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Un cimetière sans corbeau; c'est un peu comme un monde heureux sans Felinae.||pv : Pamuy||

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Anonymous
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   Sam 5 Sep - 22:08


Tu affectionnais tout particulièrement le fait de te balader, c'était véridique. Ceci dit, tu étais presque certaine que jamais tes pattes ne t'avaient porté si loin. La frontière ouest était déjà réellement lointaine, et tu hésitas à t'y laisser porter à nouveau. Mais la dernière fois, tu avais dormi là-bas, et tu n'avais nulle envie de dépenser toute ta journée là-bas. Peut-être que tu n'aimais tout simplement pas la répétition, et que la dernière fois te semblait bien trop récente pas réitérer l’expérience de si tôt. Ceci dit, elle t'attira à nouveau, car tu n'avais, évidemment, pas eu le temps de tout visiter. En réalité, tu étais à moitié persuadée que tu n'avais découvert qu'une infime partie de ce qu'il y avait à voir, et ça te passionnais de savoir que tes yeux n'étaient pas repus de tout ce que tu avais vu, et qu'il y avait tant à voir à nouveau. C'est sûrement ce qui te motiva à t'y rendre à nouveau, et tu décidas que lorsque tout te semblerait trop familier, tu prendrais une autre direction, ça te permettrait de découvrir de nouvelles choses. Tu n'avais pas prévu de te nourri avant quelques temps, pour ne pas ralentir ta traversée, et ça te fit défaut très rapidement.

Avec un court détour, tu stoppa tes pattes à l'oasis; le soleil était déjà bien haut et il te sembla que tu avais déjà marché quelques heures. Exténuée, tu t'arrêta à nouveau quelques temps, et ne trouva rien à te mettre sous la dent. Le soir tomba, que tu ne fus plus capable de parcourir une distance. La faim te torturait, et tu n'étais plus motivée en rien. Cependant, tu ne désirait plus passer la nuit dans le désert, et tu te remis en marche, ton ventre gargouillant trop souvent à ton goût. Lorsque arriva presque à la mer craquelée, la matinée était tombée. Tes pattes étaient exténuées d'un voyage trop long, de détours trop épuisants, et ton corps fonctionnait machinalement, sans vraiment que tu te rende compte de la distance que tu avais parcourue. Au loin, il se dressait un étrange lieu. Ceci dit, tu t'arrêtas un instant et dénicha un volatile impuissant, ce qui te permit de te repaître temporairement, et apaisa ton esprit. Tu décidas de ne pas te reposer, auquel cas tu savais que ton corps refuserais de se lever.

C'était une sorte de mer qui s'étendait devant toi, -tu le savais, on t'en avais parlé- et tu compris à quel point la distance parcourue était colossale. Mais tu étais satisfaite, et ton esprit cultivé ne pouvait s'empêcher de t'approcher de l'asphalte. Restant à moitié à distance, tu te dressas pour mieux voir la mare d'eau qui s'étendait devant toi. Ce n'était pas très grand, et l'eau ne te faisait nullement envie. Tu préférais retenir ta soif, et te diriger vers un autre endroit. Après tout ce chemin parcouru, tu espérait qu'il y ait encore un endroit agréable aux alentours; ceci dit, tu n'en était pas certaine. Mais tu ne désespérais pas. Et tu ne fus pas déçue de la vision qui s’offre à toi, une dizaines de minutes plus tard. C'était quelque chose que tu n'avais jamais vu, et que tu n'aurais jamais vu dans d'autres circonstances, car il te sembla bien qu'il n'existait pas un endroit semblable à celui-là.

