Il fallait que je prenne l'air. Les rayons du soleil commençais à réchauffer mon pelage tandis que je sortais du camps. Perdue dans mes pensées, j'avançais entre les arbres et les buissons. Soudain, la délicieuse odeur d'un lapin vint effleurer mes narines. "une si belle proie pour le clan ne serait pas de refus" songeai-je, enthousiaste. J'entrouvris la gueule et humai l'air affin de repérer l'animal. J'avançai lentement, sans bruit. Peu après, je le vis, grignotant calmement des petites plantes. Soudain, je lui sautai dessus , mais le manquai de peu. La bête fut malheureusement plus rapide que moi et réussi à se cacher dans un terrier juste avant que mes griffes ne se referment sur elle. Poussant un feulement de rage, je m'assieds et regardai autours de moi. " l'arbre des pendus ? Je n'avais vraiment pas fais attention où j'allais" pensai-je. Cet endroit glauque me glaçait le sang mais, étrangement, je n'avais aucune envie de partir. Observant les alentours, je ne vis que peu de cadavre qui étaient presque tous accrochés à un vieil arbre grisâtre. Soudain, j'entendis un craquement derrière moi. Je me retournai brusquement, prête à attaquer en cas de danger. Rien. Sûrement mon imagination. Pourtant, je sentis une odeur. Je montrai les crocs, le pelage hérissé. Un félin.

Je viens de finir de manger se que les humains m'avait servit. Au lieu de faire ma petite sieste habituelle je sort dehors. Je laisse mes pattes aller ou elles veulent. Elle me conduire à l'arbre des pendus. Ah... Que des souvenirs. C'est aussi l'endroit ou Eyeles Jack, un chat un peu bizarre a essayé de me bouffé. Bon heureusement pour moi qu'un autre félin m'a défendue sinon je ne serais plus de se monde. Je n’insinue pas que je ne sais pas me battre mais il était un peu trop fort pour moi. Surtout un solitaire. Encore un Caméléon ou un Felinae je les affronterais sans difficulté. Ils sont tellement mous que ça devient lassant de se battre avec eux. Et de toute façon je suis première ligne donc je sais parfaitement me battre. Enfin bref.
Je cherche du regard un endroit pour faire du repérage mais je peut le faire un peu de partout pas besoin d'un endroit précis pour le faire. J'ouvre légèrement la bouche pour humé l'air. Un Felinae. Bah tien quand on parle du loup. Je suppose qu'il ne ma pas encore sentit. Je vais essayer de l'attaquer par surprise. Mais la discrétion et moi bah ça fait deux la preuve je viens de marcher sur une brindille qui a cédé sous mon poids. Temps pis pour la discrétion je passe à l'attaque. Le Felinae était derrière un buisson je n'ai plus qu'à bondir par dessus pour l'attaquer. Je bandit mes muscle pour sauter au dessus du buisson et lui sauter dessus. Evidemment j'ai réussi et je me retrouve sur le dos du félin.

"Un Soldat" marmonnai-je. Je regardai autour de moi, griffes sorties, quand, soudain, je sentis un poids sur mon dos, et m'écroulai sous celui-ci. Affolée, je me secouai dans tous les sens. Ses griffes me labouraient le dos. J'essayais de m'échapper. En vain. Le félin était plus lourd que moi et je n'arrivais toujours pas à le déloger. Cependant j'eu une idée. Après un feulement de rage et de douleur ,je basculai ma tête en arrière pour lui brûler le museau avec mes oreilles. Lorsqu'il se souleva, je profitai pour m'échapper de son étreinte en lui griffant le ventre de toutes mes forces. " Je pourrais m'enflammer, mais qui sais ce que ce chat me ferais si jamais je m’évanouissais ensuite" songeai-je. Finalement, je ne préférais pas prendre de risque. Je me levai et sautai sur lui, plaquant son dos au sol, et fis en sorte que le félin ne puisse pas me griffer le ventre.Je pus enfin voir mon attaquant : c'était un mâle au pelage de léopard, possédant trois queues . Je fixais ses grands yeux bleus. Un frisson parcourut mon dos mais je le repoussai d'un bref mouvement de la tête. En grognant, les crocs dévoilés, je lui crachai :
"-C'est lâche d'attaquer par derrière"

