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Nouvel rencontre Thaiko feat Olive et Pamuy
Felinae :: Bien commencer :: Archives :: Felinae V1.0 :: Autre V1.0Aller à la page : 1, 2  Suivant

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Anonymous
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   Dim 13 Sep - 15:46


Le soleil du matin sur ma fourrure était déja très chaud, le ruisseau avez une couleur peu envieuse mais elle était potable je déssida alors de boire elle était fraiche et elle me faisait du bien. Tout aller pour le mieu J'étais le compagnon de Patte d'Ecume. Les oiseaux chanter et le bruit de l'eau m'apaiser.Malgrès ça je me sentais triste a par Patte d'Ecume je ne connaisait personne.

Je decida de m'entrénais avec ma tornade de glace Bon j'arrive a la faire haute comme un loup Je fit une tornade très haute comme dabitude elle partis dans tout les sens. Elle fonca vers un arbre Tourne ! Elle ne tourna pas et s'écrasa contre.
J'en fit une autre, cette fois elle fonca vers le ruisseau Bien cette fois tourne! Elle ne tourna pas et coula au fond du ruisseau. Bon jamais deux sans trois. J'en créa une autre une troisième fois elle partis vers un arbre Tourne! Elle ne tourna pas..
J'y arriverais jamais ...Je recomenca encore et encore avant de finir par avoir mal a la tête.

Un bruit dans les buissons me fit sursauté une sillouette de chat ce plaça devant moi.

-Qui est tu? Et de quel guilde fait tu partis?

J'aitais un Felinae mais je ne connaiçait personne a par Patte d'Ecume et je ne connaicait pas non plus leur audeures.


Dernière édition par Thaiko le Lun 21 Sep - 18:54, édité 1 fois

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   Dim 13 Sep - 16:20


J'arrête pas de voir le vent changer de direction allens un peux partout je décida de suiffre le vent même si cela et bizarre apret un petit temps de marche tu était au ruisseau un lieu que j'adorer, en chemin tu avais chasser un petit oiseau encor vivant dans ta gueule je voulet m'amuser avec, mais c'en j'arrivais une personne d'interpella il te demanda qui tu était et de quelle ligue tu taprocha de lui la tête  baissée comme si j'allais attaquer je savais reconnaître des ennemie eux non pas de coeur pour poser cette questions des sortir de l'ombre alors que tu avait le poils heriser les griffe sortie je pretter même pas attention à la personne qui était à coter de toi pouvant d'attaquer à la minute, je me déplacer fait le point d'eau en le regardent mais pas amicalement je n'aimet pas se jour comme tout les ans je m'alonga d'évent le point d'eau avent de m'amuser avec les reflet sur l'eau comme si ne rien n'était, mais l'oiseau se debatter dans ma gueule moi qui avait pas faim je regarda l'oiseau posset a terre que je j'aitait tuer mais par conscience tu jour je le léssa partir.

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   Mar 15 Sep - 19:31


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C'est encore loin ?
Je me renfrognais, retenant une réponse cinglante contre cette pleurnicharde doublée d'une peureuse.
Non, dis-je, contenant mon ton. Tu peux bien attendre encore un moment !
Mais j'ai si soif, pleura la petite voix dans ma tête.
Tu survivras, tranchais-je sèchement.
Enfin, cette excuse pour une double personnalité -surnommée « Olive numéro un » par moi- eu la très bonne initiative de cesser de geindre. Cela me permit de me concentrer d'autant plus sur la réalité qui m'entourait. Je ne fis pas halte, mais je n'en contemplais pas moins chaque élement naturel du lieu, jusqu'au derniers détails et qui remuèrent mon côté sentimental : on allait pas cracher sur un paysage naturel quand on devait supporter sans cesse la vue des paysages artificiels des humains! Même moi qui n'est pourtant pas dérangée -et même habituée- à la présence humaine, j'admettais que la nature, c'était plus sympathique.
Je ralentis, hypnotisée durant un court instant par cette vue, ces parfums et cette ambiance ennivrantes. Un épais tapis d'herbes sèches passaient entre mes coussinets, lisses, et encore humides par la rosée de ce matin là. Cette traînée végétale semblait s'étendre sans fin : un immense tapis vert-jaune ayant colonnisé la surface de la terre. On avait le sentiment que le chemin était sans issue et sans retour. Et lorsqu'on levait la tête, les arbres morts laissaient à peine filtrer la lumière et semblaient étouffer la vue vers le ciel d'azur. En fin de compte, la Forêt Empoisonnée donnait une impression douteuse que l'on ne pouvait se libérer de son emprise, qu'il n'y avait pas d'issues.
Mais cela ne me gênait pas du tout, comme toujours, la curiosité était plus forte que l'angoisse ! -Et puis surtout je devais déshaltérer Olive numéro un avant qu'elle ne recommence à me taper sur les nerfs- d'ailleurs c'était la raison de ma venue, de « notre » venue, elle était vitale : boire.
Arrivée à un certain point de ma marche, je remarquais que l'herbe tendre avait laissé place à un chemin caillouteux qui faisait assez souffrir mes pattes, puis, progressivement en continuant dans cette direction, le chemin gravilloneux finit par descendre en pente douce. Tandis que je descendais, un clapottement étouffé me parvint au même moment ou je vis un filet d'eau potable couler en petite source jusqu'en bas. Mais je vis également deux chats. Je me stoppais dans ma lancée, résistant contre la tentation de Olive numéro un de courir vers l'eau : soif ou pas, la prudence s'imposait !
Ayant visualisé de manière essentielle mes congenères, je vins vers eux à pas feutrés, le regard fuyant afin de ne pas leur donné la mauvaise impression d'être pris pour cible. Pour une fois je n'avais pas vraiment judicieusement réfléchi à mon approche -l'envie de se déshaltérer avait été plus forte, peut être?- en tout les cas je ne pus faire marche arrière. Je m'assis donc et articula un bonjour timide et qui se voulait neutre. J'attendis la suite pour agir.ici

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   Mar 22 Sep - 19:41


Le chat gris bizzard était devant moi.

-Qui est tu et de quel guilde est tu?! Si tu est autre que felinae vien te battre!!! Je montra les crocs, j'étais deffenseur aprés tout, alors je me jeta sur le chat je lui mordit la patte arrière et lui sauta sur le dot pour lui mordre l'oreille le chat se défendé pas mal et dit des paroles que je n'entendit pas. Je fit une tornade. Je la dirigea sur le chat plusieur fois avant de l'envoyé vallesait au sol. Mais quesque j'ai fait c'était surment un felinae

-Ca ça ....ça vas désoler je me suis trop emballait... Je rale trop mais je ne suis pas cruel. Alors je trainna ce chat a l'ombre d'un arbre et lui mit une mousse avec de l'eau a coté.

