comment elle t'avais emportée dans son étreinte horrible, dansant dans le paysage. Tu battais en vain des pattes, tentant de trouver de l'air, étouffée par le torrent qui se déchaînait : le froid te faisait horriblement souffrir, et enserrait un peu plus ta gorge, alors que tu manquait terriblement d'air.

La douleur disparut, alors que tu t'écrasa lamentablement au sol. Aucun orgueil ne comptait, alors que tu te relevait, encore plus mal en point qu'après une séance d'entraînement intensive, lorsque tes os hurlaient de douleur. Une fois, il s'amusa avec tes nerfs, faisant mine de te toucher avec une nouvelle tornade; ce n'est qu'après qu'il en fit apparaître une en dessous de toi. Tombant dans la tornade, tu ressentis le même torrent d'émotions douloureuses, alors qu'il te laissait tomber, horriblement haut. Un instant, tu crut que tu allais en mourir.

Ici? Par ce Felinae? Tu jurais par tout ce que tu avais que tu l'hanterait, lui et ces deux merdeuses qui l'accompagnaient, lorsque tu serais devenu un esprit malin, tourmenté par sa mort. La haine te déchira le cœur, alors que tu tombais, fermant les yeux, attendant l'impact. Il te déposa au sol avec une tornade. Tu savais que c'était la fin, tu te le disais. C'était bon, tu allais pouvoir rouvrir les yeux. Étendue sur le sol, tu n'avais nullement l'intention de te relever.

« Alors convaincue? »

Lui, tu allais le démonter. Tu allais le massacrer. Tu te le jurais. Tu aurais sa putain de peau. Qu'il ose ainsi te parler, rire. Non, tu ne l'acceptait pas. Tout simplement. Tu te releva, lentement, gardant les yeux fermés. Tremblant, tu devais avoir l'air en piteux état. Tu respirais l'air, tes poumons douloureux ne te causaient plus de tort, tant que tu pouvais vivre. Tu rouvrit les yeux, espérant revoir un environnement normal : ce que tu vit, c'était étrange. Une fraction de seconde avant l'impact, tu crut reconnaître une sorte de forme circulaire, une boule ? Puis, l'instant d'après, tu fut projetée avec puissance contre un arbre, alors que ton ventre te brûlait horriblement, comme si l'on venait de te le chauffer à blanc.

Ta tête sonnait, te balançais, alors que tu étais paralysée, en mauvais état. Tu ne pouvais définitivement plus respirer. Tes inspirations étaient le produit d'un bruit affreux, comme si l'on était en train de t'étrangler. Tu entendit vaguement la discussion, cela semblait être l'intervention des caméléons, car c'était des voix contre la tempête, et tu doutais que les deux femelles, qui avaient projeté cette chose contre toi, soient contre la violence. Tes yeux se fermèrent, quelques secondes, tu laissas tes lourdes paupières se reposer. Te levant à nouveau, tu fixais les felinae avec une haine déchirante, celle d'un animal battu que l'on pouvait comparer au regard des sujets d’expérience, lorsqu'ils avaient été victimes des humains. Tu compris cette haine, cette aberration.

« Arrêtez ! »

C'était un chat au pelage des plus étranges que tu eut jamais rencontré, mais tu éprouvas immédiatement une intense sympathie pour lui. Etais-ce parce que quelque part, il venait de te sauver la vie d'un second assaut, ou étais-ce parce qu'il venait de révolutionner ta vision des caméléons? Peut-être t'étais-tu trompée. Cela fait bien quatre felinae qui emploient la violence que tu eut rencontré tout récemment, ces deux femelles, la brute et le sale gosse. Et voilà, les seuls caméléons du coin depuis quelques temps, qui te protègent au nom de leurs principes. C'était surprenant. Tu t'étais définitivement trompée. Les felinae étaient des rebelles violents, sous couverts d'une bonne cause, ayant mordu à la soif de haine qu'ils ne peuvent endiguer. Quant aux Caméléons, peut-être aurais-tu du regarder de plus près leurs personnalités. Deux pacifistes, qui admettent les erreurs de tous. C'était tout simplement quelque chose que tu n'avais pas envisagé.

« On en a déjà vu des brutes chez Félinaé, mais là, sincèrement, vous touchez le fond ! ».