Un cimetière de coraux, ossatures se dressant misérablement, déshonoré de leur grâce, un spectacle abominable de la nature. Seule la nature pouvait désirer telle chose, laisser mourir sa propre création. Oh, l'homme n'y était peut-être pas pour rien, mais pour une raison assez étrange, il te sembla que la nature elle-même fut la seule coupable. Et les espèces qui autrefois vivaient ces lieux ne font que les hanter, mutant pitoyablement en hybrides, pour seul honneur que la survie. C'était un lieu terrible mais marquant, ça, tu en fus bien sûre. Te posant sur un endroit légèrement plus en hauteur, tu laissas ton corps se reposer. Après tout, tu avais passé presque vingt-quatre heures à marcher sans t'arrêter, et des courbatures commençaient à te faire souffrir. Oh, tu ne t'étonnais nullement de cela, mais tu craignais un tant soit peu les conséquences.

Un doux vent soufflait, balançant l'endroit, brossant les restes de coraux. C'était agréable, et tu te permis de te laisser aller, de fermer les yeux doucement, de t'abandonner à sa vive fraîcheur. Ton corps flottait dans une doucereuse bulle, et malgré que tes articulations semblaient te brûlait, tu parvenais à un certain état de béatitude, et ça te fis énormément de bien. Tu restas ainsi une heure entière, somnolant peu à peu. Malgré tant de fatigue, le sommeil ne parvint pas à te gagner, tant ton esprit était lourd de pensées. Et ce qui parvint à annuler ce cycle, à briser ton fil d'idées, ce fut un bruit étrange. Tu ne calculas pas tout à fait ce qui arrivait, à cause de ton état de somnolence, ou peut-être que tu ne parvenais pas à tourner la tête; dans tous les cas, tu ne changeas pas de position malgré la présence que tu sentais -du moins, pas tout de suite-.

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Anonymous
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   Dim 6 Sep - 20:58


Tu fonças tête besser fair un nouveau lieu qu'il et sembler dans tes penser magnifique mais cela n'aller pas durée sette vue pour toi était le pire, une vue insigniefiante pour toi qui a déjà fécue l'horreur que la vie nous réserves n'était pas cela qui aller de rapesser apret temps de marche, que de souffrance au patte t'avais apporter, mais il n'avais pas que sa qui de préoccupait la vue était peut-être souffrant pour des yeux plutôt remplie de joie mais peut de toi tu pouvait distinguées une jeune Femelle qui ne bouchas point cela te fesser peur cela pouvait de faire tu mal ou d'aider à soigner la vue?
Tu voulais tapprocher d'elle pour voir si son visage était familial, tu ne l'avais jamais vue de ta vie même si tu était timide et peut en pédante tu passa à coter d'elle sens la touchait tu continua ton chemin même si cela te ronga un peux on vont de toi de laisser une personne ici seul tu était timide mais pas au point de laisser seul une personne même si cela était un soldat et qui de tuera, cela de ronga toujours de plus en plus que tu envenca de plus en plus sa de ronger mais pourquoi elle même ne le savet pas tu commença à de retournée en la fixent elle ne bouger toujours pas que avait d'elle, fesent deux pas en avant tu te lessa presser pas le vent allent dans ton visage ferment tousement les yeux tu ne de lessa plus rongée par un sentiment inconnu.

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   Lun 7 Sep - 21:49


Tu la regardas avec dédain de haut en bas, l'air à la fois fatiguée et lassée, ainsi qu'énervée par sa seule présence. Même si elle avait l'air de ne pas aspirer à te faire du mal, même si elle t'avait l'air d'un véritable ange, la colère pris le dessus. Te levant doucement, faisant craquer les muscles de tes épaules qui maintenaient tes pattes ankylosées par la fatigue, tu te tournas vers elle, et plongea tes yeux profondément dans les siens, décidant de ne pas lui laisser une seule seconde de répit. La frustration de croiser quelqu'un que tu associais aux Felinae prit énormément le dessus. En réalité, tu n'étais même pas sûre que tu pouvais te calmer après ça. Ta queue se balançant rapidement par colère, tu baissas légèrement les oreilles, attendant qu'elle parle la première. En quelques secondes, tu la dévisageas, tournant légèrement les yeux vers ses pattes. Une jolie couleur gris pâle associée à une sorte de bleuâtre s'étalant sur plusieurs tons; il te sembla en effet que la beauté de la créature était peu contestable, ceci dit, tu ignoras tout de son air niais, pour te concentrer sur ce qu'elle t'inspirait: du dégoût.