Je n'avait pas remarquer le chat qui nous observait alors je dit dans sa direction:

- Et toi la sort de la !

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   Mar 22 Sep - 20:25


Le jeune chat ne fesserque m'attaquer, apret se petit combat avec aucun de mais réactions pour me défendre il me trenna à l'ombre paussent à coter de moi de la mousse, mouai même si j'aitait blesser au patte arrière donc impossible de me relever sens difficultés, à mon dos se qui rendrela la tâche plus dure pour mais pattes est mais oreilles impossible d'entendre le moin petit bruit au alentour se qui me poserbbeaucoup de problème même si il m'avait fait tout sa je ne pouvait pas accepté sa mousse comme sa je préfère être blesser même si cela était plus que bizzare, mais il cria au loin même avent que je ne peut même pas répondre il avait vue une Femelle de la ligue moib qui parler peut au personne je resta sous l'ombre, bougent les oreilles mordiller par le jeune chat, avent de partie voir dans quelle état j'aitait, mmême si me relever serrer bien dure.
Apret un petit temps de réflexion si il aller serrait bien je me retréssa d'abord sur les pattes avent, avent de melancer sur les patte arrière d'efforer par le chat des debout boitent jusco point d'eau, apret un petite soupiration je me regarda.

-sa va je ne suis pas trop mal au point.

Je m'alonga d'évent l'eau avent de me proposer sur mes lorrier.

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   Mer 23 Sep - 14:22


«  Hé ! Toi là ! Sors de là ! », lança une voix hostile ,masculine, appartenant sans aucun doute au félin tâcheté ; cette espèce de grande brute sans cervelle ! Oui, c'était l'opinion que j'avais de lui , maintenant. Après l'avoir vu s'en prendre à l'autre féline grise sans motif valable -non pas que je compatissais pour cette inconnue mais la violence du mâle m'avait surpris et fait grincer des dents-, comment vouliez-vous le décrire autrement ? C'était un idiot et un violent, voilà tout ! De plus, parler à quelqu'un qu'on ne connaît pas sur ce ton ? Je ne titillais pas sur le language mais tout de même ! A moins que à l'instant ou je sortirais de ma cachette buissonneuse il comptait m'envoyer valser dans les airs avec son pouvoir, comme il l'avait fait avec l'autre ? Non seulement il m'énervait mais en plus je n'étais même pas certaine qu'il ne me sauterais pas dessus dans l'instant même. Douteuse et méfiante, j'hésitais à obtempérer, me figeant sur place, les pupilles braquées intensément sur ce félin. Je n'osais plus bouger.
C'est alors que Olive numéro un décida de s'en mêler et s'exclama, d'une voix angoissée :
Tu n'as pas le choix, fit-elle, on doit prendre le risque d-d-e sortir de là.
Ma double personnalité qui prenait -je l'admettais-des intitiatives raisonnables ? C'était le monde à l'envers ! En tant normal elle aurait paniqué et chouiné en parlant pour ne rien dire, et là … elle m'était vraiment utile ? Ce n'est pas un rêve, vous en êtes sûr ? Comme pour me convaincre elle rajouta d'une voix timide, craignant que je la rabroue, mais aussi angoissée par la situation :
Heum...reste polie, d'accord ? Je-je ne veux pas être blessée -je la sentis trembler de tout son corps à chaque mot qu'elle prononçais- p-par cette espèce de brute. J'acquiesçais mentalement, comprenant très bien sa peur : moi aussi je voulais éviter de me faire déchiqueter ! Si possible !
Et méfie-toi de l'autre féline !, prévint olive numéro un, avant de se taire, mais tremblant toujours comme une feuille. Oui, opinais-je à sa mise en garde, avant de sortir de ma cachette, plus décidée.
Regardant mon potentiel adversaire bien en face, je dis d'un ton que je voulais neutre, ne trahissant ni colère ni peur, mais qui restait ferme :
«  Ne t'inquiètes pas : je ne comptais pas vous faire de mal ! Je suis Olive, bonjour à vous deux!
Je saluais au passage la féline injurée, d'un bref hochement de tête. Je pris soin de passer d'une expression faciale méfiante à un visage radieux et sympathique avant de répliquer à ce matou. Ce matou dont je ne connaissais rien pas même le nom ! Cet espèce d'ours n'allait apparemment même pas se présenter en retour ! Tant pis, la persipicacité de mamselle Olive devait donc travailler à la place : Je notais, me remémorant la scène d'attaque, que ce chat avait une certaine puissance généré par une tornade, c'était donc un génétiquement modifié. J'en déduis que c'était un chat de Guilde. Restait une question. Discrètement, je faisait bouger à peine les narines, mais mon odorat félin étant assez développé, je me contentais d'un minuscule filet de senteurs et je repérais assez rapidement une odeur assez insistante de ma guilde. Le parfum était fort, il provenait très probablement de ce mâle tacheté. J'avais donc affaire à un collègue ? Un collègue très peu sympathique en tout cas.
Et très idiot aussi, lança Olive numéro un qui avait décidé d'en remettre un couche, il ne reconnaît même pas ses propres camarades ! Elle n'avait absolument pas tort, même si je n'avais pas besoin de cette remarque pour le savoir. Ma double personnalité voulait sans doute cracher dans le dos de ce matou. En tout cas, sa peur s'était bien évaporée cette fois ! A présent je la sentais bouilloner de rage. Je retint ma propre colère, qui m'aurait empêché de réfléchir. Je jetais alors un coup d'oeil sur ma gauche, sans raison particulière, avant de remarquer la féline grise qui s'était couchée sur le tapis de feuille. Elle avait été tellement dicrète, que je l' avais presque oubliée.
Et celle-là ? Est-elle plus abordable que son compagnon ?, se demandèrent en cœur mon fort intérieur et olive numéro un. Je n'allais pas tarder à le savoir !
A pas feutrés, je m'approchais d'elle, les lèvres étirées en un sourire qui se voulait rassurant, puis je l'abordais, décidant de jouer l'empathique pour mieux la brosser dans le sens du poil :
«  Tu ne t'es pas fait trop mal ? Je peux t'aider si tu as besoin !
Je réussis avec brio à prendre un ton inquiet et compatissant.