Oui, tu t'étais trompée. Il était des plus intéressants chats que tu n'eut jamais rencontré, car dessus cette colère apparente, il raisonnait. Et ça, c'était un don que tous n'avaient pas, et tu devais le reconnaître, il t'impressionnait. Tu n'aurais jamais pensé qu'un jour, une notion d'ennemi puisse se changer. Que la neutralité se balancerait, et aujourd'hui, tu pouvais enfin l'avouer ! Il y avait du bon, dans tes ennemis. Tu devais le reconnaître.

« D'après ce que je sais de vos principes, vous êtes censés contre-attaquer quand on tente de vous sauter à la gorge... et non pas quand un chat se balade dans la Sylve et que ça ne vous plait pas! En plus, Je suppose, et espère grandement, qu'on ne vous a pas appris à ignorer un chat qui s'interpose pour calmer les esprits et continuer à vous battre avec des pouvoirs dangereux, sans prendre en compte que vous pourriez blesser gravement ce chat ! »

Un instant, tu te rappela de la chatte bicolore : elle s'était interposée ! Et elle n'avait pas vraiment beaucoup changé de place quand il eut invoqué la tornade. Irrespectueux. Tu comprenais sa colère, et tu la partageais, même en enlevant que tu fus la victime de cet assaut lâche.

« Ah et pour votre gouverne, amis Felinae, quand on utilise à mauvais escient son pouvoir, et avec trop de puissance on risque de tuer le chat qui reçoit le coup. Comme par exemple... je sais pas moi, envoyer un chat à plus de cinq mètres de hauteur en prenant le risque qu'il fasse une chute... ou encore... lui lancer une boule d'eau brûlante dessus sachant qu'il est possible qu'il se la reçoive en pleine face...Ce genre de chose, qu'on appelle communément « agir comme des crétins irresponsables» ! »

Il y allait tout de même fort. Mais il avait sûrement plus raison que quiconque ici. Tu baissas doucement la tête, touchée par une idée : celle que tu avais provoqué le léopard. Il l'avait mérité, mais peut-être aurais-tu plus gagné à te taire.

« Quand on sait que la plupart de vos camarades auraient été plus raisonnables, plus responsables et enclins à discuter... vous faîtes honte à tout les guerriers Félinaés un temps soi peu plus intelligents que j'ai pu rencontrer! »

Il soupira après sa tirade, comme pour évacuer cette colère qu'il accumulait. Tu sentis le poid de son regard, que tu soutint dignement, même après cette écrasante défaite. Tu toussas légèrement, sentant ton ventre te brûler toujours autant, et tu remarquas que tu crachais du sang. Après tout, ce n'était absoluement pas comme si tu avais été deux fois piégée dans une tempête et projetée dans un arbre. Pas très étonnant. Tu détournas les yeux, pour te concentrer sur les trois Felinae, et lâcha d'une voix faible :

« Je vous retiens, croyez-moi... Je vous retiens. »

Tu fis une petite pause. Tu pris ton souffle.

« Je retiendrais que vous avez essayé de me tuer. »

Tu avais beau être une experte en tirade, ça voulait dire ce que ça voulait dire. Une menaçe de mort, claire et nette. Parfois, ce qui n'est pas explicite frappe plus. D'un air mauvais, tu les fixas, puis détourna les yeux vers l'étrange Caméléon. T'inclinant légèrement, tu reconnus quelque chose :

« Je m'étais trompée à votre sujet, Caméléons. Vous être bien dissociables des Felinae, et pas juste une branche dissidente de par sa peur de lutter. Vous en êtes capables, et nous parlons-là de différences de valeurs. »

Te tournant ensuite vers la bicolore qui l'accompagnait, tu t'adressas à elle :

« Je vous ait mal jugé, définitivement. Je serais aussi plus clémente envers vos compagnons, si tant est qu'ils ont de la considération; pour ma part, je sais ce que je vous dois. »

Boitillant légèrement, tu te disais que ce serait sûrement l'heure de rentrer.

« Je me sens vraiment, vraiment... Vraiment mal. Je penses que nul besoin de s'encombrer de salutations, l'heure est venue pour moi de quitter la scène. Peut-être nous recroiseront nous un jour...? »


T'éloignant du groupe, tu lanças un regard final au chat léopard, empli d'une haine des plus intenses.

« Faîtes attentions à ce qui n'est pas imprenable, Felinae. »

Ce fut le dernier mot que tu prononças, avant de t'éloigner définitivement. Tu espérais qu'ils interprèteraient le message autant qu'ils le pourraient; qu'ils prennent garde à leurs possessions et à tout ceux qu'ils aiment. A partir de maintenant, s'ils croisaient à nouveau ta route, ils savaient ce qui les attendaient.



