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eaux troubles ft. Gweithwyr

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Anonymous
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   Mar 21 Nov - 20:26



C'était pour nous une journée tout à fait régulière qui se propageait au loin. Lorsqu'elle arriva enfin, et nous guérit de notre torpeur antérieure, nous fûmes enfin à même de sortir réellement. En réalité, nous ne savons pas ce qui nous y a entraîné, mais pour une raison ou pour une autre, personne ne semble nous faire confiance en ce qui concernait les petits. Ainsi, nous n'avions nulle tâche importe, et n'étions pas dotées de quelque chose importante que ce fut, et ainsi personne n'aurait un quelconque besoin auquel nous pourrions répondre.

Par inadvertance, ou pur jeu de hasard, nous retrouvons avec nos pas guidés par un étrange souhait de marche, le lieu du ruisseau. C'est un endroit mal en point et peu plaisant dans son esthétique, tant il semble transpirer d'un ambiant malaise. Nous ignorons quel est son plus pathétique fait : son eau qui imite la couleur de la terre, les restes de végéteaux qui se recroquevillent dans une coquille noire et frêle de cendre, ou les espèces de poussières vertes de vie qui s'envolent rapidement au gré de la mort. Cet endroit suait la mélancolie et le désarroi, néanmoins, dans ce tout digne de pitié, il avait tout de même un charme amusant, qui nous intrigue encore. Ce n'est pas un lieu repoussant, et ce n'est pas un lieu passionant. Il semble cependant et simplement se fondre avec son époque, car nous savons qu'il fut un jour très joli, selon les dires d'une de nos mères.

Nous ne sommes pas perdues dans nos pensées, nous ne sommes pas vraiment concentrées non plus. Dans un espèce d'état de transe, tout en étant à peu près sur nos gardes : ce sont des lieux certes fréquentés mais également denses et peu aptes à nous ôter tout besoin de sécurité établie. Ainsi, cela ne nous étonne nullement lorsque nous entendons des bruits de vie, qui nous annonce que quelque chose arrive. Et cela pourrait être un nombre incalculable de possibilités, ce qui ne peux qu'être indéniablement inquiétant.

Nous n'aimons pas l'inquiétude. Ce n'est pas un sentiment plaisant, et il nous serre le cœur d'une étrange manière. Mêlé à l'angoisse, il nous prend de plus en plus violemment. Ah... Les bruits se rapproche et nous n'avons toujours aucune connaissance de son origine. Nos sens sont troublés, et nous avec. Nous ne savons pas quoi faire. Nous ne pouvons plus mouvoir notre corps, tant la peur nous prend aux tripes. Si seulement nous étions encore en sécurité, bien loin d'ici. Nous haussons la tête, nous dressons sur nos pattes, assises, dans la direction du bruit, tentant de garder les yeux ouverts.

Rapidement, cependant, notre habituel fléau nous prend, et notre vue est troublée : d'intenses sanglots nous prennent, déforment peu notre visage trop accoutumé, et commencent à produire bien trop de bruit pour espérer rester discret de quelque manière que ce fut. Plus nous pleurons, plus nous faisons de bruit; et plus la peur s'accumule : Nous ne pouvons plus patienter une seule seconde de savoir qui est cet être qui nous trouble tant !

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Anonymous
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   Mar 21 Nov - 21:33