Je réussis à faire basculer la féline au sol. J’enchaînais les coups de griffe. C'est mort. Je redeviens psychopathe. Bon autant en finir avec elle. Elle se tortillait dans tout les sens comme un vulgaire asticot. Ah! Ces Felinae, tous très nul pour se battre. Soudain, la jeune féline lâche un grognement et me brûle le museau. Je lâche prise prise par réflexe et je recule de quelques pas. Je devenais de plus en plus fou. Elle avait donc le pouvoir de brûler des chose. C'est très impressionnant. Mais par rapport à moi ce n'est rien. bien que je n'ai pas de pouvoir le faite de devenir psychopathe m'aide à devenir très fort. Enfin pas tout le temps. Elle profite de ma surprise pour me sauter dessus. Stupide boule de poils! Elle ne fait qu’empirer ma force. Elle se place de façon stratégique pour ne pas que je lui laboure le ventre de mes pattes arrières. Mais je réussis à tourner la tête et lui morde la patte avant. Je réussis à me sortir de sous ses pattes et à me remettre debout mais c'est aussi parce qu'elle m'a balayer avec sa queue pour que je parte. Elle me parle en dévoilant ses crocs:

- C'est lâche d'attaquer par derrière.
- Je sais mais c'est tellement marrant de faire souffrir un autre félin. Surtout ceux qui ne si attendent pas et qui sont faible. lui répondis-je en lâchant un petit rire du coin de la bouche

Je profite qu'elle m'écoute pour lui donner un coup de griffe sur le museau pour me venger de sa brûlure.

"C'est lâche d'attaquer par derrière" lui crachai-je, les crocs dévoilés.
J'étais debout au dessus de lui, fière d'avoir mis à terre ce chat plus grand, plus lourd et sûrement plus fort que moi. Mais ma fierté s'envola peu après que ce chat m'est férocement mordu la patte avant. Je le lâchai et émis un petit cri de douleur. Le mâle se faufila sous mes pattes et me ricana :
" je sais mais c'est tellement marrant de faire souffrir un autre félin. Surtout ceux qui ne si attendent pas et qui sont faible.
Il me flanqua un coup de griffe sur le nez. Je reculai un peu en grognant. Saleté de soldat ! Mon museau me brûlait après la griffure qu'il m'avait infligé. Le mâle devenais de plus en plus furieux. L'envie de tuer brillait dans ses yeux bleus. Mon instinct me criait de partir mais je ne voulais pas. Enfin un peu d'action ! Au camps il ne se passe rien et cela devenait ennuyeux... Mais ça ne veut pas dire que je voulais me faire transfromer en chair à corbeau, non plus. Bon, cela ne sert à rien de se battre. Le combat devait cesser. Inutile que l'un de nous deux meurt. Après tout, mon clan avait besoin de moi et j'imagine que le sien avait besoin de lui aussi. Ce combat ne servait à rien. Je m'assieds près du vieil arbre, léchant ma patte meurtrie et dit plus calment (mais toujours sur mes garde) :
" Pourquoi m'as tu attaqué ? Ce combat est inutile. Je ne comprend pas pourquoi nous nous battons. Partons chacun de notre côté sauf si tu veux que je te brûle jusqu'à la mort."

La féline recule en lâchant un petit grognement. Elle s'affale ensuite contre le grand et vielle arbre. Tellement il n'y a pas de lumière ici les feuilles de cet arbre sont flétries et terne se qui rend l'arbre des pendus un endroit assez glauque. Ce que j'aime d'ailleurs.
La féline se redresse et me lance

-Pourquoi m'as tu attaqué ? Ce combat est inutile. Je ne comprend pas pourquoi nous nous battons. Partons chacun de notre côté sauf si tu veux que je te brûle jusqu'à la mort.
- Vous êtes tous pareil les Felinae. Vous renoncer à vous battre dés la moindre blessure. Mais si c'est ton choix je pars. dit-je en gloussant légèrement

Ah ces Felinae, tous des lâches. Sa se voix qu'il n'ont pas été éduqués par des Soldats. Et je n'ai pas très envie de me coltiner 24h/24 un Felinae dans les pattes. Enfin bref. J’attends que la féline parte pour partir à mon tour mais je pense qu'elle n'est pas prête de le faire. Je m'attend donc à se qu'elle me pose un tas de question sur ma vie personnelle et je ne l’espère pas. Mais après elle fait ce qu'elle veux. Je m'assis donc sur l'herbe séché qui n'a jamais vue la lumière du jour. Ma colère redescend petit à petit. Bien qu'il soit dur pour moi de le faire j'essaye quand même.

- Vous êtes tous pareil les Felinae. Vous renoncer à vous battre dés la moindre blessure. Mais si c'est ton choix je pars, gloussa-t-il.