HRP:

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   Sam 7 Nov - 13:29


Les caméléons me dirent des phrases du genre "Tu est une brute, tu est censé juste contre-attaquer, et ceci cela...." Cela m'énervais car je faisais juste mon boulot de défenseur, le camp se trouve à proximité et je veux juste m'assuré qu'elle ne présente aucun danger, je la vis partir, hé bé au moins ça a était vite réglé... Je les regarda énervé, je lâcha un petit souffle d'indignation, leur phrases me m'étais en colère, prendre la défense d'un soldat? On aura tout vue! Je les regarda mieux, une lueur colérique dans le regard, la femelle avait des taches claires et l'autre avait un poil étrange, la femelle n'avait pas l'air bien forte, mais certaines petites apparence peuvent cacher une puissance. Le mâle je n'arrivai pas à le classer dans les forts ou les faibles, mais je m'en fiché un peu car j'allais partir sur le champs. Avant cela je leur dit furieux.

-"Hé bien pour votre information je suis défenseur, et quel est le rôle d'un défenseur? Vous ne savez pas? Hé bien je vais vous le rappeler, défendre, défendre!" J'eu une petite perte de calme envers c'est caméléons idiot qui défendent des soldat mais je parlais en me forcent de garder mon calme pour leur expliquer ce que je pense des soldats, mais pas sûr qu'ils comprennent avec leur petite tête . "Un soldat peut-être dangereux, et moi je protège les miens, vous vous n'avez rien à craindre, vous êtes loin de chez vous, mais moi...." Je commençais à m'éloigner, je pris la direction opposée de celle qu'avait pris la soldate, je ne voulais pas la recroiser, je jeta un dernier regard à ceux que j'avais laissé derrière, ces caméléons et les membres de ma guildes avaient qu'a être amis ça serait leur choix, mais comment avaient'elles pues laisser la soldate si près du camp? Cela m'énervais sérieusement elles ne savaient pas qu'elle était dangereuse? Mais je n'avais pas envie de leurs crier dessus, on faisait partis de la même guilde alors je ne devait pas avoir de mauvais lien dedans, il y a déjà une femelle qui ne m'aime pas et que je n'aime pas et c'était suffisent.

-"Les caméléons vous êtes des sans coeur, vous vous battez juste pour vivre, nous félinae nous voulons aider les chats capturés, bande d'ingrat!" Je me tourna vers les deux femelles félinaes en leur parlant avec calme, même si l'idée qu'elles prennent la défense elles aussi du soldat me fis frissonner mais elles n'avaient pas encore exprimées leurs avis pour le moment.  "Bonne chance avec ces deux la, je pars mais nous pourrons nous revoir un jour ou l'autre." Je repris ma marche avec une seule pensée en tête "stupide, stupide caméléons" L'air froid me fit gonfler ma fourrure, je voulais sortir de la sylve aller le plus loin possible de ces caméléons et de ce soldat, je n'arrivais pas à déterminer où était le soldat car avec l'automne et l'air froid je commençai à avoir être enrhumé, mais je m'en fichais car si je retomberais sur elle je la réduirais en miette, sauf si elle fuirait avant.

Lorsque j'arriva au bord de la sylve, je jeta un regard en arrière pour savoir si personne ne m'avait suivit, ce n'était pas le cas et heureusement. 

HRP:

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   Dim 29 Nov - 11:37








Faire le facteur chez les Felinaes est un métier dangereux
feat Rob Guts - Pandémie - Yenäa - Thaiko - Kira





Lorsque Kira commenca à faire chauffer la bulle d'eau, Nokota sentit avec quelle fureur son amie voulait se battre contre Pandémie. C'était comme si ses yeux brulait. La combattante eut presque de la peine pour elle: cela devait être dur de posséder un pouvoir quand on avait peur de ne pas pouvoir le contrôler. La femelle au pelage de tigre dit:

- Voilà ton eau est brûlante maintenant, quand à moi je vais lui cramer les poils !

En effet, l'eau tout à l'heure froide était fumante à présent. Mais ce ne fut pas ça qui impressionna le plus la femelle blanche. Kira venait de lancer une gigantesque flamme sur la Soldate, qui fut projetée contre un champion. La chatte à la mèche bleue eut un mouvement du recul: elle n'aurait pas pensé son amie aussi violente. Celle-ci la regarda, le regard enflammé. Elle était impressionnante. Juste après, une voie forte se fit entendre:

- Arrêtez !