J'inspirai profondément et tentai d'expulser ma fatigue par une longue expiration. Mais même si ça avait été efficace, un baillement vint perturber mon rituel anti-fatigue et relaxant, un baillement à s'en faire décrocher la mâchoire, ce genre de baillement qui fait un grand "wuaaaah". Je m'arrêtai quelques secondes dans ma marche, les yeux clignant lentement, plissés. Pas dormi de la nuit. Ch'ais pas pourquoi. Une petite insomnie. Enfin une grosse plutôt. Fatigué. Envie de dormir. Pas envie de bouger. Mais dois aller chasser. Arf. Zut. Niéééé.
Je m'assis sur mon arrière-train, les pattes engourdies et la tête vaseuse. Je me suis rarement senti aussi fatigué. D'habitude j'ai tout le temps de l'énergie à revendre "grâce" à mon pouvoir. Pas d'énergie, pas de vitesse ou de décélération. C'est relou.
Ah, je sais pourquoi je suis aussi crevé. Ouais. La rencontre avec Terra. La sale bestiole qui pue de la gueule qui voulait sûrement nous becqueter. J'ai dû bieen courir bien bien bien courir à en avoir mal aux poumons et j'ai dû m'accélérer pour ne pas me faire choper. Mais on s'en est bien sortis. Enfin, sortis vivants quoi.
J'allais sombrer dans une petite inconscience sommeilleuse malgré mon envie de m'étirer pour me bouger l'arrière-train, quand je perçus... un bruit. Ou plutôt DES bruits. Déjà, un bruit d'eau. Okay. Je suis sûrement près du Ruisseau j'imagine. J'avoue ne pas avoir trop regardé où j'allais. Je vais vraiment pas bien aujourd'hui. Hmm. Bon, je suis à côté du Ruisseau. On s'en fiche un peu non? Ca grouille d'insectes aussi. Plein de grillons. De criquets. De mouches. Plein de monde quoi. Maintenant je peux dormir tranquillement sur place sans être dérangé....
Je vacillai sur le côté, prêt à tomber en position allongée sur le sol. J'aurais dû rester au camp je pense. Vraiment. Là si un Soldat ou je ne sais quoi de malintentionné débarque, je suis mal. Allez, debout.. zzz
J'étais en train de tomber de force dans les bras de Morphée, mais des bruits plus dérangeants vinrent bourdonner à mon oreille. Raah saletés de mouches.
Le bruit persiste. Hmm. Tout compte fait ce ne sont peut-être pas les mouches qui sont en tort... zzz
Le bruit insiste et se fait de plus en plus fort. Comme le moustique qui s'approche de plus en plus de sa proie, lorgnant les parties qui lui offriraient le plus de sang, ce liquide vermeil et chaud qu'il avalerait goulûment. Sauf que... non... ce n'est pas un moustique. Ni aucun de tous les insectes que j'ai pu citer auparavant. Non. Ce n'est pas un insecte. Ce bruit... Ca me fait plutôt penser à...
J'ouvris grand les yeux.
... des pleurs.
J'étais réveillé. Ou en tout cas pas dans l'état comateux dans lequel j'étais quelques minutes plus tôt. Des pleurs. A qui appartiennent-ils?
Je me relevai, m'ébrouai pour enlever les feuilles mortes infiltrées dans mon pelage, et me mis à avancer vers la source sonore qui m'avait sorti de ma transe soporifique. Je marchai doucement, mais d'un pas sûr et décidé. Plus je m'approchais, plus je me faisais des conclusions. C'est un chat qui pleure. Hmm je n'arrive pas encore à percevoir son odeur. Mais pourquoi pleure-t-il? Je fronçai légèrement les sourcils.
Et je débarquai près du Ruisseau lui-même, derrière un chat d'apparence bleue.  Oh mais...
Ca sent le Felinae. Et puis cette silhouette me dit quelque chose, et puis ces fleurs fanées en majorité sur la tête...
J'avançai vers le félin et fit un demi-cercle pour voir sa figure toute mouillée de larmes.

- Imsad?     , laissai-je échapper dans un murmure.

C'est une nourrice que j'ai croisée quelques fois. On ne s'est jamais parlés à vrai dire ou très peu d'après mes souvenirs. Même pas sûr qu'elle connaisse mon nom. Je me mis en face d'elle et essuyai ses larmes mais elles étaient tellement nombreuses que je ne réussi qu'à me détremper la patte comme pas possible.

- Hey ça va?   , disais-je avec inquiètude pendant que je tentais en vain de lui sécher le visage.

Que lui est-il arrivé? Elle a des soucis? Elle s'est faite attaquée? Pourquoi est-elle loin du camp alors qu'elle devrait être à la pouponnière? Toutes mes questions devaient certainement se lire sur mon visage. Ca me fait de la peine de la voir dans cet état. Je n'aime pas voir les gens pleurer. Ca me rend tristoune.

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Anonymous
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   Jeu 23 Nov - 18:48



Nous ne comprîmes point en le voyant et le sentant qu'il s'agissait de quelqu'un de familier, tant les pleurs obstruaient nos sens et rendaient confus notre esprit. Il esquissait quelques mouvements, c'était certain, mais nous avions un cruel mal à distinguer le monde autour de nous, et ainsi, ne pouvions plus calmer notre être, tant il était pétrifié et dans l'incapacité de rendre compte de la situation actuelle. C'était une chose terrible, ce qui ne faisait que causer plus de pleurs. Indépendamment de notre volonté, à nouveau, nous plongeons dans ce terrible fléau.

« Imsad? »

Cela sonnait comme un faible murmure, presque éteint sous les bruits de notre respiration bruyante. Le félin, qui que ce fut, ne semblait pas vraiment agressif. Cela pouvait tout aussi bien nous être fatal, que de croire à cette couverture, mais nous n'avions pas d'autres choix que de lui faire confiance. Il commençait à tenter d'essuyer nos yeux, car nous ne pouvions que distinguer de vagues tâches grises, rendues floues par ses propres mouvements et les larmes mêlées à nos tremblements incontrôlables.