J'émis un grognement. J'avais envie de répliquer en lui lançant une réponse cinglante mais je me retiens. Ça ne ferait qu'empirer les choses. Et puis cela ne servait a rien de se battre. Si on peut eviter un combat, autant le faire. En plus les griffures commençaient à me faire souffrir. Le mâle s'assoit par terre. Il avait l'air de se calmer, un peu du moins. J'hésitais a lui poser des questions. Après tout je ne sais rien de la vie d'un soldat. J'ai toujours voulu savoir comment cela ce passer dans leur camps. Ça pourrait être intéressant de connaître certaines choses. Mais pourquoi suis-je aussi curieuse ? Malgrès moi, celle-ci pris le dessus, je ne pouvais pas m'en empêcher. Je ne lui demandai alors :

-dit moi, avant de partir, comment appelles-tu ?

Je sais bien qu'il en a rien à faire de moi mais j'avais tout de même envie de connaître son nom. J'attendais sa réponse , plutôt impatiente, en léchant mes douloureuses blessures. En y repensant ce chat était doué pour le combat, j'imagine qu'il était en première ligne. Pansant mes griffures et morsures, j'observais de temps à autre les cadavres accrochés à l'arbre terne.

La féline commence à se léché la patte et à la passer sur son museau. J'ai du lui faire mal pour qu'elle se lèche autant se qui me rend assez content de moi et de se que mon mentor m'avait enseigner. Elle s'assis en même temps qu'elle se lèche. Elle me pose ensuite une question:

-Dit moi, avant de partir, comment appelles-tu ?
-Perle noire. Et toi? Qu'elle est ton nom? lui répondis-je

Pour une fois j'avais un peut envie de dialoguer avec la féline ce qui est rare d'ailleurs. En attendant qu'elle me réponde une petit brise légère viens rebrousser mon pelage. Sa fait du bien en pleine chaleurs même si on est en automne. Et c'est étrange qu'il ne fasse pas plus mauvais temps. Cette brise est assez froid pouvant créer un frisson à n'importe quelle félin. Des bruits d'oiseau couvre le tout même dans un endroit glauque mais pas autant que le cimetière. Là as on entent que les bruit des corbeaux et du vent. C'est même l'endroit le plus sinistre entre tous les autres. Il faut dire que je ne me suis jamais aventurer là bas. Je lève la tête pour regarder le temps. On pouvait voir des nuage gris annoncent la pluie. Moi qui pensais qu'il allait faire beau je suis dessus mais au moi c'est l'aucasion de se rafrêchir

-Perle noire. Et toi ? Quel est ton nom ? Me répondit il.

Je fus un peu étonnée par son ton plutôt calme. Entre deux coups de langues et en le regardant du coin de l'oeil :

- Opaline, je m'appelle Opaline.

Le mâle avait l'air fière de m'avoir infligé mes blessures. Je décidai donc d'arrêter de me nettoyer même si celle-ci me brûlaient. Je n'aime pas vraiment ce genre de fierté. Une brise rebroussa mon pelage et me fis frissonner. Perle noire regarda le ciel. Je fis de même. Le temps commençait à devenir grisâtre. Oh non, il va peut être pleuvoir. Dommage, moi qui pensais voir un beau soleil avec un petit vent doux. Mais bon un temps un peu rafraichissant ne pouvais pas non plus faire de mal. Je ne pouvais pas rester ici très longtemps, malheureusement. C'est bête, j'aimais bien parler avec ce félin. C'est à dire que je n'ai jamais eu l'occasion de dialoguer avec un soldat. Ignorant la météo, je m'allongeai près d'un buisson. Je réfléchissait à d'éventuelles questions à lui poser sur la vie de soldat. Je lui demandai donc :

- je peux te poser une question ? Comment ça se passe chez les soldats ? Je ne sais pas grand chose sur vous. Si tu ne veux rien me dire, c'est pas grave. C'est juste de la curiosité.

La féline cesse de se lécher et me réponds alors du coin de l'oeil:

- Opaline, je m'appelle Opaline.

Donc cette jeune féline s'appelle Opaline. Elle dirige aussi son regard vers le haut pour ensuite partir se réfugier sous un buisson. Sa se voit qu'elle ne vit pas comme nous Soldats à la "dure" comme on dit. Qu'il neige, vente ou pleuve nous nous battrons quand même et quoi qu'il arrive. Bon il est vrai que quand on débute on est un peu chétif mais en grandissant on devient fort et psychopathe pour la plupart. D'un coup un souvenir me traverse l'esprit. Je me souvins qu'une patrouille partais et j'étais dedans. C'étais d'ailleurs ma première patrouille en tant que 1 ère ligne. Il faisait beau et le printemps venait seulement d'arriver. Moi, j'étais tout content et aussi impatient. Sauf que... Argh zut j'ai un trous noir. Heureusement pour moi je sort de mes pensées avant qu'Opaline me parle