Tout les regards se posèrent sur le nouveau venu: c'était un Caméléon qui avait un pelage tirant vers le roux. Un messager sans doute, car la femelle enneigée l'avait déjà vu au Q.G. Il s'était posté près de Yenäa. Nokota les vit échanger un regard. Pas de doute, ils étaient venus ensemble. Reportant ses yeux sur les Felinaes, il continua:

- On en a déjà vu des brutes chez Felinae, mais là, sincèrement, vous touchez le fond !

De quoi ? Il est sérieux là ? C'est pas parce que les Caméléons ne supporte pas la vue du sang que tout le monde doit être pareil ! Et puis, si il veux mener sa petit enquête, si Pandémie serait tombée sur d'autre Felinaes, elle ne serait déjà plus de ce monde, alors qu'ils n'aille pas se plaindre.

Le donneur de leçon fit une pause, commie si il espérait que ses paroles nous fasse regretter nos actes, puis il reprit:

- D'après ce que je sais de vos principes, vous êtes censés contre-attaquer quand on tente de vous sauter à la gorge... et non pas quand un chat se balade dans la Sylve et que ça ne vous plait pas! En plus...
Il fit une pause, comme si il avait peur de ne plus se contrôler.
Pas si pacifiste que ça finalement...
- Je suppose, et espère grandement, qu'on ne vous a pas appris à ignorer un chat qui s'interpose pour calmer les esprits et continuer à vous battre avec des pouvoirs dangereux, sans prendre en compte que vous pourriez blesser gravement ce chat !

J'ai compris. En fait, il a envie que Thaiko lui saute dessus quoi.
Néanmoins, c'est vrai que le félin au pelage de panthère aurait pu attendre avant de sauter sur la femelle rouge. C'est a ce moment là que la combattante comprit:
Cette provocation, que nous a faite Pandémie, c'était justement pour nous inviter à se battre, pour qu'elle ai une bonne raison de nous tuer la prochaine fois ! Et Thaiko est rentré dans son jeu, puisqu'il est… susceptible.
Mais tout de même, ce n'était pas une raison pour ce messager de demander à tout le monde de suivre ses principes. Les deux Caméléons eurent une petite conversation, puis celui que se prenait pour un être supérieur reprit d'un ton où, à présent, sonnait plus la moquerie que la colère:

- Ah et pour votre gouverne, amis Felinae, quand on utilise à mauvais escient son pouvoir, et avec trop de puissance on risque de tuer le chat qui reçoit le coup. Comme par exemple... je sais pas moi, envoyer un chat à plus de cinq mètres de hauteur en prenant le risque qu'il fasse une chute... ou encore... lui lancer une boule d'eau brûlante dessus sachant qu'il est possible qu'il se la reçoive en pleine face... Ce genre de chose, qu'on appelle communément "agir comme des crétins irresponsables".

Il venait de me traiter de quoi là ? De "crétin" ? Il pense sincèrement qu'il peux se permettre de dire ça ?
Le femelle aux yeux vairons se retint de lui sauter dessus pour lui faire avaler sa langue. Et ce n'était pas fini manifestement:

- Quand on sait que la plupart de vos camarades auraient été plus raisonnables, plus responsables et enclins à discuter... Vous faites honte à tous les guerriers Felinaes un temps soi peu plus intelligents que j'ai pu rencontrer !

Bon sang ! Mais pour qui se prenait-il ?!
Je n'ai pas de "conseil" à recevoir d'un messager !!
Non pas que Nokota trouvait se rang inutile, ou nul, mais les combattants avaient un rôle plus important que les messagers, et c'étaient ainsi. Point.
Puisque le donneur de leçon semblait avoir fini son discours, la combattante se permit de donner gentiment une réponse cinglante:

- Eh bien, mon cher petit Caméléon, la vue de ce combat t'attriste ? Mais personne ne te retient tu sais. Tu peux même aller te plaindre à Dariel si tu veux. Je fait juste mon devoir de combattante. Ce combat ne te regarde pas. Alors… TU PEUX DÉGAGER, ÇA NE DÉRANGERA PAS !!!!!!