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   Jeu 24 Sep - 18:09


-Tu ne t'es pas fait trop mal ? Je peux t'aider si tu as besoin !
Pour qui elle se prend elle?! Je lança d'un ton exedé:

-Bien sur elle vas bien! Et elle n'as pas besoin de ton aide! Enfin bref... vous vous appelés comment moi c'est Thaiko je suis nouveau et je ne connais pas bien les odeurs désoler je suis très colérique.

Je les regarda la grise devait étre éclaireuse et la verte combattante.

-Vous vous appelée commants? Et quel est votre rang? Je suis déffenseur moi !

Je regarda le ruisseau La derniere fois je suis tombé!

-Quel est votre pouvoir ?

Je voulais savoir beaucoup de truc sur elles surtout la grise qui evait l'air simpa mais je n'amais pas trop la verte et son air d'espionage.

-Moi c'est une tornade de glace comme tu l'as vue. Dit-je en direction de la grise en rigolant.

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   Jeu 24 Sep - 18:22


Il ne fessait que poser des questions apparemment il s'appelle thaiko et défenseur si j'ai bien suffit et il veut en plus tout savoir quelle aaudace mais qu'enil demanda le pouvoir il rigola en me regardent se qui me ddéclencha un petite sourire, il fallait bien répondreje me lença.

-Je m'appelle Pamuy et je suis éclaireuses et mon pouvoir restera mystérieux.

Tout en dissent le fin de ma phrase mon sourire était re apparu comparées à lui mon pouvoir était un peux lamentable même si il et utile en quelque sorte comparée à thaiko, la jeune Femelle au pelage vert jaunes me demanda comment j'alait je n'avait pas u le temps de répondreque l'autre s'exclama.

-ne t'inquiète pas ça va.

Je parler avec une fois un peux petit mmême soumis comparer à eux je n'imaginer pas la jeune femelle avec un pouvoir pathétique comme nous mais un puissens, passer de me titiller dans ma tête apret quelque regard sur chacun d'eux il fallait bien laisser la jeune femelle parler.

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   Jeu 24 Sep - 21:39


«  Bien sur qu'elle vas bien! Et elle n'as pas besoin de ton aide!
Encore ce sale matou qui ne peut s'empêcher de s'emporter ! Je ne put m'empêcher de plisser les yeux sous l'agacement.
En tout cas elle n'a pas besoin de la tienne !, crachais-je intérieurement, c'est toi qui l'a blessée, grand abruti! Oui il l'avait blessé et maintenant il venait me donner des leçons ? Laissez moi rire ! Vraiment pas très malin celui-là...
«  Bref, fit-il.
Ce seul mot me gonfla d'irritation, avant que le félin tâcheté ai enchaîné sa phrase.
Comment ça « bref » ? Quand on blessait un chat et agressait un autre on n'otait pas sa culpabilité comme ça, d'un claquement de doigts, avec un « bref », on présentait ses excuses ! Le minimum de politesse, enfin ! Quel gros bourrin ! , Olive numéro un vint à nouveau apaiser ma rage, sentant la tension monter. Pourtant je n'allais pas m'énerver : pas pour un petit con, comme ça ! Mais celui-là, pourtant, il mériterait qu'on lui apprenne un peu la dureté de la vie ! Bah, il l'apprendra tout seul, ça n'en valait pas la peine ! Puis le matou continua :
« Vous vous appelés comment ? Moi, c'est Thaiko. Je suis nouveau et je ne connais pas bien les odeurs. Désolé, je suis très colérique.
Très colèrique ? J'ai du mal à y croire !, ironisais-je, de plus en plus irritée de sa façon de retourner sa veste pour faire ami-amies. De l'amitié, ou même de la compassion, il n'en obtiendrait jamais de moi, en tout cas ! Pas en agissant aussi débilement ! Puis je décidais de me calmer, inspirant consciemment puis relâchant ma respiration. Les idées remis en place, je réfléchit rapidement puis décidais d'en réveler le moins possible. Au moment ou j'allais répliquer, la féline infirme fut plus rapide que moi. Celle là semblait déjà avoir oublié l'agressivité du mâle. Pensive, je la regardais : était-elle peu rancunière ou simplement naive pour rester aussi calme ? Je ne saurais dire. En tout cas, je retins que son nom était Pamuy, nom original en soi, et elle se refusa a dévoiler la nature de son pouvoir : celle-là n'était pas si naive que ça, alors ! Je jouais le même jeu que celle-ci lorsque je répondis au félin tâcheté :
«  Ce n'est pas très commun, Thaiko et Pamuy !, dis-je avec innocence, je suis une simple chasseuse en balade. Pour ce qui est de mon pouvoir..., j'hésitais, réfléchissant à l'excuse que j'allais donner. Puis lorsque je fus décidée :
«  Mon pouvoir... ce serait trop long à expliquer ♥ Contentez vous de votre imagination ♥, miaulais-je sur un ton espiègle mais cachant assez bien ma méfiance.

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   Sam 26 Sep - 13:39


Elle ont peur de moi !? C'est la pensée qui me traversa l'esprie quand elle dire leur raiponce, j'étais fier et je me sentis coupable. Elle ont peur d'un chat de leur propre guilde! Alors je dit avec un sourire :

-Désoler de vous avoir fais peur... je suis un peu méchant et bataillent dès la première rencontre mais si vous désidés de me surporté ça ira mieux. Apres si vous ne me suporté pas on ne s'entendra pas....

Je regarda la rivière quelque poison nageais tranquilement.

Elle n'ont pas l'air de m'aimai beaucoup, si seulement tu était la pour me sortir de se mauvais pas Patte d'Ecume..... Je bailla est alla au bord de l'eau, je me roula en boule et ferma les yeux:
je n'entendais que les oiseux l'eau qui s'écouler tout le silence ... J'ouvrit un oeil et dis:

-Vous pouvais ne pas me dire vos pouvoir je m'en fiche! En réalité j'avais une boule au ventre j'étais déssus de ne pas le savoir. Je leur tourna le d'eau elles étaient les première personne que je n'aime pas beaucoup pourtent la grise avait l'air simpa et j'attendais de mieux connaitre le caractère de la verte elle semblait espiègle....

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   Sam 26 Sep - 14:19


Elle ne voulet pas dire son nom pourquoi je ne s'avais pas moi même, je ne fesser que les regarder chancun leur tour comme j'attender quelque chose de chacun d'eux, lui qui s'aitait allonger prêt de l'eau non loin de nous je dessita de répondre même si il m'avait attaquer.