- Je peux te poser une question ? Comment ça se passe chez les soldats ? Je ne sais pas grand chose sur vous. Si tu ne veux rien me dire, c'est pas grave. C'est juste de la curiosité.
-Chez les soldats, Heum... On vit avec les humains. Ils nous servent à manger, font des test sur nous soit pour nous rendre plus fort soit pour qu'on deviennent des mutans. Mais au font ils sont très gentils. Et tu as eu de la chance de ne pas être tomber sur un autre Soldat sinon tu serais déjà morte ou en train de souffrir. Les autres Soldats me prétende que je suis trop gentils avec les ennemies comme toi par exemple mais je m'en fou totalement de leurs réflexion. Et vous? Vous vivez comment?

Se sera l'occasion pour en apprendre plus sur eux. Même si je ne connait pas grand chose sur eux.

Je ne comprenais pas. Comment les soldats pouvaient-ils vivre ainsi. Ils ne dépendaient que des humains. Chasser, connaissaient-ils vraiment ce mot ? Pouvoir courir après une proie, aux grands airs, savaient-ils ce que cela faisait ? Et cette sensation de... Liberté ? Et puis, les horribles expériences des humains... Ce n'ait pas une vie. Je ne voyais pas ce que les soldats leurs trouvaient, à ces stupides humains. "au fond ils sont gentils" me répétais-je, dans ma tête. Nan, vraiment, les humains sont tout sauf "gentils". Mais, Perle noire, malgrès les belles blessures qu'il m'ai fait, il n'avait pas l'air d'être "méchant". Sinon il m'aurait déjà tuer, enfin j'imagine.
Après la réponse à ma question, il me demanda :

- et vous ? Vous vivez comment ?

Je me grattai à la base de l'oreille avec ma patte arrière, puis posai ma tête sur mes pattes avant.

- nous ? Nous vivons au grand air. Nous chassons pour survivre, partageons la nourriture. Nous aimons notre liberté, plus que tout au monde. Moi, j'adore chasser mais d'autre préfère protéger le camps en se battant contre des individus, lui répondis-je en regardant les tâches sur son pelage.

Le temps se faisait de plus en plus frais. J'enroulai mes queues autour de moi pour me tenir chaud. Satisfaite du dialogue entre moi et le soldat, j'émis un petit ronron tout regardant regardant les feuilles mortes qui se soulevaient sous la brise fraîche.

Opaline fut surprise de ma réponse elle se gratte au passage l'oreille du out de sa patte arrière et me répondis qu'elle vit au grand aire, qu'il chassait pour survivre, se que nous nous ne faisons pas mais pour le plaisir de tuer nous chassons et que si on à faim on peut en manger ou demander à notre collègue si il en veux. Ils aiment leurs liberté mais moi  j'aime avoir un toit au dessus de la tête et on a pas trop de contrainte avec les humains. Opaline préfère chassé que se battre mais en temps que soldat bah on fait un peut les deux mais moi je préfère me battre quitte à mourir pour mon clan. Bon là encore quand je me suis battu contre Opaline c'étais différent car elle n'était pas sur mon territoire. Enfin bref. Opaline enroule ses cinq queues ... Attend j'ai du mal compter... Ah bah non elle en a bien cinq. Je ne lui arrive pas a la cheville avec mes trois queues. Revenons donc elle les enroulait autours de ses pattes pour se tenir chaud moi je n'avais pas du tout froid. J'étais immuniser contre le froid. Bon c'est un peu normale car de mon pelage est assez épais. J'ouvre légèrement la bouche pour humer l'aire. Une souris. Je me lève et me dirige vers cette odeur. Je l'aperçue entre plusieurs racines d'arbre. Je me mis en position de chasse de je lui saute dessus pour lui briser la nuque. Une fois morte je la pris par la peau du coup et l’emmène à Opaline en lui disant:

-Tien je te l'offre dis-je en lui posant la souris au bout de ses pattes

Enfin, les nuages commençaient légèrement à ce dissiper et laissèrent passer les rayons du soleil. Je soupirai et laissai ceux-ci réchauffer mon pelage blanc. Je repensais à la description que Perle noire m'avait fait de sa vie de soldat. J'avais du mal à imaginer qu'il aimait ça. Enfin bref ce n'ait vraiment pas fait pour moi. Moi j'aime la nature, le vent qui ébourife mon pelage quand je cours dans la forêt, l'alléchante odeur d'une proie et chasser avec de super compagnons. Tiens en parlant de chasse  je sentis la savoureuse  odeur d'une souris. J'allai me lever mais Perle noire fut plus rapide et l'attrapa. Un coup de croc et voilà que la petite bête pendouillait mollement entre les mâchoires du félin.  J'aurais  aimé pouvoir l'attraper moi même afin de prouver à ce chat que j'étais douée pour la chasse. Peu être aurait-il arrêter de nous traité d'incapable, ce qui m'avais pas mal blessée, même si je ne le montrait pas fforcément. Peu après , Perle noire s'approcha et posa sa prise devant mes pattes. Étonnée, je regardais ses yeux bleus. Il avait l'air sincère. Je secouai vivement la tête et regardai la souris sur le sol , inerte. Mon ventre commençait à gargouiller. Ça faisait longtemps que je n'avais pas manger. J'avais faim mais je ne voulais pas manger devant son museau comme ça.
- je... m-merci, baigayai-je.
Grrr, pourquoi fallait-il que je bredouille autant dès que je me sentais un peu gênée ? J'avais plus l'air d'une débile qu'autre chose. J'essayai de me ressaisir :
- on partage ? Lui demandai-je , en me dandinant un peu.
Partager une souris avec un soldat... je n'aurai jamais penser faire ça un jour... cette journée est vraiment étrange.

Quand j l'ai posé à ses pattes Opaline fut étonné par mon cadeau. Bon il est vrai qu'un soldat offre rarement des cadeau au autres. Mais moi j'aime bien. Enfin non mais c'est juste pour avoir des personnes pour m'aider au cas ou. Surprise elle me bégaye:

- Je... m-merci

En me disant cela elle me regarde fixement dans les yeux. Je regarde légèrement vers le ciel. Ah les nuage grisâtre sont partis. Ils ont laisser place à leur amis nuage blanc et au soleil laissant pénétrer ses rayons pour nous réchauffés. C'est vrai qu'il fait meilleure au soleil que dans l'ombre. Le temps est vraiment bizarre je trouve. Opaline commençait à se coucher pour manger la souris. Mais avant d'en croquer une boucher elle me propose de partager la souris avec elle. Je lui répond alors

-Non merci. Je n'ai pas très faim. dit-je d'un ton neutre.

Il faut dire que j'ai pris l'habitude depuis quelques années de ne montrer aucun sentiments paraître et de ne presque pas parler. Il faut dire que les soldats sont presque tous pareil. Et dès qu'ils commence à parler il t'insulte et te saute à la gorge. Depuis j'ai appris à les reconnaître et à savoir qui il faut sympathiser ou non. Bon Ryuk en fait partis mais il faut juste apprendre à le connaître. Bref je pars trop loin. Je reviens alors à Opaline. Je ne sais pas pourquoi je vais chaque fois trop loin dans mes pensées.

-Non merci. Je n'ai pas très faim, me répondit Perle noire.

J'haussai les épaule. Bon tant pis, ça en fera plus pour moi. Peut être faudrait-il que je sois moins généreuse, surtout envers un soldat. C'est vrai, je pense être trop, voir beaucoup trop, gentille. Mais si j'étais "méchante", j'aurais pas hésiter à le cramer et le réduire en pièce ce chat. Mais, je sais que pour vaincre l'ennemi, on est pas obliger de passer par la violence. Enfin là, mon ennemi à pas trop l'air "méchant"... Ou, peut être que je montre trop mes sentiments. Serait-ce là mon point faible ? Peut être. Enfin tout ce que je sais vraiment c'est que je dois me montrer plus prudente, la prochaine fois. Sinon c'est moi qui me serais faite taillée en pièce. J'avais de la chance d'être tombée sur lui. N'empêche que quelque chose m'embêtait. Manger ici, tout de suite et seule ne serait pas loyal envers mon clan. Bon, Opaline, active toi et fais quelque chose au lieu de loucher sur Perle noire ! J'allais me lever et partir avec la proie pour partager avec les miens, mais malheureusement, mon ventre n'était pas de cet avis et me le fis savoir avec un ENORME ( j'exagère pas du tout, hein ) gargouillement, comme je ne l'avait jamais entendu auparavant. Bon ok j'avais faim et la souris sous mon museau n'arrangeait rien du tout. Le repas d'hier me semblait bien loin maintenant. J'hésitai un petit moment, mais l'envie fut trop forte. Je commençais donc à manger la proie et la finie bien vite. Après ça, je me léchai les babines et passai une patte sur le museau. Peut après, je commençai à regretter ce que je venais de faire... je pensais toujours que j'aurai pu partager avec le clan.