Rien que le fait qu'elle appartienne à Felinae -tous les traîtres portaient sur leur chair cette odeur pourrie- détruisait tes chances d'être aimables, mais la fatigue jouait énormément sur ce plan aussi. Et dieu savait qu'il ne fallait jamais jouer avec tes nerfs dans ces conditions. Or, une simple réflexion sur son air simplet te convainc d'une chose: ses pensées étaient simples, et ça n'allait sûrement pas t'aider à l'apprécier plus. Etait-elle une partisane du -ouh, les humains sont les méchants- alors qu'elle profitait allègrement du don qu'ils leurs avaient donné; pire, pour les combattre? Pouvait-on être plus hypocrite que cela, guerroyer au nom d'une communauté au prix d'une vengeance personnelle? Qu'ils soient contre les humains, tu pouvait un peu le tolérer; cela changeait selon les mentalités. Mais user de leurs pouvoirs simplement pour plonger leurs ennemis dans l'ironie, les pousser à stopper leur course à l'armement lorsqu'ils comprendront que la conscience de leurs armes vivantes se retourneraient contre eux, mais avec leurs propres pouvoirs; tu refusais de l'admettre.

T'approchant sans gêne d'elle, tu replanta tes yeux dans les siens, toujours avec cette espèce d'intensité mauvaise. Te tenant bien droite, tu te dis que tu ne laisserais rien passer, pas un signe de faiblesse : juste une tenue remarquable, un regard hautain et noble, et des paroles, certes acerbes, mais pas dénuées de sens tout de même, pas déformée par l'horrible colère qui t'envahissait. Pourtant, cette frustration se changea en un dégoût prononcé, et tu la regardais désormais avec une expression très transparente; comme si un roi, hautement perché sur son trône, regardait un plouc qui le défiait du regard. Comment osait-elle ne serais-ce que lever la tête vers la reine? Une nouvelle fois, tu fis un pas en avant, si bien que la distance qui vous séparait ne t'avais jamais semblé si courte. Mais tu n'en était nullement gênée, et tu laissais même transparaître un air intimident.

Voyant que sa parole ne viendrait définitivement pas, tu savais d'avance que t'incombait la tâche de commencer la conversation; si elle se sentait oppressée, il pouvait s'écoulée nombre de secondes avant qu'elle ne brise le silence. Et même, si elle se sentait agressée, partir dans une discutions la première pouvait lui conférer un avantage. Alors tu te décidas à parler avec une espèce de voix claire et nette, comme l'on parlait à un enfant avec doute lorsqu'on lui demandait s'il avait commit une erreur:

« Une Felinae, vraiment? Par ici? Et seule, en plus...? Comme c'est curieux.»


En effet, l'air te semblais complètement neutre, et à part l'odeur habituelle de l'endroit, la tienne et celle de l'inconnu, tu ne distingua rien du tout. Et à vrai dire, tu avais beau ne pas connaître leur mode de vie, cette petite virée en solitaire te fis te poser pas mal de questions.

« J'étais pourtant à moitié sûre que vos petites personnes trop prétentieuses n'auraient jamais l'audace de s'aventurer si loin. Après tout, vous êtres si bien, cachés et regroupés comme du bétail, à profiter des dons qui vont ont été donnés, à vous abandonner à vos facéties de rebellions, tandis que nous vous donnont une raison de vivre. Qu'est-ce que tu as à dire, sale hypocrite? Ou peut-être que tu es si niaise que ça ne t'a jamais traversé l'esprit, petite profiteuse ? »


Tu lui lanças un regard de défi, attendant à sa réponse avec impatience.