-toi nous faire peur ben non.

J'aimer taquinée les personnes surtout se que je ne connaisser pas je trouver sa marrant. Me possent trop de questions sur la chatte, on aurrer dit qu'elle n'a préciser pas thaiko bon d'accord il est chiant en quelque sorte mais il a l'air gentil mais chiant mais gentil, je ne fesser que me titiller dans ma tête alors que le temps passer autour de nous, j'aitait toujours allonger par terre me relèvent avec moi de difficultés que la dernière fois je me déplaça fait thaiko, assis à coter de lui j'attender que la jeune chatt vien pour lui montrer je fessa un hochement de la tête avec un sourire malicieux.

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   Dim 27 Sep - 14:35


Toi, nous faire peur ? , répliqua Pamuy, visiblement amusée.

Je ne comprenais pas comment elle faisait pour s'amuser de quelqu'un qui avait faillit la massacrer. Elle devait être un peu simplette, ou alors vraiment tordue, non ? Celle-ci fit un signe de tête, et je me rendis compte qu'il m'était destiné. J'interrogeais donc Pamuy du regard, voulant savoir ce qu'elle me voulait. Je n'eus pas de réponse en retour, mais la féline grise vint s'installer auprès de Thaiko, celui-ci n'avait pas réagit à la pique de la femelle infirme. Vraiment, je ne la comprenais pas: elle boitait presque, elle chancelait, je le voyais bien! Mais non... au lieu de se dire que Thaiko pourrait refaire sa crise et la découper en petit morceaux, elle... elle venait faire mumuse avec lui... la logique par excellence, à moins qu'elle ne soit terriblement insouciante?... en tout cas c'est ce que je me dis. Puis je compris à sa gestuelle que Pamuy m'incitait à venir les rejoindre. Je plaquais mes oreilles en arrière, méfiante -pas envers Pamuy, ça sautait aux yeux qu'elle était adorable et inoffensive, mais de cette brute de Thaiko- et gênée. Poussant un soupir de mécontentement, je fixais mes pattes durant une fraction de secondes, perdue dans le vague : devrais-je vraiment me montrer chaleureuse avec ces deux félins? Il semblait que oui, après tout ils étaient de ma guilde et je devais apprendre à mieux connaître mes "collègues", ça me serait sûrement très utile.
Je m'assis donc, discrètement et sans dire mot- à côté de la féline grise, et tressaillit lorsque j'effleurais sa patte blessée. Je marmonnais un pardon maladroit et presque inaudible avant de me retrouver inévitablement en train de croiser le regard du félin tacheté, je ne parvins presque plus à cacher mon malaise et ma peur, et sentis mon échine se hérissée malgré moi, mais je respirais, détournais le regard de Thaiko, et parvins à faire tomber mon angoisse ...en partie. Comme je pressentais que si j'adressais la parole au félin tacheté, la tension monterait, je décidais de plutôt miauler à Pamuy :
Alors... Qu'est-ce que vous faisiez ici?, marmonnais-je à l'intention des deux, mais ne regardant que Pamuy, incapable de soutenir le regard de Thaiko.

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   Lun 28 Sep - 17:24


J'entendis Olive posée une question je lui répondis:

-Rien pour le moment sauf si vous avez une idée... J'aurais aimer que quelque chose se passe, a ce moment là, mais rien juste le calme et le silence rien de différent.... Enfin tout était différent dans ce monde en mutation mais rien n'amené de l'action. Je jeta un coup d'oeil a Pamuy et a Olive a mes cotés elles ne disaient rien. Je pensa a rompre ce silence reposant mais pour dire quoi? De toute façon j'était en colère le soleil tapant me donnait des mal de tête qui me rendait de mauvaise humeur. Le balancement des branche avec le vent m'apaiser mais je repensa a la dernière fois ou j'étai venu, j'avais fais la rencontre de Tonneria et un orage avait éclater, je frissona a l'idée qu'un autre éclate mais lorsque je regarda le ciel je vis juste du bleu. J'était bien désidai a ne pas bougeai et à les léssaient engager la conversation, mais au bout de 5 minutes rien ne se passé alors je me leva sous leurs regard et déclara:

-Bon! On ne vas pas passais tout notre aprem a rien faire! Je regarda au alentour, rien! Rien a faire, rien a dire et la chaleur me rendait dingue! J'eu une idée je créa une tornade de glace haute comme une griffe, oui ça existe! Je me recoucha et la fit se balader sur mon cors elle rafréchisait et faisait option massage. J'étai de meilleur humeur je dit finalement au deux:

-Que faisait-vous ici? J'aime venir ici le balancement des branche et le ruisseau me calme...enfin...enfin pas tout le temps.... Dit-je a Pamuy.

-Encore désoler pour tout a l'heure.

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   Lun 28 Sep - 19:11


Je voulet mettre n peux dd'action dedans mais comment le regarde se faire masser ne va pas m'aider, surprisil s'excusa encor.

-Mais ses rien.

Bon un peux de mouvement s'imposer je ferma les yeux fessent semblent de dormir allonger au sol mêmesi se nn'aitait pas vrai je dormais pas non , je cree tu brouillards pour l'amusement, sauf que je n'avais pas penser mais mon colier commença à briller  j'espère que personne aver fut même si il avait vue une petit partie de cache cache dans la brouillards et marrant mêmesi ses pas eexcitable vue que je fois beaucoup, le brouillards approchent toujoursdans mais penser, cc'en mais yeux ouvris c'enle bbrouillards était bressent. Je me leva encor avec difficultés m'envoncent petit à petit dans le brouillards sens aucune ressons il ne se passer rien autend profiter j'avais u c'en même une bonne idée de faire sa mais il bouffer imaginer tout donc je resta à les attendre dans le brouillards.

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   Mer 30 Sep - 15:52


Me léchant consciemment les entre-coussinets, la tête baissée, je n'en étais pas moins attentive à ce qui se passait autour de moi. Enfin, pour honnête, je n'avais pas vraiment prêté attention aux petits racontars de Thaiko : je me fichais bien de ses commentaires et de savoir ce qu'il se passait dans sa vie. C'était vraiment un détail qui ne m'intéressais pas, en fait le chat en lui-même ne m'attirait pas : physiquement ou psychologiquement, il ne m'était pas utile ! Pour l'instant je continuais à éviter maladroitement son regard. A l'opposé, je portai d'abord une certaine attention à la féline grise, bien que je finis par ne plus être bien captivée, lorsqu'elle commença à se plaindre de s'ennuyer et qu'elle commençais à nous inviter à jouer avec elle. Je n'avais rien contre elle, mais je ne me levais pas : manque d'envie et puis ce brouillard apparut de nulle part et sûrement déclenché par son pouvoir ne me rassurais qu'à moitié. Enfin, troisième raison, la plus évidente, il était hors de question de faire mumuse avec ce chat tâcheté : vous imaginez s'il nous refaisait une crise d'adolescence avec une tornade déchaînée ? Je tenais à ne pas me faire broyer les os par cette brute ! Je décidai d'exprimer mon refus doucereusement :

-Ton jeu m'a l'air intéressant, Pamuy !