[HRP: j'espère que ça ne te dérange pas si je fait venir un PNJ (personnage non jouer) sinon je modifis si tu ne veux pas ^^]

Opaline hésite un bon moment avant de se décider à manger la souris. Peut-être voulais-t'elle partager avec son clan. Temps pis elle vien de croqué quelque bouché dedant. Après l'avoir finis elle est devenue encore plus soucieuse et hésitante. Et se n'est pas mon problème après tout c'est le sien. Bon je parle je parle mais je devrais partir en patrouille. Temps pis. Ils partirons sans moi. Et ils commence à avoir l'habitude de mes absence régulière. Enfin bref. J'ai juste hâte de rentré dans ma chmbre pour dormir. Soudain j'entendis un bruit de pas. J'ouvre alors la bouche pour humer qui pouvait bien marcher ici. Un chat! Plus précisement un soldat! Je regarde alors Opaline en lui fesant signe de se cacher. Cepandant il arrivais vite et je crain qu'elle n'ai pas le temps de se cacher ou à peine. Je n'aimerais pas vivre dans la peur chaque jours. Alors un frisson légé me parcours le dos. Brrr... Je déteste ses frissons. Ils me déconsentre tout le temps. Je regarde alors mon collègue qui arrive de plus en plus vite vers moi. Soudain la peur d'Opaline venus en moi.

[HRP : c'est quoi a différence en fait ? Je sais pas trop c'est quoi un personnage non joueur]

Un peu gênée, je me mis debout. J'espère que personne ( à part Perle noire ) ne m'ait vu manger cette souris. J'imaginais le pire. C'est ça aussi, un de mes problèmes. Toujours à me soucier de tout et de rien et de toujours imaginer le pire. Je me léchai alors le poitrail pour me sortir de mes pensées.

Soudain, une odeur étrange me piquait le nez. Je regardais le mâle tacheté, soucieuse. Lui aussi l'avait sentit. Les muscles tendue, je la reconnue enfin : un félin ?!

Les pas du chat se rapprochaient de plus en plus et Perle noire me fit signe d'aller me cacher. Apeurée, je ne savais où aller. L'odeur âcre du nouveau soldat me faisait trembler. Mes membres refusaient de bouger. Le regard insistant de Perle noire me faisaient trembler. Il n'avait pas envie que je me fasse attraper ? Bizarre pour un soldat mais bon. Les oreilles rabattues par la peur et les queues ébouriffées, je fixais l'endroit où l'odeur se faisait de plus plus forte. L'autre arrivait et se rapprochait dangereusement.

Les yeux ronds, j'émis un petit miaulement, et (je dus faire beaucoup d'effort) partis me cacher dans un buisson juste au moment où le soldat arrivait. J'observais les deux chats entre deux feuilles. J’espérais juste que l'autre ne me sente pas. C'est étrange, je n'avais encore jamais eu aussi peur d'un simple soldat. Est-ce son odeur ? Le bruit lourd mais vifs de ses pas dans les broussailles ? Je ne savais pas du tout et ça m'effrayait.

La peur irriguait mes pattes et, sur un mouvement de recule, fit craquer une brindille.

[HRP: Par exemple tu va écrire une histoire ou tu es le personnage principale et tu décide de faire rentrer par exemple le boucher dans ton histoire. Bah le boucher est un personnage non jouable*]

Opaline semble paniquer et aller se cacher dans les buissons, là ou je lui ais dit d'aller. Elle y accourut le ventre à terre pour passer sous le buisson. Mais par mauvaise manipulation elle marche sur une brindille qui cède sous son poids. Je n'ai plus qu'a espérer que mon camarade n'a rien entendue. Enfin j’espère mais je n'ai que très peu de chance que cela arrive. D'un coup je me demande pourquoi je défend Opaline. Elle n'est pourtant pas dans mon clan. Arg... Il faut que j’arrête d'être gentil. Mais je n'ai pas envie de laisser mon côté psychopathe prendre le dessus. J'émis sans le vouloir un léger grognement à peine perceptible car j'en ai mare de mes deux côté. Par la suite je tendis le coup pour voir si le félin se dirige vers nous ou non. Bon pour l'instant se n'est pas le cas. Ah bah il est partis dans le sens apposé à nous deux. Il est très mauvais pour la traque ma parole! Je regarde Opaline en lui faisant des signes de la tête pour lui faire comprendre que la voie est libre. Mais il y un quand même un risque pour qu'il revienne. Je reste alors sur mes garde.