« Hey ça va? »

Nous eûmes un mouvement de recul, car une larme brûlée venait de couler sur nos joues. Encore une larme de soin inutilement produite. Il allait probablement ressentir quelque chose de sympathique sur sa patte, en remerciement de sa dévouée inquiétude. Nous séchâmes nos larmes, et nous distinguions enfin l'être qui se tenait devant nous. C'était un de ces chats au physique incongru et à l'air curieux, qui abordaient le camps de temps à autres, et passaient la majorité de son temps hors de notre vue. Avec d'étranges et anormaux objets, qui n'étaient nullement des produits de la nature. Nous le regardâmes, encore très tristes, puis très captivées par ce qu'il portait.

Soudainement, tout est clair. Il n'y a pas de danger, pas plus qu'il n'y en a jamais eu. Les larmes cessent avec rapidité, commes elles ont toujours eu leur propre raison et avaient compris en même temps que nous leur futilité. Bien que notre visage et nos joues restaient trempées, nous ne pouvions qu'être en une intense joie de comprendre notre sécurité, renforcée par la présence de l'autre. Après tout, s'il n'était jamais là, il devait avoir de nombreuses compétences permettant notre survie, et personne ne nous laissait jamais mourrir, aussi.

« Gweytwiw !! »

nous dîmes,

en enfonçant notre visage humide dans son poitrail, bien que notre front tapa contre son étrange dispositif qui pendait à son cou. Son nom avait toujours été bien trop dur à prononcer, de toute manière.

« Awwe! »

Nous reculons notre tête, le regardant avec des yeux tremblants. Notre corps était bien fatigué, mais de nouvelles larmes perlaient au coin de nos yeux. En conséquence, nous réenfournions notre visage dans son poitrail avec plus d'attention, avant de pleurer un peu moins bruyamment qu'avant.
Nous voulions lui poser des tas de questions, mais notre bouche était aux prises avec les sanglots, et nous ne pouvions plus trouver la force de contrôler nos cordes vocales.


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Anonymous
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   Jeu 28 Déc - 0:59


upupupupup ! (je sais que t'es en absence Gwei mais y'a Imsad qui me met la pression oki faut la calmer cette enfant)

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Anonymous
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   Lun 8 Jan - 18:09


HRP:

Elle se recula un peu et sembla souffrir comme si elle avait été blessée ou brûlée. Une de ses larmes torrentielles tomba sur ma patte comme beaucoup d'autres avant, et tout de suite, je sentis une vague d'énergie me bouleverser à travers chaque parcelles de mon corps fatigué. C'était comme une onde de choc qui se propageait à une vitesse qui paraissait à la fois rapide, et à la fois lente. Je sentais cette sensation était là directement, et ses effets me parcouraient petit à petit par frissons bienfaisants. Je me sentais revigoré, puissant, énergique. J'avais fait le plein de batterie.
J'étais encore un peu sous le choc inattendu de ces picotis si agréables et doux. J'étais sous le coup de la surprise, car à vrai dire je ne pensais pas qu'il se passerait cela, de cette façon et à ce moment. J'étais encore tout engourdi de ces frissons, perdu dans un autre univers, la tête ailleurs, dans le ciel, dans les nuages, sur la lune aussi. Je me sentais d'un coup sur un petit nuage, à l'aise. Toute trace de fatigue était partie bien bien bien au loin, très loin, et était un ancien rêve qui n'était plus qu'un brouillard inexistant dans mon esprit et ma pensée. J'avais les yeux à la fois terne à cause du fait que mon esprit soit parti au loin sous le coup d'autant de sentiments bien-aisants, mais à la fois brillants d'une lueur de vie que le sommeil avait fait fuir temporairement, et qui pourtant était quasiment toujours présente dans mon regard.
Je commençais à peine à me sortie de cette torpeur énergisante, reprenant peu à peu contact avec le monde extérieur, que je me sentis presque emporté lorsqu'une masse se jeta sur moi; il faut dire que mes sensations étaient plus sensibles suite à ma reprise de conscience. Mon "réveil" fut brutal et ce contact avec un autre être vivant me fit sursauter violemment, me coupa un peu le souffle et me fit écarquiller les yeux suite à tout cela. Mes oreilles perçurent une sorte d'appel.

- Gweytwiw !!

Qué quoi quoi quoi?!
Les dernières parcelles de brume s'envolèrent et je fus de nouveau en "symbiose" avec mon environnement. J'analysai rapidement la situation, croyant au début que c'était un ennemi qui me sautait dessus pour m'attaquer, et j'étais prêt à riposter, quand je me rendis compte au dernier moment que c'était en réalité Imsad qui m'avait en effet bien sauté dessus, mais pour une toute autre raison: un câlin. Son visage humide s'enfonça plus dans mon poitrail, mais un tintement de résonance m'indiqua qu'elle s'était cognée contre ma montre à gousset. Je baissai le regard, de nouveau apte à bouger et à réaliser des mouvements.