Nouvelle série de murmures entre les deux Caméléons. Peu après, Yenäa se tourna vers la femelle au motif ailé et dit, furieuse:

- Je suis déçue. Je pensais que tu valais mieux que ça.

La nourrice tourna ensuite les yeux, pour les poser sur Pandémie et Thaiko. Ces paroles eurent l'effets d'un poignard dans le coeur de Nokota. Elle avait raison, elle c'était laissée emportée. La combattante n'eut pas le temps de répondre car Pandémie commençait à tousser. Enfin, pas vraiment tousser? Disons plutôt quelle crachait son sang. Encore une fois, elle se dit que le félin taché y était aller un peu trop fort. Non, pas un peu, beaucoup. La flamme de Kira lui avait juste cramé les poils du ventre, et provoqué, sans doute une grosse douleur au… mais pourquoi cherchait-elle des excuses ? Ils y avaient été un peu fort tout les deux, mais Nokota aurait fait pareil. Elle ne put pas porter ses pensée plus loin car la Soldate portait un regard assassin sur les Felinaes, et prit la parole:

- Je vous retiens, croyez-moi... Je vous retiens.
Elle fit une pause pou respirer difficilement, puis reprit:
- Je retiendrais que vous avez essayé de me tuer.

La femelle rouge devait vraiment pas être bien car, cette fois, pas de discours à l'horizon. Quoique, peut-être que si…

- Je m'étais trompée à votre sujet, Caméléons. Vous être bien dissociables des Felinae, et pas juste une branche dissidente de par sa peur de lutter. Vous en êtes capables, et nous parlons-là de différences de valeurs.
…mais non. Elle continua tout de même, pour garder un semblant de dignité, sans doute.
-  Je vous ait mal jugé, définitivement. Je serais aussi plus clémente envers vos compagnons, si tant est qu'ils ont de la considération; pour ma part, je sais ce que je vous dois.

Oh comme c'est mignon !!!! Une Soldate sauvée par des Caméléons !!!! Comme c'est émouvant.

-  Je me sens vraiment, vraiment... Vraiment mal. Je penses que nul besoin de s'encombrer de salutations, l'heure est venue pour moi de quitter la scène. Peut-être nous recroiseront nous un jour...?

Ce fut les dernier mot qu'elle prononça en boitillant vers son territoire. Ses dernière paroles ? Non, pas encore, car Pandémie se retourna et lança un regard empli de haine pur envers Thaiko en disant:

- Faîtes attentions à ce qui n'est pas imprenable, Felinaes

Elle quitta ensuite la scène, s'éloignant doucement. La combattante pensait que tout cela venait de se terminer, mais le félin-léopard décida de ramener son grain de sel en crachant aux Caméléons:

- Hé bien pour votre information je suis défenseur, et quel est le rôle d'un défenseur? Vous ne savez pas? Hé bien je vais vous le rappeler, défendre, défendre !
Il marqua une pause, comme pour laisser les Caméléons digérer ses phrases, puis reprit, tout en commençant à s'éloigner, prenant la direction opposée de celle de la Soldate:
- Un soldat peut-être dangereux, et moi je protège les miens, vous vous n'avez rien à craindre, vous êtes loin de chez vous, mais moi...

Le femelle aux taches de rousseurs sous les yeux fut surprise de ce q'elle venaient d'entendre: elle pensait depuis le début que Thaiko avait commencé le combat par le simple plaisir du combat, mais il souhaitait vraiment défendre le Q.G. Il reprit, bien dévidé à dire ce qu'il pensait aux Caméléons.

- Les caméléons vous êtes des sans coeur, vous vous battez juste pour vivre, nous félinae nous voulons aider les chats capturés, bande d'ingrats !

Il n'avait pas tort, dans un sens. Nokota ne savait pas quoi penser de ce félin invocateur de tornade. Celui-ci se tourn ensuite vers Kira et elle et dit:

- Bonne chance avec ces deux la, je pars mais nous pourrons nous revoir un jour ou l'autre.

Ensuite, il partit pour de bon, le pelage gonflé par le froid. La combattante observa tour à tour les deux Caméléons et Kira. Soudain, la douleur dans sa tête qu'elle avait totalement oubliée à cause de la tournure des évènement ce fit plus forte, beaucoup plus fort. À cause de cette joute verbale, l'eau bouillant se tenant toujours en lévitation, usant de son énergie. La fatigue et la douleur s'emparant d'elle, l'eau retomba brusquement au sol dans un crépitement. Les pattes de la femelle se mirent à trembler et, cédant à la douleur, elle tomba à terre.