Autant ne pas commencer à répondre par le refus, ça pourrait la vexée, et si elle se rangeait définitivement du côté de Thaiko-la-brute et qu'ils m'attaquaient j'avais peu de chance d'en sortir indemme.
Je fixais intensément la féline grise du regard, d'un regard pétillant ou brillait un certain intêret... qui cachait en fait un certain ennui. Mais je jouais mon jeu jusqu'au bout : je remuais la queue d'excitation et souriait avec malice.

Mais avant tout, je dois aller me déshaltérer, miaulais-je, sobre, avant de me tourner vers le filet d'eau pure dégoulinant.

D'un simple coup d'oeil vers le ruisseau, je me rendis compte que j'avais très soif. Je ne me fis pas priée et but abondamment, pour le plus grand soulagement d'olive numero un qui commençait à attendre. Tout en m'essuyant mes babines fraîches et humides à l'aide de ma langue, je surveillais du coin de l'oeil mes « compagnons , mais ils semblaient tranquilles et sans mauvaises arrières pensées, je me risquais donc à baisser ma garde et goba plus d'eau encore, ennivrée par la fraîcheur du liquide, liquide bien utile par cette chaleur ambiante.

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   Mer 30 Sep - 22:28


Un brouillard profond venait de s'installer je voyais qu'un tout petit peu je distinguai Pamuy et Olive. Je marcha un peu lorsque je vis Pamuy son collier brillait. Je sais que Olive ne m'aime pas mais je dis en rigolant a Pamuy:

-Grillée! Je sais que c'est toi qui fait le brouillard! Je jeta un coup d'oeil a Olive tant pis si tu ne m'aime pas! J'ai Patte d'Ecume que j'aime plus que tout et Tonneria et ça me suffi! Puisqu'il y avait du brouillard j'en profita pour me déplacer avec mes sens, je ferma les yeux et me déplaça au sons et au odeurs. Là bas il y avait Olive qui buvait et a l'autre bous Pamuy qui marché. Je marcha tranquillement là bas il y avait Pamuy si je calcule bien en sautent je pourrai arriver derrière elle, je ma déplaça en silence et me prépara a bondir. Je bondit est je me retrouva derrière elle comme prévue. J'ouvris les oeil et d'un petit coup d'épaule je bouscula légèrement Pamuy:

-Bou! Et je parti au triple galop sans même regarder si elle me suivait ni même de regarder la ou j'allai. Je me pris une chose molle, sans même voir cette "chose" je sue que c'étai Olive que je venais de pousser dans le ruisseau! Super....Elle va me détester a présent! Je la prit par la peau du coup pour la sortir:

-Je suis désoler je ne voulait pas... Dit-je une fois qu'elle fût sur terre.

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   Jeu 1 Oct - 19:29


Thaiko me fessent peur et reparti aussi tot, partant fait eux en riguolent je dessita de mettre un peux de mouvement de dans.

-Le brouillards est mon amie mais peut-être pas le votre.

M'amusent à déplacer le brouillards un peux de quelque sorte au pont de créé des petite boule et de leur lancer en riguolent, j'aitait peux discret en riguolent mais sa m'amuser, apret quelque second d'amusement ma tête me tournent trop je désister d'arrêter lessent le brouillards partir assie sur le sol la tête baissée.

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   Sam 3 Oct - 20:11


Boire procurait un sentiment de satisfaction merveilleux... enfin lorsqu'une masse ne fonçait pas sur moi par derrière à toute allure et ne me faisait pas faire un roulé-boulé, me taper la tête , tomber en arrière, puis m'écraser sur le dos, le souffle coupé, dans le ruisseau, c'était encore mieux. La première réaction d'Olive numéro un fut de rester médusée, tremblante ; ma première réaction fut de me retourner et de lever la tête vers mon agresseur qui me traînait sur le rivage par la peau du coup en marmonnant quelque chose que je ne compris pas à cause de l'eau me bouchant les tympans, mais je voyais les pupilles me toiser du regard, ce qui eu un certain don de m'énerver encore plus. Ma volonté fut plus forte que celle dictée par ma double personnalité : je fis violemment volte face pour me libérer de l'emprise de mon ennemi le cœur battant. Qu'étais-ce ? Un prédateur ? Un félin très peu amical ? Peu m'importais ! : le faire mordre la poussière était mon seul désir à cet instant précis. Cette rage me donnait un courage puissant, plus que ce que j'avais put avoir de courage jusqu'à maintenant. J'admettais ne plus me reconnaître, malgré que j'en ai conscience, je levais une patte avant, griffes munies, je bondis en l'air et lorsque je fut à la hauteur du visage de mon adversaire : Sans hésitation, je le frappais à la mâchoire d'un coup de pattes griffues, assez violent car je crus le voir tituber sous le coup. A mes pattes, j'entrevoyais du sang pourpre perler, et malgré le brouillard qui m'empêchait d'avoir une vision claire, l'odeur poisseuse me montant aux narines suffit à me persuader que j'avais porté un coup efficace. Je feulais, grognais et crachais, me préparant à anticiper une potentielle prochaine attaque. Mais je changeais immédiatement d'avis, j'en vint même à regretter mon agressivité et ma fierté, ma soif de combat s'évapora aussi vite qu'elle était venue. A cause de la brume artificielle disparue, je pus voir clairement près et loin de mes pattes. Je vis le visage de mon agresseur. Mes yeux se dilatèrent de terreur, je tremblais de la tête aux pieds -pas seulement à cause de l'eau froide- dans une panique incontrôlée. Thaiko. Et évidemment, Olive numéro un ne fut pas d'une grande aide : elle avait déjà perdu son sang-froid, elle s'agitait, elle avait presque envie de fondre en larmes. Pour ma part, je me retins. Je réussis à me tenir droite, à ne pas me recroquevillée de terreur, mais ne put m'empêcher de m'hérisser, oreilles déjà plaqués en arrière. «  Th-Thaiko ! C'était toi ? », je tentais désespérement d'empêcher ma voix de trembler, mais l'idée que je puisse me faire déchiquetée, lapidée ici même par le félin tâcheté me faisait bien trop paniquer et la terreur incontrôlable de ma double personnalité commençait à remonter dans mon esprit. Elle se refusait à mourir, elle commençait à rejeter la faute sur moi, à hurler pour ne rien dire.... dans un moment comme ça...
Et puis, je sentis mon corps se raidir. Les deux premières minutes je me demandais pourquoi, puis je pris conscience qu'Olive numéro un tentait de prendre le contrôle total de notre corps commun, et bien sûr, céder à sa demande aurait été la chose la plus stupide au monde. Pourtant la terreur de cette double personnalité la faisait monter en rage, elle s'acharnait, elle était trop désespérée, trop terrifiée. Et moi aussi, j'étais complétement terrorisée, tétanisée, résignée, c'est pourquoi je ne pus la retenir plus longtemps et elle s'empara de notre esprit.