[ HRP : Bien sur pour le personnage non joueur ^^ ]

Apeurée, je tremblais. Le soldat avait-il entendu la brindille se craquer ? Heureusement, le félin changea de direction. Je vis Perle noire me faire un signe que je pouvais revenir. Un peu rassurée, je ressortie du buisson sur mes gardes. A plat ventre, je me faufilai sous le feuillage tout en y laissant quelques touffes de poils. Enfin dehors, je me secouai dans tout les sens. Le poils ébouriffé, je m'approchai doucement de Perle noire. Je m'assied près de lui, mes cinq queues remuant sur le sol, signe que je n'était pas totalement rassurée. Je levai une patte et la léchai. Un petit gout métallique me surpris. J'avais une légère entaille entre deux coussinets. Peut-être que je m'étais couper lorsque je me m'étais précipitais sous le buisson. Peut importait, le soldat était parti, c'est tout ce qui comptait.

Par contre je venais de me rendre compte que j'avais montrer un peu trop ma peur devant Perle noire. Je rougis, un peu humiliée de m'être ainsi comporter. J'aurai du mieux gérer la situation. Je laissai ma patte et enchaîna sur mon poitrail ou les poils s'étaient redresser par la honte.

Après ma toilette rapide, une question me vint en tête. Pourquoi Perle noire m'avait-il aider ? Il aurait pu tout simplement m'attraper et montrer sa prise à son ami soldat. C'est alors que je dis, malicieuse :

"- Merci de m'avoir aider, mais... Dit moi, en fait, pourquoi tu m'a aider ? Après tout, je ne suis qu'une vulgaire felinae un peu nulle non ? J'imagine que c'est ce que pense tout les soldats de nous... Je me trompe ?"

Opaline revien vers moi, toujours sur ces garde. Bon moi je n'ai pas peur au contraire je suis rassuré de  voir un de mes collègue. Et ce n'est pas un Felinae ou un Caméléon qui va m'effrayer. Par contre les Solitaires ça dépend.  En arrivant à côté de moi Opaline se refait une toilette. Comparé à elle je suis sale. Elle arête soudain et me pose la question assez génée:

-Merci de m'avoir aider, mais... Dit moi, en faite, pourquoi tu m'as aider? Après tout, je ne suis qu'une vulgaire Felinae un peu nulle non? J'imagine que c'est ce que pense tout les Soldats de nous... Je me trompe?
-C'est juste que j'ai pas envie de laisser mon autre côté prendre le dessus en fesant de mauvaise action. Et la plupars des Soldats pense qu'on est supérieure au autre clans mais ceux qui le disent dorment tout le temps. C'est un peu des chat domestique sanguinaire en faite.

J'espère l'avoir convaincus, je n'ai pas très envie de devenir psychopathe devant elle. La plupart du temps j'essaye de me contrôler mais je n'y arrive pas. Ce côté de moi est très dure à contrôler. Et les Soldats me font tous le temps remarquer que je suis trop gentil sauf qu'ils ne me connaisse pas assez pour savoir pourquoi. Bon il est vrai que, un jour, je me suis rebeller contre un ou deux, je sais plus, camarade de mon clan. Bah ils étaient très amoché après.

-C'est juste que j'ai pas envie de laisser mon autre côté prendre le dessus en fesant de mauvaise action. Et la plupars des Soldats pense qu'on est supérieure au autre clans mais ceux qui le disent dorment tout le temps. C'est un peu des chat domestique sanguinaire en faite. Me répond Perle noire.

Son... autre côté ? En faisant de mauvaises actions ? Je regardais le sol. Une petite brise me fit frissonner. Mais de quoi il parle ? Double personnalité ? J'avais bien envie de lui poser la question mais... quelque chose me disait que ça ne me regardait pas. J'essayait de laisser ma curiosité de côté mais celle-ci fut plus forte. Je n'avais pas envie de l'embêter ni de l'énerver mais... Roh pis zut, tant pis pour moi :

- Mais, qu'est ce que tu veux dire par "mon autre côté" ? finis-je par demander en grattant le sol.

Je n'avais pas envie de le regarder, je sais pas pourquoi. J'avais pas non plus envie de montrer ma gêne. Bon j'avais pas envie de grand chose en fait.

Quand j'y repense ça fait quand même bizarre de papoter avec un soldat. Avec un "chat domestique sanguinaire". J'émis un petit rire discret. Moi qui pensais que les chats domestiques étaient gros, paresseux, lents et inoffensifs. Tout le contraire de Perle noire en fait. Enfin, quand il est gentil, c'est vrai qu'il est plutôt inoffensif. Et heureusement que là il l'est parce que je tiens pas à me refaire déchirer le dos.

Je levai la tête vers Perle noire en attendant qu'il me réponde. J'observais ces yeux bleus. Je me posai une autre question... Mais celle-là, jamais je n'oserai lui poser. Du moins pas tout de suite...