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   Mar 8 Sep - 19:18


Tu penser qu'elle n'allais pas de remarquée mais cela était faux, elle t'avais vue mais qu'en tu la regarda elle ne fexer que de lencer des regard non amicale, puis elle parla tu pensa d'abord que elle allais être gentil mais elle de lença que des regard méchant pour toi tout sa voulet de dire que une seul chose.
Pour elle j'aitait comme tous ses felinae penssens qu'à sa petite personne mais nous le somme pas.

Non, nous somme pas comme cela tu à tord nous aidons se qui veulent et se que on peut.

Tu pensa encor et toujours de nombreuse questions sur elle est pourquoi elle détester autend les felinae apret une réponse était possible, mais la un félin ici été aussi curieux, tu aimer beaucoup de balader à force la douleur ne de sembla plus la mais pourne pas être un peux sens coeur en faire elle tu fessa un petit sourire malicieux en la regardent droit dans les yeux.

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Anonymous
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   Mar 8 Sep - 21:59


Elle osa. Elle osa te répondre avec un air si satisfait, si serein, même avec la certitude que sa vision du monde était bien trop simple :

« Non, nous ne sommes pas comme cela, tu a tort; nous aidons ce qui le veulent avec ce qu'on peut. »


Elle réussit déjà à s'embourber un peu plus, lorsque tu ne la considéra que comme un pur déchet d'ignorance, une souillure parmi ton être blanchâtre, avec ces propos simples et horriblement énervants. Oh, alors, elle croyait vraiment que c'était ainsi que cela se passait? Que tout était si simple, que les Felinae n'étaient que des héros incompris, et qu'un jour, ta petite personne bien trop réfléchie au point qu'elle s'embrouille toute seule, s'en rendra compte? Cela te dégoûta un peu plus -si c'était possible-, en te donnant une horrible envie de lui cracher au visage, à cette ignorante idiote. Son air niais ne t'inspirait nulle pitié, désormais, seul un air frigorifié par une sombre colère paraissait sur ton visage. Comment osait-elle simplement se tenir là, avec ces arguments qui ne tiendraient jamais la route face à plus fort qu'elle? Oh, tu l'était. Tu l'était bien plus. Elle n'avait simplement pas encore réalisé la chance dont elle jouissait, que tu ne lui avait pas encore sauté dessus. Bientôt, elle le réaliserait.

Mais ce qui te froissa définitivement, ce fut ce petit sourire malicieux, et ce regard qui ne désirait pas le moindre du monde flancher. Ton visage restait figé en une expression neutre, quoi qu'un peu sérieuse. Tout se traduisait dans un regard; ceci dit, bien que la colère ne t'envahit pas extérieurement, tes sourcils se froncèrent pour montrer ton indignation dans l'irrespect d'autrui. De plus, tu étais son aînée, et elle n'avait pas l'air d'avoir envie de discuter -avec des arguments bien nobles- de sa condition à tes côtés. Pas que tu lui en laissait le temps, mais tu n'allais pas la plaindre. Elle était tout d’abord simplette pour toi, là, elle était réduite à l'état de déchet irrespectueux. Et elle ne ferait jamais le poids en combat, du moins, c'était ce que tu estimait. Plutôt fine, même si elle se pavanait d'un air pas farouche, et puis, cette différence nette d'âge, ça avait tout pour te donner l'avantage, bien que tu était plutôt frustrée de son ignorance entêtée.