Que faire ? Que faire ? Qu'est-ce que je dois faire ? J'avais insistée pour prendre la relève, je l'avais pris de force, mais maintenant la terreur m'empêchait de réfléchir... ma personnalité sournoise était la stratège, j'étais la conscience. Et ce chat, Thaiko, je me demandais ce qu'il allait nous faire. Je n'osais même pas y penser, je ne voulais pas y penser ! Mais des images d'horreur s'infiltraient en moi tandis qu'une sueur intenable me montait au front. Je ne voulais pas mourir, c'était trop injuste ! Je reculais précipitamment mais cela ne m'apporta rien d'autre que de tomber à la renverse, sur le dos, telle un coléoptère pris au piège. Et mes pattes me faisaient trop souffrir, elles s'étaient subitement alourdies et je ne trouvais plus la force de me relever, alors je ne vis qu'une seule solution, peut importe ce que ma deuxième personnalité dirait, elle qui ne pense qu'à sa fierté ! Ce que je fis fut de geindre, d'attirer la compassion comme je l'avais toujours fait :
« Par pitié, c'était une terrible erreur ! Ne nous fait pas de mal ! », dis-je. Il me pesait tellement de trouver le courage de parler que des larmes me montèrent aux joues. Je ne risquais pas d'arriver à contrôler mes sentiments, car ma seconde personnalité trouva que c'était le moment de me rabrouer : « Imbécile, tu parles trop ! », je sentais en elle, la rage monter mais je fis mine d'ignorer ses égosillades. Haletante, en pleurs, recroquevillée sur moi même, et les yeux écarquillés je fixais avec terreur le félin tâcheté.

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   Ven 9 Oct - 18:08


Thaiko > Attention, tes réponses précédentes faisaient moins de 10 lignes hors dialogue. Je vois que ça c'est un peu arrangé au fur et à mesure du RP, continue comme ça ^^

Pamuy > Je suis désolée, mais je n'arrive pratiquement pas à te lire x_x Il y'a beaucoup trop de fautes.
Essaye d'abord de taper tes RPs sur Word pour corriger le plus gros. Quant à la conjugaison, tu peux t'aider de certains sites, pour t'aider par exemple sur les participes présent :
" lessent " s'écrit " laissant "
" tournent " s'écrit " tournant " etc.

~ Bonne continuation

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   Ven 9 Oct - 21:20


Pandora: Ok je savais pas avant que les dialogue ne comptais pas, s'est pour ça que je met plus de temps a les écrire maintenant. :)

sinon merci

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   Sam 10 Oct - 17:23


Olive venait de me griffer et me demandas de ne pas lui faire de mal sauf que dans ses paroles il y avait quelque chose qui me choquer elle avait dit "ne nous" au lieu de "ne me" elle parlais d'elle comme si elle était plusieurs bizarre. J'avais envie de frapper Olive de la torturait a mort pour l'humiliation qu'elle venait de me faire, mais nous étions de la même guilde et j'étai défenseur jamais je n'aurais pus la frapper je choisi alors de la "frapper" oralement.

-Hé bien Olive tu est la première des idiote pour tu te désigne comme si tu était plusieurs! Je me dirigea vers Pamuy et au passage donna un coup à Olive dans l'épaule puis je lui écrasa la patte. Je ne connaissais toujours pas son pouvoir et j'avais très très envie de le connaitre mais comment la forcer pour qu'elle me le disent cette tête de mule ne voudra jamais... Je rejoignis Pamuy en trois petits bons. Elle au moins était gentille, Olive elle était bizarre et râlait trop, moi aussi je suis agrèssif et râleur mais en tombent Olive avait due recevoir trop d'eau dans le crâne.

-Sinon ça vas toi? Demandai-je à Pamuy puis j'ajouta, tu ne trouve pas Olive bizarre? J'attendais sa réponse quand j'eu une idée:

-Olive! Ton pouvoir c'est d'avoir plusieurs personnalités? A mon avis c'est par-ce-que tu n'as pas d'ami? Je lui lança un regard de la mort et en même temps de défi: Ou alors tu en as et ils on telement honte de toi qu'il se cache et te regarde avec pitié.

Je sauta sur Olive puis je recula en créent une tornade de glace. Puis je la dirigea contre un arbre fin qui se brisa sous le choque. Je devrait arréter de tous cassait mais il faut que je lui face peur le plus possible ! Je poussa un crie et sauta sur Olive Non il faut que j'arette je suis défenseur pas démonteur de tête des chats de ma guilde! Je me mit sur le coté et regarda Olive:

-Bon désoler... Je partis loin pour voir sa réaction si je la connaisais asses bien elle aller me haïr mais certain chat son imprévisible. Un vent frai fit frémir les branche d'arbre je m'alongas et les regardas se ballançait de droite à gauche.

-J'aimerai être un oiseau pour être libre sans connaitre le fléau de se monde pas vous dis-je a l'atention des deux chattes. Pas vous?

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   Sam 10 Oct - 18:49


Trop de questions àla fois mais bon

-Oui ça va, je ne trouve pas Olive bizzare moi.

Encor essoufflé par l'utilisation de mon pouvoir, oui j'avais l'air d'une petite débutente mais personne me connaisser assez bien pour le savoir, mais en voyent Thaiko s'amuser à faire en quelque sorte peura Olive je décida envins de laisser un peut mon coeur parler, me placent à coter de Thaiko je dis.

-Laisse la!