© Jawilsia sur Epicode


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   Dim 29 Nov - 16:55



Faire le facteur chez les Felinae est un métier dangereux

Avec Yenaa, Pandémie, Thaiko et Nokota



Soudain, une voix se fit entendre :

- Arrêtez !

Je posais mon regard sur le chat qui venait d'arriver, c'était un Caméléon, il avait un pelage tirant sur le roux. Je ne l'avais jamais vus, il devait lui aussi être messager. Il s'était posté près de Yenäa, ils s'échangèrent un bref regard, ils étaient venus ensemble, pas de doute là dessus. Ils reporta son regard sur nous, les Felinaes et continua :

- On en a déjà vu des brutes chez Felinae, mais là, sincèrement, vous touchez le fond !

Il est sérieux là ? C'est pas parce que tes copains les Caméléons ne supportent pas la vue du sang que tout le monde doit être comme vous !
J'étais en rage, je plantais mes griffes dans le sol pour me calmer. Je n'avais rien contre les Caméléons, ils étaient pacifistes, certes, mais ce n'était pas une raison pour se mêler des affaires des Felinaes ! Tu serais venus plus tôt, tu aurais vus que Pandémie n'avait rien à faire ici ! Tu ne dois pas être si bête au point de ne pas savoir que ici, c'était le territoire des Felinaes !Je ne dirais jamais ces paroles à voix haute, j'aggraverais la situation, mais croyez-moi, c'était ce que je pensais au font de moi.

Le chat roux fit une pause, espérant nous faire regretter nos actes, puis reprit :

- D'après ce que je sais de vos principes, vous êtes censés contre-attaquer quand on tente de vous sauter à la gorge... et non pas quand un chat se balade dans la Sylve et que ça ne vous plait pas ! En plus...

Il fit une nouvelle pause, craignant de ne plus pouvoir se contrôler. Ils sont pas si pacifistes que ça les Caméléons...

- Je suppose, et espère grandement, qu'on ne vous a pas appris à ignorer un chat qui s'interpose pour calmer les esprits et continuer à vous battre avec des pouvoirs dangereux, sans prendre en compte que vous pourriez blesser gravement ce chat !

Il avait raison sur ce point là, Thaiko n'aurait pas dû sauter à la gorge de Pandémie, mais elle avait provoquer ! C'est à ce moment là que je compris, la chatte rouge nous avait provoqué volontairement, ça ferait une bonne raison pour pouvoir nous tuer plus tard. Thaiko était tombé dans le panneau, je ne le connaissais pas assez pour pouvoir le juger sur son caractère mais il avait dû mal prendre les paroles de Pandémie pour se jeter sur elle.
Cependant, le chat roux ne devait, que dis-je, n'avait pas le droit d'imposer ses principes à tout le monde ! Les deux Caméléons eurent un petite conversation à voix basse, et quand, celui qui se prenait pour monsieur je sais tout, reprit la parole, avec un ton plus moqueur qu'énervé :

- Ah et pour votre gouverne, amis Felinae, quand on utilise à mauvais escient son pouvoir, et avec trop de puissance on risque de tuer le chat qui reçoit le coup. Comme par exemple... je sais pas moi, envoyer un chat à plus de cinq mètres de hauteur en prenant le risque qu'il fasse une chute... ou encore... lui lancer une boule d'eau brûlante dessus sachant qu'il est possible qu'il se la reçoive en pleine face... Ce genre de chose, qu'on appelle communément "agir comme des crétins irresponsables.

Tu viens de nous traiter de quoi là ? De « crétin irresponsables ». Tu penses que tu peux te permettre de dire ça mon petit père ? Et bien non, N-O-N !
Je labourais le sol avec mes griffes, je n'avais qu'une envie, lui sauter dessus pour lui faire regretter ce qu'il vient de dire. Et visiblement ce n'était pas finis :

- Quand on sait que la plupart de vos camarades auraient été plus raisonnables, plus responsables et enclins à discuter... Vous faites honte à tous les guerriers Felinaes un temps soi peu plus intelligents que j'ai pu rencontrer !