Pendant un instant je pensais qu'Opaline ne me poserais plus de question mais je me suis trompé

- Mais, qu'est ce que tu veux dire par "mon autre côté"?
-Comment dire... Euh j'ai comme deux personnalités. Mais l'autre j'ai du mal à la contrôler. dis-je en rigolant légèrement

Soudain, sans le vouloir, je sourie. Mais pas de joie, c'étais un sourire sadique, qui ne demande qu'a tuer. Par réflexe je baisse la tête pour que Opaline ne me voit sourire ainsi. Opaline aussi a baissé la tête mais elle c'est de nervosité et elle gratte alors le sole.
Enfin calmé, je lève la tête pour faire face au vent qui souffle légèrement. Mon poils s'ébouriffe alors. Je ferme les yeux pour profiter de la brise. Pour l'instant je suis très calme et zen et j'espère que cela va duré longtemps, pour profiter un maximum. Je remarque du coin de l’œil qu'Opaline me fixait. ¨Pourquoi donc?
Je referme les yeux pour ne plus penser à rien et me concentré sur les bruits de la nature relaxants. Les gazouillement d'oiseau, les bruit de pas de gibier, l'eau du ruisseau qui coule, tout ça est très relaxent. Je dois profiter un maximum de tout ces bruits car, en tant que Soldat, je dois toujours être actif. Se qui de temps en temps est pénible. Mais se n'est pas pour autant que je partirais de mon clan. Mon cœur est là bas et il y restera toute ma vie.

-Comment dire... Euh j'ai comme deux personnalités. Mais l'autre j'ai du mal à la contrôler, dit Perle noire en rigolant légèrement

Bon, ça ne me rassurait pas tant que ça cette "double personnalité". Gênée, je grattai toujours le sol. Est-ce une bonne idée de parler autant avec un soldat ? Oups, il a du s'apercevoir que je le regardai. Je baissai aussitôt la tête et la gêne me piquait le pelage. La honte me brûlait les oreilles et mes joues se mirent tout d'un coup à rougir. C'étais incontrôlable ! Je me passai alors une patte sur le visage le plus discrètement que possible pour essayer d'arrêter cette... ce... C'est quoi exactement mon problème ? Je n'avais pas envie que le soldat me voit dans cet état.

Brusquement, je me levai et partis au petit ruisseau qui coulait non loin de là. Je me mit à boire quelques gorgées. Mais rien y fait... Désespérée, je me m'allongeai près de l'eau et posai mes pattes sur ma tête. Mais pourquoi ce genre de chose n'arrive qu'à moi ?! Je frémis. Je savais que Perle noire me regardait et je savais qu'il me voyais comme une boule de poils à cinq queues complètement stupide... J'avais honte, honte, honte... Je savais plus quoi faire...

Opaline ne me pose plus de quetions sur ma double personnalité. Ça me soulage car je ne saurais pas quoi répondre à d'autre questionnaire. Opaline rougis soudain'soudain, sans aucune raison. Je referme les yeux pour profiter encore un peu de la nature. Je prend une grande inspiration pour ensuite la relâcher. Mais quand j'ouvre les yeux, Opaline n'est plus à côté de moi. Elle a sûrement autre chose à faire que de parler avec moi. Tant pis.
Je crois que c'est la toute première fois que je parle à un félin de ma sanguinaire, enfin je n'ai pas le souvenir de l'avoir fait dans mon passé, Ah ci! À mon ancien mentor. Bon bah ça fait la deuxième fois. Opaline n'est toujours pas revenue mais pourtant je la sens pas très loin.

Oh mais qu'est ce qui m'arrive ? Je m'assied près du ruisseau. Pourquoi je suis si affolée ? Je ne comprend pas... j'essayais de me calmer... Respire, inspire... Je ne sentais que mes joues étaient de moins en moins rouges. C'étais déjà bon signe. Et si j'étais malade ? Je collai alors une patte sur mon front pour voir si j'avais de la fièvre. Oh non ! Il est plus chaud que d'habitude ! Je mit alors un peu d'eau sur mon visage. Je me sentais un peu me mieux mais... grrr, ce malaise ! Oh ça y est je deviens folle ! Ok ok faut que je me calme. Perle noire a du déjà partir depuis, peut être qu'il s'en fiche de moi à près tout. Je n'ai pas à m'en faire. Ce n'ait qu'un soldat, ça n'a pas de sentiment un soldat. C'est sans pitié et tout et tout...

Après cela je revint à l'endroit où nous nous sommes assis, le soldat et moi. Je n'osais pas lever la tête, honteuse. Je savais qu'il n'était pas parti.