« Ah ! Comme c'est étonnant; une Felinae qui se soustrait au monde réel dans son ignorance, qui se plaids à se considérer chaste et pur, tandis qu'elle aide avec ardeur ses confrères. »

En disant cela, tu marchais machinalement aux alentours, ne tenant par sur place; sans pour autant te permettre de la quitter des yeux. Tu avais conscience que de la désigner par son rôle, de ne pas chercher à creuser le personnage, c'était un manque cruel de bonne volonté, mais si seulement tu t'en souciait, tu ne serait pas là à la considérer avec tant de mépris pour sa personne. Après tout, tu voyais dûrement un moyen de lui demander son nom; bien que tu ne doutais pas de la stupidité qu'elle te confierait. Un truc du genre : Coeur de Miel, ou une connerie bien niaise, ça ne t'étonnerait nullement. Ou peut-être Nuage de Pluie, puisqu'elle était grise. Oui, même les Felinae -surtout- on besoin de Colonel Obvious de temps en temps, ça leur servait beaucoup pour briller en société. Te retournant vers elle, tu renchérit ta vision :

« Mais est-ce que cette Felinae a conscience qu'elle est bien plus irrespectueuse de la vie que ses ennemis? A-t-elle conscience que nous sublimons leur existance, que sans nous, ils n'auraient même pas la chance de parler, même avec tant de stupidité? Car sans tout ça, soyons bien clair; sans son hypocrisie, elle ne serait rien d'autre qu'un chat pourri par la rue, traînant dans des endroits miteux alors qu'elle envierait les chats aux pouvoirs, dans leur grandeur. »

Cela te suffit largement à ton goût, et tu attendais avec passion une de ses réponses pimentées par la simplicité de son propriétaire. Ohohoh, ça s'annonçait terriblement intéressant, et tu te complaisait dans la contemplation de ton ennemie, qui, malgré le mépris qu'elle t'inspirait, avait l'air d'avoir de l'audace. Tu détestait ça, mais tu appréciais que tout le monde ne soit pas plat et ennuyant.

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   Sam 12 Sep - 16:24


Qu'en tu avait entendu sa tu penses voulet d'en bobiner mais tu il réfléchie et tu pensa qu'elle disser peut-être la ferriter peut-être que... Tu ne savais plus rien penser plus rien dire des yeux pétien comme si une larme allais tomber mais elle ne tomba pas pour prouver que tu était forte de coeur, pour toi cette inconnue était plus qu'une personne insensible s'aitait une personne sens coeur au premier regard tu penser qu'elle aurait était plus méchant avec toi ou même pire, tu n'avais pas de réponse à sa phrase que tu commença à prendre au sérieux tu déplaça ta patte un peut tu regarda le sol avec un haïr plutôt embrouiller.

-Alors sa veut dire que les felinae ...

Tu  haussa même pas dire la suite tu était d'éléments outrée par sa que tu fessait demi-tour marchent à petit pas tu t'arrêta deffent un squelette de corbeau, tu joua avec peut loin d'elle tu pensa qu'elle allait d'oublier si tu ne rester pas à côté d'elle.

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   Sam 12 Sep - 23:54


Tu constatas son air perturbé avec une surprise à peine discernée. A chaque fois que tu faisais tes longs et peu tortueux monologues, la réaction était souvent de nier en bloc, en tentant d'arriver à ta cheville en ce qui concernait tes tirades. Mais tu avais rarement, très rarement eu une réaction aussi positive que celle-là. Peut-être que c'était tellement surprenant que tu croyais ça impossible, et le fait que ça se produise devant tes yeux laissa ton esprit vide durant quelques secondes. Elle te croyait. Vraiment...? Tes mots avaient-ils pour une fois buté contre une digue moins infranchissable, l'écho de ta voix avait-il changé sa mentalité? Avais-tu servit à lui faire comprendre son combat idiot contre la réalité, à enlever son masque lourd d’œillères, pour l'obliger à faire face à l'illusion avec laquelle elle vivait? Doutait-elle réellement? Tout cela te perturbas à ton tour, bien que tu ne pouvais cacher ton immense satisfaction face à cet heureuse réaction.