Non mais il se prenait pour qui ? Les combattants et les défenseurs étaient fais pour défendre la guilde, pas pour papoter avec des Soldats ! Le donneur de leçon avait finis son discours, Nokota en profita pour placer une réponse cinglante :

- Eh bien, mon cher petit Caméléon, la vue de ce combat t'attriste ? Mais personne ne te retient tu sais. Tu peux même aller te plaindre à Dariel si tu veux. Je fait juste mon devoir de combattante. Ce combat ne te regarde pas. Alors… TU PEUX DÉGAGER, ÇA NE DÉRANGERA PAS !!!!!!

Je fus surpris de la violence des mots de Nokota, mais elle n'avait pas tort, ce combat ne regardait que les Felinaes et les Soldats. Soudain  Yenäa se tourna vers la combattante. Elle dit d'une voix furieuse :

- Je suis déçue. Je pensais que tu valais mieux que ça.

Puis, la femelle tourna son regard vers Pandémie et Thaiko. La soldte commençait à tousser, enfin, elle ne toussait pas vraiment, elle crachait du sang.
Thaiko, tu as frappé trop fort, même le plus valeureux des guerriers ne s'en serait pas sorti sans blessures.
J'y étais allée trop fort aussi, Pandémie avait des poils cramés sur le ventre, mais ce n'était que des poils cramés, ils repousseraient. Soudain la Soldate porta un regard assassin sur nous avant de prendre la parole :

- Je vous retiens, croyez-moi... Je vous retiens.

Elle fit une pause pour respirer difficilement avant de reprendre :

- Je retiendrais que vous avez essayé de me tuer.

La femelle rouge devait vraiment pas être bien car elle ne fit aucun discours, ce qui été sa plus grande habitude.

- Je m'étais trompée à votre sujet, Caméléons. Vous être bien dissociables des Felinae, et pas juste une branche dissidente de par sa peur de lutter. Vous en êtes capables, et nous parlons-là de différences de valeurs.

Elle continua, pour garder un peu de dignité.

-  Je vous ait mal jugé, définitivement. Je serais aussi plus clémente envers vos compagnons, si tant est qu'ils ont de la considération; pour ma part, je sais ce que je vous dois.

Comme c'est mignon ! Une Soldate sauvée par les Caméléons, et nous dans tous ça on est le grand méchant loup qui fait peur à tout le monde.

-  Je me sens vraiment, vraiment... Vraiment mal. Je penses que nul besoin de s'encombrer de salutations, l'heure est venue pour moi de quitter la scène. Peut-être nous recroiseront nous un jour...?

Une fois ces mots prononcé elle boitilla pitoyablement vers son territoire, mais avant de partir elle lança un regard plein de haine envers Thaiko avant de dire :

- Faîtes attentions à ce qui n'est pas imprenable, Felinaes.

Elle s'éloigna doucement. Je pensais que tous était fini mais non, le chat léopard décida de rajouter un peu de piment à l'ambiance électrique. Il cracha aux Caméléons :

- Hé bien pour votre information je suis défenseur, et quel est le rôle d'un défenseur? Vous ne savez pas? Hé bien je vais vous le rappeler, défendre, défendre !

Il fit une pause, laissant le temps au Caméléons de digérer ses phrases, avant de reprendre, tout en s'éloignant, il prenait la direction opposé de Pandémie.

- Un soldat peut-être dangereux, et moi je protège les miens, vous vous n'avez rien à craindre, vous êtes loin de chez vous, mais moi...
La femelle rousse semblait surprise par ce quelle venait d'entendre : depuis le début, elle pensait que Thaiko avait attaqué Pandémie par pur plaisir, mais non, le chat panthère voulait vraiment défendre le QG. Il reprit, décidé à dire ce qu'il avait sur le cœur :

- Les caméléons vous êtes des sans coeur, vous vous battez juste pour vivre, nous félinae nous voulons aider les chats capturés, bande d'ingrats !

Il n'avait pas tout à fait tort. Je ne savais pas quoi penser de Thaiko. Il se tourna vers moi et Nokota et dit :
- Bonne chance avec ces deux la, je pars mais nous pourrons nous revoir un jour ou l'autre.

Puis, il parti une bonne fois pour toute. Nokota observa les Caméléons puis moi. L'eau qui était autour d'elle lévitait toujours, elle devait faire disparaître cette eau, elle usait de son énergie. Soudain l'eau tomba brusquement au sol, les pattes de Nokota tremblèrent et elle tomba à terre.
Je précipitais vers elle, je lui murmurais à l'oreille :

-Nokota, est ce que tout va bien ?

Je m'allongeais près d'elle et fourré mon museau dans sa fourrure blanche.

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