Bon dd'accord remarque inapproprié en se moment mais Olive me fessait pitier qu'en elle demanda ses excuse aucune personne aurrer reagie de la sorte lui faire peur une réaction pour un chat avec peut de coeur, partent faire Olive je me ddemandée si allait bien surtout avec lui même si au début il a faitl'air gentil mais on ne peut cchanger personne dans se monde de prute quel qui sois, j'aitait assis à-côté d'olive le temps te sa réponse.


[Heu Pandora tkp j'exelle de corrigé moi mêmemes vote puis Word.]

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   Lun 12 Oct - 21:04


-Hé bien Olive !, me nargua le félin tâcheté, Tu est la première des idiote pour tu te désigne comme si tu était plusieurs!

-Je, je...
Mon Dieu je ne voulais pas être tournée au ridicule aussi facilement ! Je voulais me justifier et lui dire toute la vérité, mais je craignais trop les représailles de cette fourbe de double personnalité : j'en avais assez, hors de question de la laisser reprendre le contrôle!C'était mon corps après tout, à la base!
Mais mon refus allait aussi permettre à Thaiko de mieux me rabaisser !
Mais tandis que je réunissais un peu de courage pour lui répondre, il se contenta de s'en aller avec son petit air satisfait et arrogant. Il se désintéressa soudain de moi, et reportait son attention sur son « amie » comme s'il avait été satisfait de simplement me voir recroquevillée et terrifiée. Devrais-je être soulagée qu'il ne m'ai rien fait de plus ou indignée ? Je ne savais pas. Mes pensées s'embrouillaient tandis que je me contentais de regarder Thaiko et Pamuy bavarder sans dire mot. Et puis ma lâcheté pris rapidement le dessus : il était tant que je profites de leur moment d'inattention pour m'enfuir et accroitre mes chances de survie. Ventre à terre, le poil toujours hérissé, je filais en douce dans la direction opposée, à pas de loup. Comme je remarquais que je venais de réussir à m'éloigner de quelque mètres de distance sans m'être fait vu, je sentis enfin la peur commencer à retomber, et je soupirai de soulagement, me considérant déjà comme sortie presque saine et sauve de cette aventure. J'avais parlé trop vite...
En effet, un des deux chats me rattrapa et se plaça en face de moi, me barrant la route... Thaiko... Je sentis à nouveau des larmes associées au stress remonter : allait-il enfin me laisser en paix, bon sang ? J'étais venu simplement boire ! Je n'avais rien demandé à personne !

  • Laisse m....

-Olive! Ton pouvoir c'est d'avoir plusieurs personnalités? A mon avis c'est par-ce-que tu n'as pas d'ami?
Je tressaillis. Depuis quand les imbéciles avaient-ils de la perspicacité ? Non ! Ca me dégoutais mais dans ce genre de situation je devais faire comme ci j'avais été à la place d'Alter Ego : Garder son sang-froid et réfléchir avant d'agir. Peut être que si je restais impassible, Thaiko se demanderait s'il s'était trompé ? Le plus simple moyen de s'en assurer était de le lui dire et de le convaincre. Sauf que... les mensonges c'était la spécialité d'Alter Ego, pas le mien ! Je m'en sentais incapable, ce qui fit que je me tus, subissant tête baissée les moqueries du félin tâcheté.
Ou alors tu en as! Et ils ont tellement honte de toi qu'ils se cachent et te regarde avec pitié !
Et toi alors. Je sursautais : Alter Ego avait décidée de me faire partager ses pensées... bon sang mais ce n'est pas le moment ! Pour peu qu'elle craque et crache ce que je suis en train d'entendre à la gueule de Thaiko, on finit toute les deux en charpie. Vu ce qu'à l'air de contenir ta cervelle, tu ne dois pas passé pour une lumière devant tes amis ! Je me recroquevillais d'avantage, intimant à Alter Ego de se taire, mais elle ne m'écoutais pas !
Et puis, soudain j'entendis un bruissement d'air et en même temps, mes pattes me semblèrent plus légères que jamais. J'osais lever la tête et soudain je me rendis compte de ce qu'il m'arrivait ! Mais le temps que je m'en aperçoive, c'était trop tard. Le pire qui aurait pu m'arriver arriva : le félin tâcheté utilisait son pouvoir pour me faire voltiger dans les airs. Je feulais de terreur, tandis que Thaiko, loin d'être attendri, fit gagner en vitesse son ouragan avant de tenter de m'envoyer m'écraser l'échine contre un arbre ! Je hurlais d'une voix tellement aigu à me briser les cordes vocales: à cette vitesse j'allais me briser la nuque sous le choc ! Ce chat était fou, il était totalement fou ! Pourquoi j'avais laissée Alter Ego l'abordé, pourquoi ? Mais par une chance miraculeuse, la mort avait décidée que j'avais droit à une seconde chance : tout se passa en une fraction de seconde mais par un réflexe de survie, je parvins à me retourner sur le ventre et à planter mes griffes dans le tronc de l'arbre, avant de glisser jusqu'au sol, labourant la longueur du bois de mes griffes ; avant de m'écraser au sol. Malgré mes freins improvisés, l'impact à l'atterissage fut tellement rude que je tombais inconsciente.

J'haletais, des gouttes de sueur tombant en masse sur tout mon corps. Ma tête tournait, je me retenais de vomir et mon cœur battait tellement vite que je manquai de m'évanouir à mon tour. Vraiment, j'ai crut durant une fraction de seconde que c'était la fin ! Mais nous n'étions pas encore sauvées ! Numéro Un inconsciente et Thaiko juste à côté qui pouvait faire une autre tentative à tout instant :
-Numéro Un ! Numéro Un !, l'appelais-je à travers nos pensées communes. Te laisse pas aller comme ça, Thaiko peut recommencer à tout moment ! Numéro Un ! Tu m'entends ?
Je n'obtins aucune réponse, ce qui me fit d'avantage angoisser.
Non, décidement ….. il fallait y aller à la manière forte avec cette idiote pour obtenir quelque chose !
-Numéro Un ! Réveille-toi espèce d'empotée !, m'emportais-je. Tu crois que tu m'aides, là, peut-ê...