« Alors ça veux dire que les Felinae ... »

Elle sembla perdue dans ses sombres pensées, dérivant vers un horizon que tu ne pouvais atteindre. Tu étais tout de même réellement surprise par la complexité de son esprit, par le fait qu'elle puisse envisager qu'elle se soit trompée, et qu'elle considère ainsi tes paroles. Mais tu n'allais pas t'en plaindre. Semblant tout de même très perturbée, tu ne savais comment l'approcher. Considérait-elle réellement revoir ses positions? En tout cas, tu sentais un grand sentiment de puissance monter en toi, tout comme l'immense ego qui sommeillait au fond de toi, qui se gonflait petit à petit. Une victoire parmi cet océan de chats bouchés comme pas possible, c'était réellement bon à voir. Oh, ça, tu en étais extrêmement heureuse désormais, te délectant d'une satisfaction presque palpable. Te rapprochant d'elle, tu fus en proie à la voir occupée par une curieuse activité, qui te fit arquer un sourcil d'étonnement.

Triturer le cadavre d'un corbeau, c'était une idée sortie d'un esprit dérangé et tordu. Et elle te dégoûta un peu, aussi. Elle pouvait être captivée par ses propres réflexion, se noyée dans un flot d'incompréhension et de confusion, être consternée par sa bêtise féline, mais ce genre d'actes était fort étrange. Jouer avec sa proie vivante, se distraire dans la douleur tordant son corps, c’était faisable. En revanche, déshonoré une charogne à moitié pourrie lors de réflexions profondes, c'était plutôt spécial en soi. Mais bon, tu t'habituerais sûrement à ce genre de petites déviances, tout le monde en avait et elle semblait plutôt perdue. T'approchant d'elle, tu osas penser à l'interroger sur le cours de ses pensées. Peut-être t'autorisera-t-elle à écouter un peu plus ce qui se formait dans son esprit. Tu allais l'aider, tant que tu le pourrais, à comprendre que tu étais quelqu'un de bien, et que les soldats n'étaient pas qu'un ramassis d'abrutis dénuées d'humanité.

« Considères-tu vraiment mes paroles? »

Tu avais formulé ça d'une voix plutôt doucereuse. A vrai dire, tu aimais avoir raison et cette fois, tu devais juste te calmer un peu pour l'apâter avec tendresse.

« Je pensais que tous les Felinae considèraient leur futur dans une guerre incessante contre nous autres. Mais tu semble douter. Réponds-moi véritablement. »

Tu plongeas tes yeux dans les siens, sans aucune expression qu'un sérieux profond, cachant ta jubilation cruelle.

« Doutes-tu? »

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   Jeu 17 Sep - 20:19


Sa foois sa phrase ses mot ressoner dans ta tête comme un écho comme une fois dans la tête d'une fille comme tout se que tu pouvais imaginer tu pensée devenir folle tu avais d'éléments peur que tu utilisa ton pouvoir sur tout la sonne le temps que tu trouve une cachette tu en trouva une qui était aussi dans le brouillards sans une arbre creu pas très loin du soldat, tes patte sur la tête des yeux grand ouvert tu senta que tu devener folle petit à petit tu trembler comme une feuille dans se petit trou tu devena folle par de simple mot de simple mot tu devena folle matenent tu s'avais pourquoi tu ne supporter pas les mot comme se la, des griffe d'evenent plus grand ta couleur bleu ciel au niveau de des patte devena presse noir des yeux sens couleur il n'avait que la pupille qui éclairer tes yeux blanc à se jour tu devena folle, folle plus folle qu'un soldat fou tu penser que sens était fini mais tu pouvais encor voir mais ne plus rien contrôler par ta folonder ton corp fou de gîta fait nul part.