- Awwe! , fit la jeune nourrice en écho avec le contact un peu brutal de son front avec le bidule qui fait tic-tac.

Elle recula et ses grands yeux rouges tout tremblants se plantèrent dans les miens, et alors qu'ils étaient enfin vides de larmes, se remplirent de nouveau un petit peu aux coins.
Avant que je n'esquisse le moindre mouvement pour la consoler, elle fit ce que l'on pourrait appeler me prendre de court et re-enfonça sa tête dans mon buste, continuant de pleurer; bien que je remarquais que ses sanglots étaient moins forts qu'auparavant, et qu'elle tremblottait moins, ce qui est déjà une bonne chose.
Je restai un instant suspendu dans mes mouvements, ne sachant que décider de faire, les yeux encore un petit peu écarquillés de surprise, fixant la touffe bleue qui faisait office de doux pelage à la jeune chatte.
Puis, petit à petit, me détendant et mon visage s'adoucissant plus encore, j'approchai ma patte de sa tête, et après une petite hésitation, la posai dessus dans un geste qui se voulait réconfortant.

- Aller aller, tout va bien, calme-toi, raconte-moi tout , fis-je doucement en commençant à caresser un peu le dessus de sa tête dans le but de ne pas la brusquer en lui parlant, car parfois lorsqu'on parle ainsi à quelqu'un dans cet état, ça peut avoir un mauvais effet.

Nous restâmes un moment ainsi, et je commençais à être trempé au tronc. Bon bon bon. Bon bon bon bon bon. C'est quand même un peu gênant cette posture heh...
Car étonnamment, j'étais un peu gêné d'être dans cette situation ainsi, moi, l'un des chats qui a le moins froid aux yeux. Mon coeur s'emballa un peu, suivant ce sentiment de légère confusion. Bah oui, disons que je n'ai pas vraiment l'habitude de faire des câlins comme ça à n'importe qui. A croire qu'Imsad si, haha.
Je fermai un peu les yeux, décidant de ne pas prêter attention à l'inhabituelle position dans laquelle je me trouve.

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   Jeu 11 Jan - 17:46


Il nous caressa la tête de manière étrange; un peu hésitante et peu sûre de ses mouvements. Cela nous aurait volontiers gênées, mais nous n'avions pas la tête à juger ses manies. Néanmoins, ce n'était pas du tout agréable, avec ses coussinets rêches, ses poils raides et courts et peu doux, et notre fourrure tranchait sévèrement avec tout cela. Gonflant nos joues, nous attendions qu'il finisse de tenter de nous réconforter de cette manière incongrue et presque désagréable, et ceci sans la déranger pendant qu'il se décidait à nous demander enfin -et vainement, nous le crainions- une bonne raison pour laquelle nous pleurions, tout en nous, verbalement, rassurant réellement. Il était là et il n'y avait plus aucun bruit, c'était donc quelque chose de très positif pour la suite de nos opérations et projets.

« Aller aller, tout va bien, calme-toi, raconte-moi tout. »


Nous nous tûment cependant un bon petit moment, car nous savions la situation dramatique beaucoup plus claire pour lui. Et le coeur de Gweithwyw faisait un bruit très fort soudainement, et cela nous gênait beaucoup après tout. Essuyant nos larmes, la situation d'urgence étant passée, nous nous reculâmes brusquement, prenant une grande inspiration et ce très rapidement, et contemplion le chat devant nous. Il était devenu tout étrange, et son visage aussi, et son expression, et fermait ses yeux et avait un coeur au rythme trop violent pour notre petite tête. Quoique nos yeux creusés laissaient trahir des marques de larmes, il n'y avait plus rien qui coulait réellement, et quoique nos deux pelages furent trempés, nous ne pleurions plus réellement, et seul restait cet habituel et désagréable sentiment d'humidité lourde sur nos pelages.

« Gweytwiw !! Nous avons constaté un problème avec ton cœur !! »


Nous étions, après tout, habituées à prendre soin des petits. Et nous savions même très bien comment s'en sortir parce que la solution pour les chatons était toujours la même. Nous ne lui laissions aucun temps pour réagir, nous nous rapprochions encore de son poitrail et lui apposions une petite léchouille sur l'endroit où était son cœur. Un bisou magique qui résoudrait, nous en étions certaine, ses problèmes de cœur.

«GWEYTWIW!! Avec un bisou magique, tout ira mieux !!»


Très emballées par l'idée que nous venions d'aider quelqu'un, nous sautions de joie quelques fois, et nous retournions dans les bois.

« Aller opopop Gwey nous rentrons !!!»


Et nous continuons de marcher, peu interessées par le fait qu'il nous suivait ou non.


Spoiler:

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Anonymous
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   Jeu 19 Avr - 0:01


J'archive donc owo





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