  • Est-ce que ça va ? (oui comme Pamuy n'a pas précisé ce qu'elle disait à Ol' exactement, je me suis permit de la faire parler, j'espère que ça ne te dérange pas ^^')


Je me réveillais dans un sursaut, les yeux encore équarquillés de terreur, des larmes embuant mes yeux. Bien sûr ma première réaction fut de chercher l'origine de cette voix. Clignant des yeux avec effort, je me forçais à retrouver la vue, et la première chose que je vis clairement fut Pamuy, debout à côté de moi, l'air un peu soucieuse. Apeurée, je cherchais frénetiquement ou se trouvait le maudit félin tacheté, mais j'étais étendue par terre échine contre sol, et la seule chose que je put voir fut le visage gris perle de Pamuy et un ciel nuageux au dessus de nous. Durant quelque minutes, je me sentis enfin calme, sereine et légère. Et puis je revins à la réalité et me dit que Thaiko n'était pas loin. Une série de flashback montrant la scène d'attaque défila inévitablement devant mes yeux et je sentis à nouveau la terreur m'envahir. Poussée par la peur, je me relevais subitement, feulant, hurlant et courut avec une seule idée en tête : m'enfuit le plus loin possible de ces deux horribles chats, surtout un dont je ne citerais pas le nom ! Mais je fus stoppé par le hurlement autoritaire d'Alter Ego, elle semblait furieuse. Sa voix pleine de rage me vrilla tant les tympans que je n'eus pas d'autre choix que de m'arrêter, avec une nouvelle douleur à la tête. Elle m'avait également rendue folle de rage : j'en avais assez moi ! C'était de sa faute ! Qu'elle assume donc, un peu !

  • Bon sang mais POURQUOI S'ARRETER ! Tu en as marre de la vie C'EST CA ?
  • CA T'ARRIVE DE REFLECHIR UN PEU ?, me répondit-elle, tandis que nous ne prenions même plus la peine de parler entre nous, si bien que Pamuy et Thaiko pouvaient très bien nous entendre, CES DEUX CHATS SONT DE NOTRE GUILDE, ON LES RECROISERA TOT OU TARD ! ALORS CA NE SERT A RIEN DE CHERCHER A FUI...
  • JE NE VEUX PAS LES RECROISER ! SURTOUT THAIKO, JE TIENS A LA VIE BON SANG !
  • SI TU VEUX VIVRE COMMENCE PAR AGIR UN PEU MOINS BETEMENT !
  • QUI AGIT BËTEMENT ? ALTER EGO, C'EST TOI QUI A DECIDE DE LEUR PARLER !
  • ET TU PENSES QUE JE POUVAIS PREVOIR QUE CA SE PASSERAIT COMME CA ?
  • ON A FAILLIT MOURIR BON SANG ! TU TE RENDS COMPTE SI J'AVAIS HEURTE CET ARBRE ? JE ME SERAIS BRISE LA CERVELLE ! ET PUIS POURQUOI T'AS ATTAQUE CE FOU FURIEUX ?
  • J'L'Y CROIS PAS ! TU NE PENSES QU'A TA PETITE PERSONNE ! J'AI AGIT EN LEGITIME DEFENSE ! CE MALADE N'AVAIT QU'A PAS ME FONCER DEDANS, J'AI CRU QU'ON SE FAISAIT ATTAQUEES !
  • ET TOI CA T'ARRIVE DE METTRE DE COTE TA FIERTE ?
  • ASSEZ !


Je parvins à me calmer par une expiration. Cette confrontation ne menait à rien : Numero Un ne faisait que laisser parler ses petits états d'âmes comme d'habitude ! Autant garder le peu de sang-froid qu'il me restait pour me concentrer sur la suite. Oui, enfin, si cette tête de mule de double personnalité voulait bien me céder la place, et bien sûr, elle ne consentirait pas... à moins de réussir à la convaincre. Un éclair de génie me traversa le cerveau : je savais exactement ce qu'il fallait faire. J'interpellais à nouveau Numero Un, m'attendant à ce qu'elle me crache dessus, mais en fait, elle restait muette. Parfait !
Prenant soin de lui parler par un partage de pensées, cette fois : les deux autres en avaient déjà beaucoup trop entendu, je lui sussurrais à l'oreille :

-Mais en fait, si c'est aaaaaussi insupportable pour toi, il reste une solution !
Je la vis tendre l'oreille, soudain interessée, bien qu'elle tentait maladroitement de le cacher.

  • On peux utiliser notre pouvoir sur eux, lui proposais-je. Histoire de les rendre -surtout ce sale matou- plus « aimable ».


Elle ne me répondit rien, mais acquiesça, pensive. Je le pris comme un oui affirmatif. J'avais enfin repris le contrôle. Me trouvant dos à Pamuy et Thaiko, je me retournais vers ceux-ci, le regard changé, souriant voir même amusé, ce qui dut les désarçonner :


- Ralala, j'suis vraiment désolée ! Cette sentimentale de double personnalité est un peu idiote, elle n'arrive pas à se contrôler ! Des fois elle me pousse vraiment à bout ! Ahah !, riais-je de bon cœur d'une voix enfantine en direction de mes deux collègues Felinae. 

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   Jeu 15 Oct - 20:59


Je me tordais de rire sur le sol tellement je n'en pouvais plus, voir Olive avait perdu contrôle! La voir se disputer avec elle même était juste trop drôle. Je jeta un regard à Pamuy elle rigolé aussi mais moins que moi. Je m'arétta car Olive nous dis quelque chose en rigolant avec une voix enfantine, elle n'avait pas honte moi j'aurais carrément honte! Mais une chose aussi idiote ne pourrait JAMAIS m'arriver! Je dis tout bas à Pamuy :

-Olive à to-ta-lle-ment... perdu la tête.

J'avais une idée pour l'énervée mais je l'avais déjà asses fais non? Alors je me contenta simplement d'attendre la réactions de Pamuy... Un mouvement dans les buissons attira mon intention un soldat? Non ce n'était pas un soldat juste un oiseau, l'histoire que ce puisse être un soldat me fit déployer mon imagination qui me fit vite ne plus écouter les autre:

Dedans une troupe de soldat sanguinaire nous attaqués je protègeai Olive et Pamuy car c'était mon rôle de défenseur. Les soldat se jettent sur nous, je frappa le sol de ma queue glaçait et il y eu une géante de glace arriva et balleya les soldats il s'écroulèrent tous au sol et en plein de bonds gracieux je leur sauta dessus pour les éventrés.....

Je reporta mon intention sur Olive et Pamuy qu'est-ce-qu'elle ont pue dirent? Je leur posa la question:

-J'ai loupé quoi? Si ça se prouve il ne c'est rien passé! Je fixa Olive d'un regard dur: Qu'elle surprise elle vas encore nous faire voir ?

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Anonymous
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   Ven 16 Oct - 22:42


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