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   Jeu 22 Oct - 13:02


Un brouillard soudain s'engouffra dans la zone, aussi rapide qu'inopiné. Te retournant, sans prêter attention à la chatte, tu regardas avec agitation les alentours. Ce n'était pas une ambiance plaisante; à la limite du malsain tu dirais; tant l'air s'alourdissait dans cette sombre couverture, épaisse et imprenable. Tu pensas alors immédiatement à d'où il pouvait parvenir; et comme aucune odeur étrangère n'avait attiré ton attention, tu ne pouvais que penser que la source était cette chatte troublée. Pourquoi donc? A quoi bon? C'était une réaction tout à fait incompréhensible, bien entendu. Elle aurait pu utiliser le saugrenu usage de la parole; mais il semblerait qu'elle ne doutait pas. Elle était bien trop stupide, et croire une seule seconde qu'elle pouvait feinter avec toi et s'en aller? C'était bien trop. L'usure t'avait appris que lorsqu'un pouvoir aussi prenant se déclenchait, et que les odeurs en étaient brusquement bouleversées; que ce soit l'invocation d'une créature particulièrement étrange où la modification du milieu, les odeurs initiales ne s'en allaient pas ainsi. On peut masquer son odeur parmi les endroits naturels qui partageaient leurs arômes; mais on ne pouvait nullement les chasser. Et le brouillard ne pouvait que la cacher aux yeux, tandis que son odeur, tenace et bel et bien toujours là, ne pouvait de fuir.

Tu trouvas son corps tremblotant au creux d'un arbre. Un instant, tu t'abandonna à la contemplation de la stupide scène, de la pitoyable cachette. L'arbre, comme une main, te l'offrait presque en l'enserrant doucement; comme pour l'empêcher de se rendre compte de sa perte; de la perte de tout espoir de fuite. Mais tu remarquas l'air particulièrement étrange de la chatte; quelque chose avait changé. Tu aurais pu devenir monstrueuse et menaçante que c'aurait été pareil; et tu ne supportais pas cet air apeuré. Quoi donc? Qu'avais-tu fait pour qu'elle devienne ainsi? La terreur était enchantante, mais comme la victoire, tu ne voulais pas qu'on te la délivre sans effort. Une simple phrase ne pouvait être chamboulement royal dans ses pensées; pourtant il semblait que la petite était très influençable, et à cela, tu te disais que c'était bel et bien la créature la plus stupide que tu n'avais jamais vu; et qu'il lui était sûrement quotidienne chose que de se torturer pour de simples mots. Ah, c'était tout de même bien peu commun. Ce n'est qu'après que tu compris le tour qu'elle te jouait; et que ce n'était pas toi qu'elle fuyait; mais une partie de sa propre espèce, de sa propre personne.

Un grattement peu anodin t'alerta; et tu te rendis compte que ses griffes changeaient de taille. Tu ne recula pas, mais une moue insatisfaite vint se poser sur ton visage. Son pouvoir était donc de faire grandir ses griffes? Cela devait être fort douloureux; mais il semblait que la pigmentation de son pelage ne défasse ta théorie. La chatte se changea en une masse noire, pitoyablement repeinte de sombres couleurs, comme un double de son ombre. Ses yeux devinrent blanc, comme abandonnés de toute âme. Non... Tu refusais. Tu réfutais cela. Premièrement, ce n'était pas ton histoire; qu'elle soit folle, cela ne te chantait pas, et secondement, tu n'avais nulle envie que sa démarche agressive se décide à t'attaquer; comme il convenait pour ton bon idiot sans volonté de le faire. Soupirant, tu reculas de quelques pas, et sauta au premier arbre que tu vît. Cela était complètement inintéressant; n'était-il pas? En vérité, c'était juste que tu en avais bien trop fait aujourd'hui, et que tu ne méritais nullement d'être mêlée à cela. Tu restas cependant perchée sur ton arbre, attendant de voir si elle était capable de monter aux branches. Tu doutais de son incompatibilité à faire ça, et tu ne savais pas non plus si la chatte originale en était capable, mais bon, c'était juste histoire de voir où poussait sa dévorante stupidité.

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